Ça repart. De plus belle. Les joutes verbales ont repris. Comme le dirait quelqu'un. Le ton est donné à moins de deux ans des élections présidentielles. La bataille ne fait pas encore rage. Certes. Mais la rage des camps est déjà perceptible. Candidature. Éligibilité. Chaque camp affûte ses armes. Aiguise sa langue. Parce que ça s'annonce épique. Houleux. Pourvu qu'on utilise le bon ton. 2011 est encore frais dans nos esprits. La Centrafrique aussi. Méditons !
Guillaume AHOUTOU
Guillaume AHOUTOU