Les pétards lancés par des badauds ont retenti mercredi, à 00H, sur la baie lagunaire de la commune du Plateau, pour annoncer l'avènement de la nouvelle année, devançant ainsi les feux d'artifice attendus par le public qui a fait nombreux le déplacement, a constaté l'AIP.
Attendant patiemment l'heure fixée par les organisateurs, à savoir 00H 30 mn, le public a eu droit à des crépitements de pétards sous le regard passif et impuissant des forces de l'ordre qui, eu égard au triste feuilleton de 2012, n'ont pas voulu disperser la foule compacte au milieu de laquelle il était difficile de se frayer un passage.
Devant la qualité peu séductrice des pétards, des spectateurs qui étaient à leur première expérience des feux d'artifice n'ont pas manqué de crier leur mécontentement.
"Si c'est comme ça que ça se passe, c'est que ça ne vaut rien du tout. Autant rentrer à la maison", affirmait une jeune dame à un homme avec qui elle ne cessait d'échanger.
L'usage des pétards pendant les fêtes de fin d'année fait l'objet d'une interdiction par un arrêté du ministère de l'Intérieur et de la Sécurité, depuis plus d'une décennie.
Tout contrevenant à cette mesure est passible de poursuites judiciaires, souligne l'arrêté qui a été, pendant quelques minutes, froissé au grand dam des Abidjanais qui se sont déplacés dans la commune des affaires pour suivre les feux d'artifice, a-t-on noté.
Fmo/kkp/kp
Attendant patiemment l'heure fixée par les organisateurs, à savoir 00H 30 mn, le public a eu droit à des crépitements de pétards sous le regard passif et impuissant des forces de l'ordre qui, eu égard au triste feuilleton de 2012, n'ont pas voulu disperser la foule compacte au milieu de laquelle il était difficile de se frayer un passage.
Devant la qualité peu séductrice des pétards, des spectateurs qui étaient à leur première expérience des feux d'artifice n'ont pas manqué de crier leur mécontentement.
"Si c'est comme ça que ça se passe, c'est que ça ne vaut rien du tout. Autant rentrer à la maison", affirmait une jeune dame à un homme avec qui elle ne cessait d'échanger.
L'usage des pétards pendant les fêtes de fin d'année fait l'objet d'une interdiction par un arrêté du ministère de l'Intérieur et de la Sécurité, depuis plus d'une décennie.
Tout contrevenant à cette mesure est passible de poursuites judiciaires, souligne l'arrêté qui a été, pendant quelques minutes, froissé au grand dam des Abidjanais qui se sont déplacés dans la commune des affaires pour suivre les feux d'artifice, a-t-on noté.
Fmo/kkp/kp