A la suite d’un appel à candidature lancé par la Commission de l’Uemoa [Union économique et monétaire ouest-africaine], des jeunes opérateurs de l’espace économique ont été sélectionnés pour être de la 8è promotion du projet Talent du Monde (Tdm). Au nombre de douze (12) dont deux de la Côte d’Ivoire, cinq (5) du Burkina Faso, trois (3) Maliens, un Togolais et un Nigérien, ils ont été formés à l’Institut Marie-Thérèse Solarcroup à Dinard, en France – de septembre à novembre 2013. De retour à Abidjan, Fougnibé Koné, administrateur général de Groupe international Nouvelan (G.I.N Sa) a tenu à partager son expérience acquise pendant ladite formation. «Je voudrais inviter tous les jeunes africains de l’espace Uemoa et surtout les jeunes Ivoiriens à s’approprier ce programme de formation. Il ne faut jamais hésiter à présenter vos projets au programme Talent du Monde», a-t-il motivé.
S’il souhaitait diversifier ses activités agro alimentaires, Fougnibé Koné a dit saisir la «belle opportunité» que lui a offerte l’initiative Tdm pour «peaufiner» et élaborer son projet de mise en place en Côte d’Ivoire [région d’Alépé] d’une unité de production et de commercialisation d’huile de palme. Le choix de ce secteur consiste, soutient-il, à «résorber le taux de chômage».
Bénéficier de ce programme est pour Fougnibé «une chance» et il entend mettre «à la disposition des autres» ce qu’il a appris. Cette immersion en France a été orientée sur une formation théorique et de stage en entreprise.
Formé au management, à l’organisation du travail, à la connaissance de l’entreprise et la citoyenneté, la gestion financière, la communication d’entreprise, la logistique, Fougnibé dont la société intervient également dans le commerce des produits tropicaux et la prestation de services, avoue avoir été «marqué par le Mastership» [management de l’entreprise] qui met «l’employé au centre de l’entreprise». «Ce module m’a surtout permis de comprendre que dans une entreprise, l’ego doit laisser sa place aux décisions mutuelles et consensuelles. La formation, explique-t-il, était axée autour de l’employé que nous devons voir comme un collaborateur, un être humain qui est ou peut être issu d’un autre horizon et qui mérite respect, attention et considération. Un collaborateur à qui il faut faire confiance et qu’il faut surtout mettre dans les conditions de travail optimales». Avec un regard aujourd’hui différent de sa conception de l’entreprise, Fougnibé Koné qui est membre du Forum national des jeunes entrepreneurs de Côte d’Ivoire, invite à la formation. «La formation m’a apporté beaucoup de choses. Pour moi, en entreprise, il fallait se fixer sur les résultats. Pendant la formation, j’ai appris à mettre l’homme au centre de l’entreprise. C’est un atout fondamental. Je souhaite vivement que beaucoup de jeunes Ivoiriens puissent participer à ce genre de programme qui pourra aider les jeunes entrepreneurs ivoiriens à se frotter à ceux des autres pays et continents», a-t-il espéré.
De Talent du Monde, Fougnibé retient qu’il «permet d’apprendre beaucoup dans le cadre de la gestion de l’entreprise et surtout d’échanger avec les entrepreneurs des autres régions du monde».
Koné Saydoo
S’il souhaitait diversifier ses activités agro alimentaires, Fougnibé Koné a dit saisir la «belle opportunité» que lui a offerte l’initiative Tdm pour «peaufiner» et élaborer son projet de mise en place en Côte d’Ivoire [région d’Alépé] d’une unité de production et de commercialisation d’huile de palme. Le choix de ce secteur consiste, soutient-il, à «résorber le taux de chômage».
Bénéficier de ce programme est pour Fougnibé «une chance» et il entend mettre «à la disposition des autres» ce qu’il a appris. Cette immersion en France a été orientée sur une formation théorique et de stage en entreprise.
Formé au management, à l’organisation du travail, à la connaissance de l’entreprise et la citoyenneté, la gestion financière, la communication d’entreprise, la logistique, Fougnibé dont la société intervient également dans le commerce des produits tropicaux et la prestation de services, avoue avoir été «marqué par le Mastership» [management de l’entreprise] qui met «l’employé au centre de l’entreprise». «Ce module m’a surtout permis de comprendre que dans une entreprise, l’ego doit laisser sa place aux décisions mutuelles et consensuelles. La formation, explique-t-il, était axée autour de l’employé que nous devons voir comme un collaborateur, un être humain qui est ou peut être issu d’un autre horizon et qui mérite respect, attention et considération. Un collaborateur à qui il faut faire confiance et qu’il faut surtout mettre dans les conditions de travail optimales». Avec un regard aujourd’hui différent de sa conception de l’entreprise, Fougnibé Koné qui est membre du Forum national des jeunes entrepreneurs de Côte d’Ivoire, invite à la formation. «La formation m’a apporté beaucoup de choses. Pour moi, en entreprise, il fallait se fixer sur les résultats. Pendant la formation, j’ai appris à mettre l’homme au centre de l’entreprise. C’est un atout fondamental. Je souhaite vivement que beaucoup de jeunes Ivoiriens puissent participer à ce genre de programme qui pourra aider les jeunes entrepreneurs ivoiriens à se frotter à ceux des autres pays et continents», a-t-il espéré.
De Talent du Monde, Fougnibé retient qu’il «permet d’apprendre beaucoup dans le cadre de la gestion de l’entreprise et surtout d’échanger avec les entrepreneurs des autres régions du monde».
Koné Saydoo
