Daloa - Des élèves de Daloa, désireux d'anticiper sur les congés de Noël et de fin d'année, ont volontairement déserté les salles de classe depuis lundi, entraînant la plupart des élèves du secondaire public, a déploré jeudi le directeur régional de l'Education nationale et de l'Enseignement technique, Mme N'Goran Akoua.
Les auteurs de ces actes seraient des individus agissant, de façon souterraine, derrière de mauvais élèves prêts à user de la violence pour faire sortir les élèves à coups de sifflet, selon des enseignants et responsables de COGES ayant pris part à une réunion de crise pour gérer cette situation qui tend à devenir une habitude à Daloa.
Ces individus qui ne sont pas tous des élèves, appuyés par certains parents d'élèves, auraient réclamé un congé scolaire plus élargi pour la fête de la Tabaski, à l'instar de celui de Noël, aux dires de certains responsables de COGES.
Au terme donc d'une série de réflexions menées par la direction régionale de l'Education nationale et les partenaires de l'école, sous la présidence du sous-préfet central, représentant le préfet de région, il a été décidé de la nécessité de sécuriser les établissements scolaires en les dotant tous de clôture dans un premier temps.
Il a été également arrêté la mise en place de cinq commissions chargées respectivement d'établir un diagnostic, de mener des enquêtes et de proposer des sanctions, de s'occuper des questions sécuritaires et d'élaborer une campagne de sensibilisation et de communication par rapport à cette situation de blocage de l'école voulue et entretenue par des fauteurs de troubles qu'il convient de démasquer à présent.
Depuis l'année dernière, de par leur capacité de nuisance, il n'y a pas eu les différents examens blancs dans la région, et les cours sont arrêtés une semaine avant la date des congés de Noël et du nouvel an, note-t-on.
Pour débarrasser l'école de toute forme de violence, Mme la DRENET a invité les membres des commissions à s'engager à fond dans leur mission d'aide citoyenne et bénévole au service de l'éducation.
Les auteurs de ces actes seraient des individus agissant, de façon souterraine, derrière de mauvais élèves prêts à user de la violence pour faire sortir les élèves à coups de sifflet, selon des enseignants et responsables de COGES ayant pris part à une réunion de crise pour gérer cette situation qui tend à devenir une habitude à Daloa.
Ces individus qui ne sont pas tous des élèves, appuyés par certains parents d'élèves, auraient réclamé un congé scolaire plus élargi pour la fête de la Tabaski, à l'instar de celui de Noël, aux dires de certains responsables de COGES.
Au terme donc d'une série de réflexions menées par la direction régionale de l'Education nationale et les partenaires de l'école, sous la présidence du sous-préfet central, représentant le préfet de région, il a été décidé de la nécessité de sécuriser les établissements scolaires en les dotant tous de clôture dans un premier temps.
Il a été également arrêté la mise en place de cinq commissions chargées respectivement d'établir un diagnostic, de mener des enquêtes et de proposer des sanctions, de s'occuper des questions sécuritaires et d'élaborer une campagne de sensibilisation et de communication par rapport à cette situation de blocage de l'école voulue et entretenue par des fauteurs de troubles qu'il convient de démasquer à présent.
Depuis l'année dernière, de par leur capacité de nuisance, il n'y a pas eu les différents examens blancs dans la région, et les cours sont arrêtés une semaine avant la date des congés de Noël et du nouvel an, note-t-on.
Pour débarrasser l'école de toute forme de violence, Mme la DRENET a invité les membres des commissions à s'engager à fond dans leur mission d'aide citoyenne et bénévole au service de l'éducation.