Abidjan (Côte d'Ivoire) - Une dizaine de partis politiques de l’opposition ivoirienne ont crée, vendredi soir, une « alliance» pour la conquête des « libertés » et de la « démocratie » en Côte d’Ivoire.
« Nous nous sommes réunis pour mettre ensemble une alliance pour la conquête du pouvoir des libertés et de la démocratie », a déclaré le porte-parole de cette nouvelle coalition, Kabran Appiah.
Cette nouvelle « alliance » qui compte neuf partis politiques se compose notamment de Liberté et Démocratie pour la République (LIDER) de Mamadou Koulibaly et de CAP Unir pour la Démocratie et le Développement (CAP-UDD) de Gervais Coulibaly.
Mamadou Koulibaly et Gervais Coulibaly, respectivement ancien président de l'Assemblée nationale et porte-parole de l'ex-Chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, se démarquent ainsi du Front populaire ivoirien (FPI, ex-parti au pouvoir) et ses amis du front « commun », en gestation, contre le Chef de l'Etat et son gouvernement.
Jeudi dernier, le FPI, et 9 autres formations politiques de l'opposition se sont retrouvés au siège du parti de Laurent Gbagbo pour approfondir l'idée de création d'un front « commun » de l'opposition contre le pouvoir. Après une première rencontre de prise de contacts, la semaine écoulée, ces partis se sont, donc, retrouvés pour évaluer ce qui a été fait.
Selon une source participante contactée par APA, le comité de réflexion mis en place, à cet effet, a rendu compte, de sa mission. Dans l'ensemble, l'idée de création d'un front commun de lutte est, désormais acquise.
« Il s'agit maintenant de formaliser tout cela, dans un texte réglementaire pour savoir sur quelle base chaque parti intègrera la plate-forme » ,avait-elle expliqué.
« Le comité ad' hoc va nettoyer les textes qui seront adoptés à la prochaine réunion, prévue la semaine prochaine. Car des amendements ont été apportés sur ce que le comité de réflexion a rédigé et il est question d'en tenir compte », précisait la même source qui ajoutait que « la dénomination de ce front sera également connue ».
A l'initiative du FPI, des partis politiques de l'opposition ont jeté, il y a une semaine, les bases d'une plate-forme de lutte commune dans le cadre du dialogue politique avec le pouvoir.
LS
« Nous nous sommes réunis pour mettre ensemble une alliance pour la conquête du pouvoir des libertés et de la démocratie », a déclaré le porte-parole de cette nouvelle coalition, Kabran Appiah.
Cette nouvelle « alliance » qui compte neuf partis politiques se compose notamment de Liberté et Démocratie pour la République (LIDER) de Mamadou Koulibaly et de CAP Unir pour la Démocratie et le Développement (CAP-UDD) de Gervais Coulibaly.
Mamadou Koulibaly et Gervais Coulibaly, respectivement ancien président de l'Assemblée nationale et porte-parole de l'ex-Chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, se démarquent ainsi du Front populaire ivoirien (FPI, ex-parti au pouvoir) et ses amis du front « commun », en gestation, contre le Chef de l'Etat et son gouvernement.
Jeudi dernier, le FPI, et 9 autres formations politiques de l'opposition se sont retrouvés au siège du parti de Laurent Gbagbo pour approfondir l'idée de création d'un front « commun » de l'opposition contre le pouvoir. Après une première rencontre de prise de contacts, la semaine écoulée, ces partis se sont, donc, retrouvés pour évaluer ce qui a été fait.
Selon une source participante contactée par APA, le comité de réflexion mis en place, à cet effet, a rendu compte, de sa mission. Dans l'ensemble, l'idée de création d'un front commun de lutte est, désormais acquise.
« Il s'agit maintenant de formaliser tout cela, dans un texte réglementaire pour savoir sur quelle base chaque parti intègrera la plate-forme » ,avait-elle expliqué.
« Le comité ad' hoc va nettoyer les textes qui seront adoptés à la prochaine réunion, prévue la semaine prochaine. Car des amendements ont été apportés sur ce que le comité de réflexion a rédigé et il est question d'en tenir compte », précisait la même source qui ajoutait que « la dénomination de ce front sera également connue ».
A l'initiative du FPI, des partis politiques de l'opposition ont jeté, il y a une semaine, les bases d'une plate-forme de lutte commune dans le cadre du dialogue politique avec le pouvoir.
LS