La mairie de Daloa va bénéficier, grâce au Projet d’urgence d’infrastructures urbaines (PUIUR), d’un financement d’un peu plus de deux milliards de francs CFA, de la Banque Mondiale, sur une période de trois ans (2014,2015 et 2016) pour des équipements socioculturels modernes.
Ce sont au total 700 millions à 800 millions de ressources additionnelles annuelles que va récévoir la mairie. L’information a été communiquée mardi, à la population par les responsables du Cabinet BERGEC-GERARD qui ont fait en collaboration avec la direction générale de la décentralisation et du développement local (DGDDL) et le PUIUR, la cérémonie de restitution des travaux des audits urbains, financiers et organisationnels de la commune, dans le cadre global d’un projet intitulé contrat de ville.
Le maire Samba Coulibaly qui a exprimé sa satisfaction à l’issue de la séance de restitution, s’est réjoui de la mise en place prochaine d’un certain nombre d’infrastructures sociales et culturelles, notamment des écoles maternelles pour faire face à la demande croissante, la dotation des écoles primaires en clôtures, en cantines et en latrines. Tout cela en vue de contribuer à un meilleur rendement des écoliers.
Au-delà des écoles, le maire a fait état de l’acquisition d’engins lourds devant permettre aux services techniques municipaux de ré-profiler et de réparer la voirie en terre à 95%.
S’agissant d’équipements marchands, le projet n’a retenu que la réhabilitation de l’abattoir municipal. Par contre, il permettra de construire un foyer polyvalent moderne au profit des jeunes et des femmes avec des aires de jeux de football, de basketball, de volleyball, de handball etc. qui contribuera à assurer un mieux être aux populations, selon le maire.
Mais pour permettre à la municipalité de mener à bien tous ces projets, l’officier d’Etat civil, a demandé à ses administrés de payer en tant que contribuables, leurs impôts ainsi que les taxes dues à la mairie, afin de lui permettre de mobiliser sur les trois ans à venir, la somme de 222 millions de francs pour le programme d’entretien prioritaire, faisant partie des mesures d’accompagnement à la réalisation du programme défini.
Le contrat de ville, selon M. Paul Gbéri Richard, assistant du coordonnateur du PUIUR est un instrument efficace de planification et de mise en œuvre concertée et partagée de programmes de développement local.
La première phase de cette initiative a été expérimentée par deux communes pilotes : Yopougon et Korhogo, et huit autres communes pilotes, à savoir Port-Bouët, Koumassi, Adjamé, Abobo, Divo, San pedro, Bouaké et Daloa, sont actuellement concernées par le projet qui devrait s’étendre à d’autres collectivités en cas de réussite.
Yy/Ask
Ce sont au total 700 millions à 800 millions de ressources additionnelles annuelles que va récévoir la mairie. L’information a été communiquée mardi, à la population par les responsables du Cabinet BERGEC-GERARD qui ont fait en collaboration avec la direction générale de la décentralisation et du développement local (DGDDL) et le PUIUR, la cérémonie de restitution des travaux des audits urbains, financiers et organisationnels de la commune, dans le cadre global d’un projet intitulé contrat de ville.
Le maire Samba Coulibaly qui a exprimé sa satisfaction à l’issue de la séance de restitution, s’est réjoui de la mise en place prochaine d’un certain nombre d’infrastructures sociales et culturelles, notamment des écoles maternelles pour faire face à la demande croissante, la dotation des écoles primaires en clôtures, en cantines et en latrines. Tout cela en vue de contribuer à un meilleur rendement des écoliers.
Au-delà des écoles, le maire a fait état de l’acquisition d’engins lourds devant permettre aux services techniques municipaux de ré-profiler et de réparer la voirie en terre à 95%.
S’agissant d’équipements marchands, le projet n’a retenu que la réhabilitation de l’abattoir municipal. Par contre, il permettra de construire un foyer polyvalent moderne au profit des jeunes et des femmes avec des aires de jeux de football, de basketball, de volleyball, de handball etc. qui contribuera à assurer un mieux être aux populations, selon le maire.
Mais pour permettre à la municipalité de mener à bien tous ces projets, l’officier d’Etat civil, a demandé à ses administrés de payer en tant que contribuables, leurs impôts ainsi que les taxes dues à la mairie, afin de lui permettre de mobiliser sur les trois ans à venir, la somme de 222 millions de francs pour le programme d’entretien prioritaire, faisant partie des mesures d’accompagnement à la réalisation du programme défini.
Le contrat de ville, selon M. Paul Gbéri Richard, assistant du coordonnateur du PUIUR est un instrument efficace de planification et de mise en œuvre concertée et partagée de programmes de développement local.
La première phase de cette initiative a été expérimentée par deux communes pilotes : Yopougon et Korhogo, et huit autres communes pilotes, à savoir Port-Bouët, Koumassi, Adjamé, Abobo, Divo, San pedro, Bouaké et Daloa, sont actuellement concernées par le projet qui devrait s’étendre à d’autres collectivités en cas de réussite.
Yy/Ask