Réoccuper le terrain politique au centre et au nord après l’épisode de la guerre. Telle est la mission confiée par la vice-présidente du Fpi et secrétaire nationale de l’Organisation des femmes du Front populaire ivoirien (Offpi), l’ex-députée Marie-Odette Lorougnon, aux jeunes militants du Fpi issus de ces deux zones. C’était samedi dernier, à la faveur de l’atelier sur «la remobilisation des structures de la JFpi des régions centre et nord de la Côte d’Ivoire», organisé au siège provisoire du parti sis à Cocody-Attoban.
«Le nord et le centre ne doivent plus appartenir à des com’zones ou ex-combattants. Nous devons contribuer efficacement à la restauration de l’Etat de droit en Côte d’Ivoire. Jeunes du Fpi, nous devons nous mobiliser pour maîtriser tout le territoire national, si nous voulons gagner les élections», a-t-elle martelé. La responsable de l’Offpi a déploré le règne des bandes armées et singulièrement des com’zones, qui font la pluie et le beau temps dans ces parties du pays. «Le nord et le centre ne sont pas la chasse gardée de quelqu’un. Ces deux zones sont sur le territoire ivoirien et appartiennent à tous les Ivoiriens», a-t-elle indiqué.
Pour relever le défi, la vice-présidente du Front populaire ivoirien a demandé aux animateurs des structures de jeunesse du nord et du centre de s’armer à la fois de courage et d’abnégation pour pouvoir convaincre les populations à adhérer au projet du Fpi. Toute chose qui, dira-t-elle, passe d’abord par la restauration de la vérité par rapport aux mensonges entretenus pour retourner les populations contre le parti de Laurent Gbagbo. Marie-Odette Lorougnon a rendu hommage à la jeunesse pour son engagement dans la lutte, malgré la farouche obstination du régime à ne pas ouvrir le jeu politique.
«Vous êtes une jeunesse exceptionnelle. Car vous allez au-delà de l’espérance», affirmera-t-elle.
La secrétaire nationale de l’Offpi s’est réjouie de l’initiative du bureau exécutif de la Jfpi, car, selon elle, la formation est un instrument important dans la lutte politique. Elle a, par ailleurs, annoncé que la direction du Fpi compte organiser, à son tour, deux séminaires pour réfléchir sur les stratégies de reconquête de ces deux zones et le renforcement de l’implantation du Fpi, dans les autres régions du pays.
Le secrétaire national par intérim de la JFpi, Justin Koua, a abondé dans le même pour dire que c’est une mission qui est bien dans les possibilités de la Jfpi pourvu que les uns et les autres acceptent de se battre. «Il nous faut un programme clair de reprise des activités dans ces deux régions, au sortir de cet atelier. Le Fpi ne doit pas perdre le nord et le centre. Nous allons reprendre ces deux régions, si nous sommes engagés et conquérants», a martelé Justin Koua, secrétaire national par intérim de la Jfpi. Pour lui, la restauration de la démocratie et des libertés doit impérativement commencer par le nord et le centre de la Côte d’Ivoire.
César Ebrokié
«Le nord et le centre ne doivent plus appartenir à des com’zones ou ex-combattants. Nous devons contribuer efficacement à la restauration de l’Etat de droit en Côte d’Ivoire. Jeunes du Fpi, nous devons nous mobiliser pour maîtriser tout le territoire national, si nous voulons gagner les élections», a-t-elle martelé. La responsable de l’Offpi a déploré le règne des bandes armées et singulièrement des com’zones, qui font la pluie et le beau temps dans ces parties du pays. «Le nord et le centre ne sont pas la chasse gardée de quelqu’un. Ces deux zones sont sur le territoire ivoirien et appartiennent à tous les Ivoiriens», a-t-elle indiqué.
Pour relever le défi, la vice-présidente du Front populaire ivoirien a demandé aux animateurs des structures de jeunesse du nord et du centre de s’armer à la fois de courage et d’abnégation pour pouvoir convaincre les populations à adhérer au projet du Fpi. Toute chose qui, dira-t-elle, passe d’abord par la restauration de la vérité par rapport aux mensonges entretenus pour retourner les populations contre le parti de Laurent Gbagbo. Marie-Odette Lorougnon a rendu hommage à la jeunesse pour son engagement dans la lutte, malgré la farouche obstination du régime à ne pas ouvrir le jeu politique.
«Vous êtes une jeunesse exceptionnelle. Car vous allez au-delà de l’espérance», affirmera-t-elle.
La secrétaire nationale de l’Offpi s’est réjouie de l’initiative du bureau exécutif de la Jfpi, car, selon elle, la formation est un instrument important dans la lutte politique. Elle a, par ailleurs, annoncé que la direction du Fpi compte organiser, à son tour, deux séminaires pour réfléchir sur les stratégies de reconquête de ces deux zones et le renforcement de l’implantation du Fpi, dans les autres régions du pays.
Le secrétaire national par intérim de la JFpi, Justin Koua, a abondé dans le même pour dire que c’est une mission qui est bien dans les possibilités de la Jfpi pourvu que les uns et les autres acceptent de se battre. «Il nous faut un programme clair de reprise des activités dans ces deux régions, au sortir de cet atelier. Le Fpi ne doit pas perdre le nord et le centre. Nous allons reprendre ces deux régions, si nous sommes engagés et conquérants», a martelé Justin Koua, secrétaire national par intérim de la Jfpi. Pour lui, la restauration de la démocratie et des libertés doit impérativement commencer par le nord et le centre de la Côte d’Ivoire.
César Ebrokié