Comme on pouvait s’y attendre, le Front Populaire Ivoirien (Fpi), dans sa posture du négativisme aveugle, toujours fidèle à lui-même, a sacrifié encore une fois à sa tradition. Celle de considérer, tous les projets et initiatives judicieuses, utiles et louables des autorités d’Abidjan, comme de véritables marres de cauchemars pour les populations ivoiriennes. En effet, à travers une déclaration signée de son Secrétaire Général Laurent Akoun, le parti qui est confronté depuis le 11 avril 2011 à la tempête levée par les vents qu’il a lui-même semés, annonce qu’il s’oppose au recensement général de population prévu par le gouvernement Duncan pour le premier trimestre 2014.
«Le Fpi marque son opposition à ce projet dont les conditions de réussite sont loin d’être réunies. Le Fpi considère cette opération de recensement comme une occasion de gaspillage ou de détournement de derniers publics devant permettre au RDR de rétribuer ses partisans pour autant que ces derniers seront les seuls à être recrutés, au nom de la politique de rattrapage à l’œuvre dans le pays», peut-on lire dans la déclaration du FPI. Les apparatchiks du parti du fils de Koudou Paul, qui ont introduit dans le jeu politique ivoirien, le mensonge, la délation, la manipulation de l’opinion et surtout la violence continuent, à beau jeux, de ramener tout à leur égo. Sans eux, ou du moins tant qu’une initiative ne vient pas d’eux, elle est vouée à l’échec. Ou disons le tout net, le projet est un non sens. Cette propension à se déterminer comme le centre de toute action en terre d’Eburnie montre très clairement que depuis le 11 avril 2011, le FPI qui a perdu de sa lucidité, continue d’aller de convulsion en convulsion.
Envers et contre toute objectivité et pertinence, Laurent Akoun et ses camarades trouvent inopportun le recensement de la population qui fournira des informations fiables sur la structure et la dynamique de la population ivoirienne, mais surtout permettra de mettre à jour la base de données géo-référencée permettant de localiser avec précision, les populations, les infrastructures dans les 108 départements que compte la Côte d’Ivoire. Il faut avoir le courage de reconnaitre ce qui est bien. Si l’on ne peut le faire, dit l’adage africain «il faut simplement se taire». Le FPI, a défaut de courage pour féliciter le gouvernement Ouattara, gagnerait à se taire. Car le projet est d’autant plus utile qu’il est une photographie de la population et a pour objectif la collecte systématique et la diffusion de données démographiques, économiques, sociales et culturelles, laquelle aidera les planificateurs et décideurs tant nationaux qu’internationaux à soutenir la politique de développement de la Côte d’Ivoire.
Moussa Keita
«Le Fpi marque son opposition à ce projet dont les conditions de réussite sont loin d’être réunies. Le Fpi considère cette opération de recensement comme une occasion de gaspillage ou de détournement de derniers publics devant permettre au RDR de rétribuer ses partisans pour autant que ces derniers seront les seuls à être recrutés, au nom de la politique de rattrapage à l’œuvre dans le pays», peut-on lire dans la déclaration du FPI. Les apparatchiks du parti du fils de Koudou Paul, qui ont introduit dans le jeu politique ivoirien, le mensonge, la délation, la manipulation de l’opinion et surtout la violence continuent, à beau jeux, de ramener tout à leur égo. Sans eux, ou du moins tant qu’une initiative ne vient pas d’eux, elle est vouée à l’échec. Ou disons le tout net, le projet est un non sens. Cette propension à se déterminer comme le centre de toute action en terre d’Eburnie montre très clairement que depuis le 11 avril 2011, le FPI qui a perdu de sa lucidité, continue d’aller de convulsion en convulsion.
Envers et contre toute objectivité et pertinence, Laurent Akoun et ses camarades trouvent inopportun le recensement de la population qui fournira des informations fiables sur la structure et la dynamique de la population ivoirienne, mais surtout permettra de mettre à jour la base de données géo-référencée permettant de localiser avec précision, les populations, les infrastructures dans les 108 départements que compte la Côte d’Ivoire. Il faut avoir le courage de reconnaitre ce qui est bien. Si l’on ne peut le faire, dit l’adage africain «il faut simplement se taire». Le FPI, a défaut de courage pour féliciter le gouvernement Ouattara, gagnerait à se taire. Car le projet est d’autant plus utile qu’il est une photographie de la population et a pour objectif la collecte systématique et la diffusion de données démographiques, économiques, sociales et culturelles, laquelle aidera les planificateurs et décideurs tant nationaux qu’internationaux à soutenir la politique de développement de la Côte d’Ivoire.
Moussa Keita