Deux Ivoiriens ont trouvé la mort dans les violences qui ont secoué Bangui, capitale centrafricaine, a appris Xinhua mercredi auprès de la Communauté ivoirienne vivant en Centrafrique.
Selon le président de la communauté, Ndja Kouassi, les deux Ivoiriens ont été tués par balles alors qu'ils avaient trouvé refuge dans des familles d'accueil.
Une source proche du ministère ivoirien des Affaires étrangères a confirmé les décès, notant que "le nécessaire sera fait pour le rapatriement des corps en Côte d'Ivoire".
Face à la flambée de violence en Centrafrique, les autorités ivoiriennes ont organisé le rapatriement de 123 ressortissants vivant dans ce pays.
Ceux-ci sont arrivés lundi à l'aéroport d'Abidjan à bord d'un vol spécial et la plupart d'entre eux ont exprimé leur soulagement de regagner le pays après le calvaire vécu dans la crise centrafricaine.
De nombreux civils sont pris au piège dans des combats à Bangui entre la coalition de l'ex-rébellion Séléka et les milices Anti-Balaka.
Selon la Croix-Rouge, les tueries intercommunautaires liées aux représailles entre groupes à majorité chrétienne et groupes à majorité musulmane ont fait un millier de morts à Bangui depuis le 5 décembre, date du début de l'intervention française à travers l'opération "Sangaris".
Le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) s'est dit "alarmé" quant à la détérioration de la sécurité en République centrafricaine et "préoccupé" par la sécurité des civils pris au piège dans les combats.
Selon le président de la communauté, Ndja Kouassi, les deux Ivoiriens ont été tués par balles alors qu'ils avaient trouvé refuge dans des familles d'accueil.
Une source proche du ministère ivoirien des Affaires étrangères a confirmé les décès, notant que "le nécessaire sera fait pour le rapatriement des corps en Côte d'Ivoire".
Face à la flambée de violence en Centrafrique, les autorités ivoiriennes ont organisé le rapatriement de 123 ressortissants vivant dans ce pays.
Ceux-ci sont arrivés lundi à l'aéroport d'Abidjan à bord d'un vol spécial et la plupart d'entre eux ont exprimé leur soulagement de regagner le pays après le calvaire vécu dans la crise centrafricaine.
De nombreux civils sont pris au piège dans des combats à Bangui entre la coalition de l'ex-rébellion Séléka et les milices Anti-Balaka.
Selon la Croix-Rouge, les tueries intercommunautaires liées aux représailles entre groupes à majorité chrétienne et groupes à majorité musulmane ont fait un millier de morts à Bangui depuis le 5 décembre, date du début de l'intervention française à travers l'opération "Sangaris".
Le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) s'est dit "alarmé" quant à la détérioration de la sécurité en République centrafricaine et "préoccupé" par la sécurité des civils pris au piège dans les combats.
