Ouagadougou, La commune de Bobo-Dioulasso a organisé, le vendredi 13 décembre 2013, un atelier de restitution et de validation des études techniques d’aménagement de la zone tampon à l’interface-est de la forêt classée de Dindérésso et de la ville de Sya.
Pour faire durablement face aux conséquences du changement climatique dans la ville de Bobo-Dioulasso, la commune a adhéré, en juillet 2010 à l’initiative mondiale « Villes et changement climatique (CCCI) » du Programme des Nations-Unies pour les établissements humains (ONU-Habitat). Après la première phase en 2012, ONU-Habitat poursuit sa collaboration avec Bobo-Dioulasso.
A travers une seconde phase (février 2013-janvier 2014), ledit programme veut établir et renforcer d’une part, le lien entre l’agriculture et la foresterie urbaine et périurbaine et de l’autre, entre l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre et l’adaptation aux conséquences du changement climatique. A cet effet, des études techniques ont été menées sur la sécurisation de la zone tampon entre la forêt classée de Dindérésso et les secteurs 21 et 22 de la ville de Sya comme modèle de protection des forêts aux alentours de Bobo-Dioulasso. Pour la restitution et la validation de ces études, un atelier a été organisé, le 13 décembre denier.
Il a réuni les structures communales, les services techniques de protection de l’environnement, les populations concernées mais aussi les réseaux locaux de lutte contre les changements climatiques et d’expertises sur le phénomène. Ils devaient, à cet effet, discuter des propositions d’unités d’aménagement retenues par le consultant, consolider le plan participatif de gestion environnementale et sociale proposé, susciter des engagements et des partenaires en vue des aménagements à réaliser sur le terrain et formuler des recommandations. Pour le maire de la commune, Salia Sanou qui a ouvert les travaux, l’accompagnement de l’ONU-Habitat à travers son initiative « Ville et changement climatique » est d’une grande utilité.
En effet, a-t-il dit, l’urbanisation galopante avec son corollaire de gaz à effets de serre est la base du réchauffement climatique, des inondations, sécheresses, vents violents et autres chaleurs suffocantes. Il a donc invité les participants à contribuer activement aux travaux afin que le document final soit réaliste et réalisable.
AIB/AIP
Pour faire durablement face aux conséquences du changement climatique dans la ville de Bobo-Dioulasso, la commune a adhéré, en juillet 2010 à l’initiative mondiale « Villes et changement climatique (CCCI) » du Programme des Nations-Unies pour les établissements humains (ONU-Habitat). Après la première phase en 2012, ONU-Habitat poursuit sa collaboration avec Bobo-Dioulasso.
A travers une seconde phase (février 2013-janvier 2014), ledit programme veut établir et renforcer d’une part, le lien entre l’agriculture et la foresterie urbaine et périurbaine et de l’autre, entre l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre et l’adaptation aux conséquences du changement climatique. A cet effet, des études techniques ont été menées sur la sécurisation de la zone tampon entre la forêt classée de Dindérésso et les secteurs 21 et 22 de la ville de Sya comme modèle de protection des forêts aux alentours de Bobo-Dioulasso. Pour la restitution et la validation de ces études, un atelier a été organisé, le 13 décembre denier.
Il a réuni les structures communales, les services techniques de protection de l’environnement, les populations concernées mais aussi les réseaux locaux de lutte contre les changements climatiques et d’expertises sur le phénomène. Ils devaient, à cet effet, discuter des propositions d’unités d’aménagement retenues par le consultant, consolider le plan participatif de gestion environnementale et sociale proposé, susciter des engagements et des partenaires en vue des aménagements à réaliser sur le terrain et formuler des recommandations. Pour le maire de la commune, Salia Sanou qui a ouvert les travaux, l’accompagnement de l’ONU-Habitat à travers son initiative « Ville et changement climatique » est d’une grande utilité.
En effet, a-t-il dit, l’urbanisation galopante avec son corollaire de gaz à effets de serre est la base du réchauffement climatique, des inondations, sécheresses, vents violents et autres chaleurs suffocantes. Il a donc invité les participants à contribuer activement aux travaux afin que le document final soit réaliste et réalisable.
AIB/AIP
