« C’est quand un militant a cotisé qu’il peut compter sur la solidarité du parti. Pour amener les militants à cotiser, il faut les identifier à la base. » C’est une des recommandations faite, samedi dernier, au Qg du Fpi à Abidjan-Attoban, par Laurent Akoun, Secrétaire général du Fpi. Il s’adressait aux secrétaires nationaux chargés des fédérations dans les régions. Etant les interlocuteurs de la direction du Fpi, ceux-ci ont échangé avec la vice-présidente chargée de la vie du parti, Marie Odette Lorougnon. Assistée de Laurent Akoun, Simone N’Guessan, Ettien Amoikon et Me Kouassi André.
La rencontre était consacrée à la vie des fédérations, des sections et des comités de base. Il était aussi question de l’achat des cartes, de la collecte de fonds baptisée « je donne au Fpi ». Cette opération, au dire de la chargée du patrimoine du Fpi, Simone N’Guessan, doit se poursuivre dans les régions pour permettre aux militants de base de donner les moyens au Fpi.
Marie Odette Lorougnon, Laurent Akoun et Simone N’Guessan ont recommandé à leurs interlocuteurs de suffisamment amplifier cette opération. Le secrétaire général du Fpi a profité pour demander aux secrétaires nationaux d’œuvrer à grossir les rangs du parti par l’adhésion de nouveaux militants. « Un parti qui ne recrute pas, est condamné à mourir. Il faut faire venir de nouveau militants », exige-t-il. Expliquant que cette mission de recrutement de militants incombe aux comités de base. Pour Marie- Odette Lorougnon, les animateurs des structures de base doivent également identifier les militants. Afin d’aider, souligne-t-elle, le parti à maitriser le nombre de ses adhésions. Elle précise que c’est en connaissant le nombre des adhérents et leur identités qu’il sera plus aisé de collecter les fonds pour soutenir leur parti. Ils ont invité les secrétaires nationaux à se redéployer dans les régions pour faire des propositions au parti sur ces questions.
Répondant aux difficultés que rencontrent certaines structures, Akoun et Marie- Odette Lorougnon ont exigé que les textes soient la boussole des décisions. Pour Akoun, la création de nouvelles fédérations doit obéir aux textes. Mais il a fait remarquer que des options peuvent s’imposer à titre exceptionnel. « Là où les crises persistent, nous serons obligés d’aller à des élections pour les régler définitivement », a ajouté Marie- Odette Lorougnon.
Benjamin Koré
La rencontre était consacrée à la vie des fédérations, des sections et des comités de base. Il était aussi question de l’achat des cartes, de la collecte de fonds baptisée « je donne au Fpi ». Cette opération, au dire de la chargée du patrimoine du Fpi, Simone N’Guessan, doit se poursuivre dans les régions pour permettre aux militants de base de donner les moyens au Fpi.
Marie Odette Lorougnon, Laurent Akoun et Simone N’Guessan ont recommandé à leurs interlocuteurs de suffisamment amplifier cette opération. Le secrétaire général du Fpi a profité pour demander aux secrétaires nationaux d’œuvrer à grossir les rangs du parti par l’adhésion de nouveaux militants. « Un parti qui ne recrute pas, est condamné à mourir. Il faut faire venir de nouveau militants », exige-t-il. Expliquant que cette mission de recrutement de militants incombe aux comités de base. Pour Marie- Odette Lorougnon, les animateurs des structures de base doivent également identifier les militants. Afin d’aider, souligne-t-elle, le parti à maitriser le nombre de ses adhésions. Elle précise que c’est en connaissant le nombre des adhérents et leur identités qu’il sera plus aisé de collecter les fonds pour soutenir leur parti. Ils ont invité les secrétaires nationaux à se redéployer dans les régions pour faire des propositions au parti sur ces questions.
Répondant aux difficultés que rencontrent certaines structures, Akoun et Marie- Odette Lorougnon ont exigé que les textes soient la boussole des décisions. Pour Akoun, la création de nouvelles fédérations doit obéir aux textes. Mais il a fait remarquer que des options peuvent s’imposer à titre exceptionnel. « Là où les crises persistent, nous serons obligés d’aller à des élections pour les régler définitivement », a ajouté Marie- Odette Lorougnon.
Benjamin Koré