Quatre jours après le passage d’une délégation du FPI au forum ‘’Investir en Côte d’Ivoire 2014’’, le président de ce parti revient, sur sa page Facebook, sur les motivations de cette vite.
Certes à chaud, Affi N’Guessan s’était justifié, vendredi dernier, sur les raisons de sa présence au Forum ‘’Investir en Côte d’Ivoire 2014’’. Mais le président du FPI ne s’arrête pas là. Hier, sur sa page Facebook, l’ancien pensionnaire de la prison de Bouna revient sur les mobiles de la démarche du FPI. « A la tête d'une délégation du FPI, nous nous sommes rendus à l'Hôtel Ivoire à Cocody, le vendredi 31 janvier 2014, pour une visite des stands du Forum investir en Côte d'Ivoire (ICI 2014). Nous y sommes allés pour montrer que pour le développement de la Côte d'Ivoire, il n'y a pas de clivage politique », ressasse-t-il, tentant ainsi d’envoyer un signal fort, sur la volonté de son parti à s’inscrire dans le cadre républicain. C’est que pendant longtemps, l’ex-parti présidentiel s’est fait désirer à la table de discussion avec le Gouvernement. Entre préalables et conditions, les frontistes ont fini par lâcher du lest. Ils ont enfin rencontré le ministre Ahoussou Kouadio Jeannot, qui conduit les débats, pour le compte de l’Exécutif. C’était le mardi 14 janvier dernier. Pour Affi, il faut montrer à la face du monde «que la classe politique ivoirienne est mobilisée pour la reconstruction de la Côte d'Ivoire et à faire en sorte à ne pas retomber dans les crises du passé. Nous y sommes allés pour montrer que l'avenir du pays doit transcender les divergences politiques et idéologiques ». Des propos qui tranchent d’avec une posture, de fraîche mémoire, qui cadrait mal avec le processus de réconciliation. A croire que l’accalmie prônée par le chef de l’Etat, ponctuée d’actes, telle la libération de prisonniers, partisans de Laurent Gbagbo, atteint son objectif : une participation inclusive des acteurs politiques à la vie de la nation. «Nous y sommes allés pour montrer que le Fpi ne ménagera aucun effort pour œuvrer au développement de la Côte d'Ivoire. Il convient de faire remarquer au Gouvernement que si de telles initiatives sont bonnes pour mobiliser des ressources pour la relance de l'économie du pays, celles-ci pourraient s'avérer vaines si elles ne sont pas accompagnées d'actes politiques forts pour favoriser la réconciliation nationale indispensable au développement», exhorte encore le président du FPI, sur sa page Facebook.
G.K
Certes à chaud, Affi N’Guessan s’était justifié, vendredi dernier, sur les raisons de sa présence au Forum ‘’Investir en Côte d’Ivoire 2014’’. Mais le président du FPI ne s’arrête pas là. Hier, sur sa page Facebook, l’ancien pensionnaire de la prison de Bouna revient sur les mobiles de la démarche du FPI. « A la tête d'une délégation du FPI, nous nous sommes rendus à l'Hôtel Ivoire à Cocody, le vendredi 31 janvier 2014, pour une visite des stands du Forum investir en Côte d'Ivoire (ICI 2014). Nous y sommes allés pour montrer que pour le développement de la Côte d'Ivoire, il n'y a pas de clivage politique », ressasse-t-il, tentant ainsi d’envoyer un signal fort, sur la volonté de son parti à s’inscrire dans le cadre républicain. C’est que pendant longtemps, l’ex-parti présidentiel s’est fait désirer à la table de discussion avec le Gouvernement. Entre préalables et conditions, les frontistes ont fini par lâcher du lest. Ils ont enfin rencontré le ministre Ahoussou Kouadio Jeannot, qui conduit les débats, pour le compte de l’Exécutif. C’était le mardi 14 janvier dernier. Pour Affi, il faut montrer à la face du monde «que la classe politique ivoirienne est mobilisée pour la reconstruction de la Côte d'Ivoire et à faire en sorte à ne pas retomber dans les crises du passé. Nous y sommes allés pour montrer que l'avenir du pays doit transcender les divergences politiques et idéologiques ». Des propos qui tranchent d’avec une posture, de fraîche mémoire, qui cadrait mal avec le processus de réconciliation. A croire que l’accalmie prônée par le chef de l’Etat, ponctuée d’actes, telle la libération de prisonniers, partisans de Laurent Gbagbo, atteint son objectif : une participation inclusive des acteurs politiques à la vie de la nation. «Nous y sommes allés pour montrer que le Fpi ne ménagera aucun effort pour œuvrer au développement de la Côte d'Ivoire. Il convient de faire remarquer au Gouvernement que si de telles initiatives sont bonnes pour mobiliser des ressources pour la relance de l'économie du pays, celles-ci pourraient s'avérer vaines si elles ne sont pas accompagnées d'actes politiques forts pour favoriser la réconciliation nationale indispensable au développement», exhorte encore le président du FPI, sur sa page Facebook.
G.K