Le président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Pascal Affi N'Guessan, requiert, dans ses vœux du nouvel an, la sagesse des autorités politiques ivoiriennes pour une résolution définitive de la crise en Côte d'Ivoire.
« Puisse Dieu, dans son infinie bonté, inspirer aux autorités politiques, la sagesse nécessaire à la résolution définitive de la crise en Côte d'Ivoire, affermir le soutien de la communauté internationale à notre pays et exaucer le vœu de justice, de liberté et de paix des Ivoiriennes et des Ivoiriens", a déclaré le président du FPI dans son message.
Pour Affi, "le chemin de l'émergence" est une somme d'actions destinées à "faire le deuil de l'échec de toutes les initiatives hasardeuses" et à remettre au goût du jour "la problématique de la réconciliation" nationale pour réussir ensemble le pari de "construction de la nation et de la refondation de l'Etat".
Le président de l'ancien parti au pouvoir invite donc les Ivoiriens "à fermer la sanglante et douloureuse parenthèse de plus de dix ans de violences politiques et d'affrontements armés" et à s'inscrire dans le processus de réconciliation nationale qui passe, selon lui, par les états généraux de la République, seul gage d'une "véritable réconciliation".
Fmo/kp
« Puisse Dieu, dans son infinie bonté, inspirer aux autorités politiques, la sagesse nécessaire à la résolution définitive de la crise en Côte d'Ivoire, affermir le soutien de la communauté internationale à notre pays et exaucer le vœu de justice, de liberté et de paix des Ivoiriennes et des Ivoiriens", a déclaré le président du FPI dans son message.
Pour Affi, "le chemin de l'émergence" est une somme d'actions destinées à "faire le deuil de l'échec de toutes les initiatives hasardeuses" et à remettre au goût du jour "la problématique de la réconciliation" nationale pour réussir ensemble le pari de "construction de la nation et de la refondation de l'Etat".
Le président de l'ancien parti au pouvoir invite donc les Ivoiriens "à fermer la sanglante et douloureuse parenthèse de plus de dix ans de violences politiques et d'affrontements armés" et à s'inscrire dans le processus de réconciliation nationale qui passe, selon lui, par les états généraux de la République, seul gage d'une "véritable réconciliation".
Fmo/kp