Sylvain Miaka Ouretto, vice-président du Front populaire ivoirien est rentré hier du Niger. Il a été accueilli à son arrivé par Sébastien Dano Djédjé également vice-président du parti et les membres du cabinet de son cabinet personnel. Le ministre Dano Djédjé a expliqué qu’il a été dépêché par le secrétaire général du Fpi, Laurent Akoun pour accueillir M. Miaka en l’absence du président Affi N’Guessan qui se trouve dans son village.
Evoquant le motif de son séjour en terre nigérienne, Miaka Ouretto a dit être allé représenter le Fpi au 6ème Congrès du parti au pouvoir du Niger, le parti nigérien pour le socialisme et la démocratie (Pnds-Taraya). Il a dit toute sa satisfaction et relevé combien le Fpi a été admiré lors de cette rencontre. Selon Miaka Ouretto, le Fpi a été honoré par cette invitation de la grande famille des partis de gauche africains. Et plus particulièrement par l’ensemble des partis politiques africains, membres de l’Internationale socialiste.
Soulignant que toute sa joie réside dans le fait qu’il a fait une intervention à la tribune du congrès qui, à l’en croire, lui a permis de dépeindre la situation réelle que vit son parti en Côte d’Ivoire depuis le 11 avril 2011. Une situation qui est, dit-il, un véritable drame. Etant donné que les acquis démocratiques sous la gouvernance du Fpi sont tombés à l’eau. Les libertés et tout ce qui donne un sens à la démocratie connaissent un grand recul sous le régime Ouattara.
Miaka Ouretto a présenté le décor tel que vécu au quotidien par le Fpi et l’opposition ivoirienne. Mais, il ne s’est pas contenté de se lamenter. Il a saisi l’occasion pour vendre le projet des états généraux de la République (Egr) porté par son parti. Un ensemble de propositions visant aider le pays à renouer avec la paix et la réconciliation. Au dire de l’émissaire du Fpi au Niger, son exposé a suscité un vif intérêt des partis socialistes qui ont pris part à ce Congrès. Ces partis ont été suffisamment édifiés par ce qui ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire. Miaka a donc a eu de nombreuses audiences et l’honneur d’être reçu à dîner par le président Mahamadou Issoufou. Les partis socialistes amis du Fpi lui ont donné l’assurance d’œuvrer à sa réintégration au sein de la famille socialiste africaine. Aussi, ont-ils tous pris l’engagement d’être solidaires devant les nombreux défis qui se dressent devant les partis socialistes et à la gauche démocratique.
Benjamin Koré
Evoquant le motif de son séjour en terre nigérienne, Miaka Ouretto a dit être allé représenter le Fpi au 6ème Congrès du parti au pouvoir du Niger, le parti nigérien pour le socialisme et la démocratie (Pnds-Taraya). Il a dit toute sa satisfaction et relevé combien le Fpi a été admiré lors de cette rencontre. Selon Miaka Ouretto, le Fpi a été honoré par cette invitation de la grande famille des partis de gauche africains. Et plus particulièrement par l’ensemble des partis politiques africains, membres de l’Internationale socialiste.
Soulignant que toute sa joie réside dans le fait qu’il a fait une intervention à la tribune du congrès qui, à l’en croire, lui a permis de dépeindre la situation réelle que vit son parti en Côte d’Ivoire depuis le 11 avril 2011. Une situation qui est, dit-il, un véritable drame. Etant donné que les acquis démocratiques sous la gouvernance du Fpi sont tombés à l’eau. Les libertés et tout ce qui donne un sens à la démocratie connaissent un grand recul sous le régime Ouattara.
Miaka Ouretto a présenté le décor tel que vécu au quotidien par le Fpi et l’opposition ivoirienne. Mais, il ne s’est pas contenté de se lamenter. Il a saisi l’occasion pour vendre le projet des états généraux de la République (Egr) porté par son parti. Un ensemble de propositions visant aider le pays à renouer avec la paix et la réconciliation. Au dire de l’émissaire du Fpi au Niger, son exposé a suscité un vif intérêt des partis socialistes qui ont pris part à ce Congrès. Ces partis ont été suffisamment édifiés par ce qui ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire. Miaka a donc a eu de nombreuses audiences et l’honneur d’être reçu à dîner par le président Mahamadou Issoufou. Les partis socialistes amis du Fpi lui ont donné l’assurance d’œuvrer à sa réintégration au sein de la famille socialiste africaine. Aussi, ont-ils tous pris l’engagement d’être solidaires devant les nombreux défis qui se dressent devant les partis socialistes et à la gauche démocratique.
Benjamin Koré