En grande forme avec le FC Rostov, Ligue 1 russe, le latéral droit international espère se faire une place au soleil avec la Côte d’Ivoire au Brésil, en juin prochain. Snobé par Sabri Lamouchi, Igo Lolo, l’ancien joueur de Monaco, garde espoir.
Quel bilan faites-vous de votre première partie de saison avec votre club?
Je pense que le bilan est satisfaisant d’autant plus que j’ai réussi à m’imposer au FC Rostov. Ce n’est pas évident quand on arrive dans une nouvelle formation. Le coach m’a fait confiance, dès le début. J’ai saisi ma chance. Et l’équipe a réalisé de bons résultats.
Quels sont les objectifs que vous ont assignés vos dirigeants ?
Le FC Rostov est un club ambitieux. Le souhait des dirigeants, c’est de hisser le club parmi les meilleurs de Russie. Pour ce faire, ils ont commencé à recruter de grands joueurs des cadors locaux comme le Zénith, le Dynamo, le Cska…L’année passée, le club a connu une saison difficile. Mais cette année, l’objectif c’est d’être classé parmi les dix premiers et aller surtout chercher une place européenne. Au niveau personnel, j’aimerais bien réaliser une bonne fin de saison afin d’être au Mondial.
Parlant de l’équipe nationale, vous n’avez pas été rappelé par Sabri Lamouchi après la Can 2013. Avez-vous un problème avec le sélectionneur?
Non, je n’ai jamais eu de problème avec le coach. Il m’a même souvent appelé au téléphone pour s’enquérir de mes nouvelles et me donner quelques conseils. Mais c’est vrai que je n’ai plus été appelé en sélection depuis la Can 2013. Je ne sais pas ce qui se passe. Mais je suis quelqu’un qui respecte les choix d’un entraîneur. C’est à moi de me battre pour retrouver ma place en sélection. Seul le travail paie. J’ai encore une carte à jouer et je ne baisserai pas les bras.
Espérerez-vous encore être au Brésil dans cinq mois ?
Je n’ai jamais désespéré depuis que je joue au football. Le coach me connaît. J’ai fait partie de l’équipe pendant une longue période et participé aux éliminatoires de la Coupe du monde. Aujourd’hui, il semble ne plus me faire confiance, mais c’est à moi de me battre pour lui faire changer d’idée. Comme je l’ai dit, je vais travailler deux fois encore plus et donner le meilleur de moi-même. Cette Coupe du monde, je ne veux en aucun cas la rater. J’y crois fermement.
Le sélectionneur compose désormais avec de nouveaux joueurs au poste de latéral droit. Est-ce à dire qu’ils sont meilleurs que vous?
Chacun a son opinion, mais je ne veux pas rentrer dans la polémique. Ce sont des joueurs qui sont là pour aider l’équipe nationale de Côte d’Ivoire. Cela instaure la concurrence dans le groupe. C’est à chacun de se battre pour avoir les faveurs et la confiance de l’entraîneur. C’est cela le haut niveau. On doit toujours se battre pour être le meilleur. Je continue de bosser de mon côté en attendant d’être rappelé pour défendre les couleurs de mon pays. L’équipe nationale me tient vraiment à cœur.
Réalisée par Abdoul Taddei
Quel bilan faites-vous de votre première partie de saison avec votre club?
Je pense que le bilan est satisfaisant d’autant plus que j’ai réussi à m’imposer au FC Rostov. Ce n’est pas évident quand on arrive dans une nouvelle formation. Le coach m’a fait confiance, dès le début. J’ai saisi ma chance. Et l’équipe a réalisé de bons résultats.
Quels sont les objectifs que vous ont assignés vos dirigeants ?
Le FC Rostov est un club ambitieux. Le souhait des dirigeants, c’est de hisser le club parmi les meilleurs de Russie. Pour ce faire, ils ont commencé à recruter de grands joueurs des cadors locaux comme le Zénith, le Dynamo, le Cska…L’année passée, le club a connu une saison difficile. Mais cette année, l’objectif c’est d’être classé parmi les dix premiers et aller surtout chercher une place européenne. Au niveau personnel, j’aimerais bien réaliser une bonne fin de saison afin d’être au Mondial.
Parlant de l’équipe nationale, vous n’avez pas été rappelé par Sabri Lamouchi après la Can 2013. Avez-vous un problème avec le sélectionneur?
Non, je n’ai jamais eu de problème avec le coach. Il m’a même souvent appelé au téléphone pour s’enquérir de mes nouvelles et me donner quelques conseils. Mais c’est vrai que je n’ai plus été appelé en sélection depuis la Can 2013. Je ne sais pas ce qui se passe. Mais je suis quelqu’un qui respecte les choix d’un entraîneur. C’est à moi de me battre pour retrouver ma place en sélection. Seul le travail paie. J’ai encore une carte à jouer et je ne baisserai pas les bras.
Espérerez-vous encore être au Brésil dans cinq mois ?
Je n’ai jamais désespéré depuis que je joue au football. Le coach me connaît. J’ai fait partie de l’équipe pendant une longue période et participé aux éliminatoires de la Coupe du monde. Aujourd’hui, il semble ne plus me faire confiance, mais c’est à moi de me battre pour lui faire changer d’idée. Comme je l’ai dit, je vais travailler deux fois encore plus et donner le meilleur de moi-même. Cette Coupe du monde, je ne veux en aucun cas la rater. J’y crois fermement.
Le sélectionneur compose désormais avec de nouveaux joueurs au poste de latéral droit. Est-ce à dire qu’ils sont meilleurs que vous?
Chacun a son opinion, mais je ne veux pas rentrer dans la polémique. Ce sont des joueurs qui sont là pour aider l’équipe nationale de Côte d’Ivoire. Cela instaure la concurrence dans le groupe. C’est à chacun de se battre pour avoir les faveurs et la confiance de l’entraîneur. C’est cela le haut niveau. On doit toujours se battre pour être le meilleur. Je continue de bosser de mon côté en attendant d’être rappelé pour défendre les couleurs de mon pays. L’équipe nationale me tient vraiment à cœur.
Réalisée par Abdoul Taddei