Cela fait 100 jours, jour pour jour que nous nous sommes volontairement mis de coté au mépris de nos textes, pour observer la scène politique et surtout la vie de notre mouvement afin de donner une chance à notre leader Charles Blé Goudé de recouvrer la liberté qui demeure à ce jour notre priorité.
Le constat qui découle de cette période d’observation, est le fait que nous avions eu tord d’avoir vite compris, que la seule voie qui puisse conduire les ivoiriens dans leur différence à avoir des réponses à leurs différentes préoccupations, symbole de leur épanouissement total, reste la voie du dialogue et du respect mutuel dans nos différences idéologiques et non dans la défiance.
Depuis quelques jours, nous avions appris par voie de presse que le Front Populaire Ivoirien (FPI) conduit par son Président Pascal Affi N’guessan, s’est rendu dans la case du RDR pour parler des problèmes des ivoiriens. C’est une initiative que nous saluons et que nous encourageons. Merci au FPI de comprendre que se retrouver autour d’une même table avec ses adversaires, n’est pas un acte de reniement et de trahison mais bien au contraire, un acte de grandeur d’esprit ; comme l’a toujours dit le Président Laurent Gbagbo dans son slogan au contour profond et emprunt de sagesse : Asseyons-nous et discutons.
Que cette volonté manifeste des différents acteurs de se retrouver et de se parler soit habitée de sincérité pour le respect du peuple ivoirien qui a trop souffert et qui souffre de la crise postélectorale.
Comme le disait le Président Charles Blé Goudé ; la vérité et le pardon sont les fils ainés de la discussion.
Par ailleurs, nous avons été ému de savoir que certains de nos camarades du COJEP se sont débarrassés des écailles de leurs yeux afin d’appeler les autorités à la prise d’une loi d’amnistie générale pour une Cote d’Ivoire réconciliée. Je rappelle que cette campagne lancé sous ma houlette depuis le 08 Juin dernier a fait ses preuves à travers la libération de certaines personnalités politiques de l’opposition et non des moindre.
Que dire de ceux qui,hier nous avaient traités de collabos quand nous avions entamé cette campagne auprès des autorités d’Abidjan ? S’il est vrai que la répétition a des vertus essentiellement pédagogiques, ce ne serait pas méchant de demander à ceux qui ont condamnés hier cette initiative de se confesser publiquement en toute humilité. Car celui qui veut diriger une organisation humaine doit être capable de reconnaitre ses erreurs, signe manifeste de sa grandeur d’esprit, tel que Feu Nelson Mandela à qui nous rendons hommage, à un moment donné de son histoire, a su dire à son peuple que se venger serait se tromper de chemin car le salut du peuple sud-africain réside dans le pardon et la réconciliation.
Pour nous résumer, nous invitons tous les acteurs politiques à cultiver l’esprit du dialogue et du pardon car aucun sacrifice n’est de trop pour la paix. Militants et sympathisants du COJEP, c’est ensemble, main dans la main que nous obtiendrions la libération du Président Laurent Gbagbo, son épouse Simone Gbagbo, son fils politique Charles Blé Goudé et tous les autres prisonniers qui demeure pour nous notre priorité absolue.
Que Dieu bénisse la Cote d’Ivoire.
Le Président Joël Poté
Le constat qui découle de cette période d’observation, est le fait que nous avions eu tord d’avoir vite compris, que la seule voie qui puisse conduire les ivoiriens dans leur différence à avoir des réponses à leurs différentes préoccupations, symbole de leur épanouissement total, reste la voie du dialogue et du respect mutuel dans nos différences idéologiques et non dans la défiance.
Depuis quelques jours, nous avions appris par voie de presse que le Front Populaire Ivoirien (FPI) conduit par son Président Pascal Affi N’guessan, s’est rendu dans la case du RDR pour parler des problèmes des ivoiriens. C’est une initiative que nous saluons et que nous encourageons. Merci au FPI de comprendre que se retrouver autour d’une même table avec ses adversaires, n’est pas un acte de reniement et de trahison mais bien au contraire, un acte de grandeur d’esprit ; comme l’a toujours dit le Président Laurent Gbagbo dans son slogan au contour profond et emprunt de sagesse : Asseyons-nous et discutons.
Que cette volonté manifeste des différents acteurs de se retrouver et de se parler soit habitée de sincérité pour le respect du peuple ivoirien qui a trop souffert et qui souffre de la crise postélectorale.
Comme le disait le Président Charles Blé Goudé ; la vérité et le pardon sont les fils ainés de la discussion.
Par ailleurs, nous avons été ému de savoir que certains de nos camarades du COJEP se sont débarrassés des écailles de leurs yeux afin d’appeler les autorités à la prise d’une loi d’amnistie générale pour une Cote d’Ivoire réconciliée. Je rappelle que cette campagne lancé sous ma houlette depuis le 08 Juin dernier a fait ses preuves à travers la libération de certaines personnalités politiques de l’opposition et non des moindre.
Que dire de ceux qui,hier nous avaient traités de collabos quand nous avions entamé cette campagne auprès des autorités d’Abidjan ? S’il est vrai que la répétition a des vertus essentiellement pédagogiques, ce ne serait pas méchant de demander à ceux qui ont condamnés hier cette initiative de se confesser publiquement en toute humilité. Car celui qui veut diriger une organisation humaine doit être capable de reconnaitre ses erreurs, signe manifeste de sa grandeur d’esprit, tel que Feu Nelson Mandela à qui nous rendons hommage, à un moment donné de son histoire, a su dire à son peuple que se venger serait se tromper de chemin car le salut du peuple sud-africain réside dans le pardon et la réconciliation.
Pour nous résumer, nous invitons tous les acteurs politiques à cultiver l’esprit du dialogue et du pardon car aucun sacrifice n’est de trop pour la paix. Militants et sympathisants du COJEP, c’est ensemble, main dans la main que nous obtiendrions la libération du Président Laurent Gbagbo, son épouse Simone Gbagbo, son fils politique Charles Blé Goudé et tous les autres prisonniers qui demeure pour nous notre priorité absolue.
Que Dieu bénisse la Cote d’Ivoire.
Le Président Joël Poté
