Le peuple gouro veut bénéficier des largesses du président Ouattara. Une délégation de ce peuple est venue hier solliciter une visite d’Etat en pays gouro. Elle a échangé sur la question avec Amadou Soumahoro.
Le juge Zoro Epiphane veut encore marquer un deuxième coup. Après avoir mis
un terme au débat sur la nationalité du président de la République, le directeur de la commission nationale de la Francophonie est en train de réunir ses parents gouro autour du chef de l’Etat. Par son concours, cette communauté, représentée par ses différents chefs traditionnels ainsi que ses cadres et élus, a échangé hier, à la rue Lepic avec le secrétaire général du Rassemblement des républicains (Rdr), Amadou Soumahoro. Au menu de cette rencontre, les hôtes du gardien de la case ont sollicité une visite d’Etat du locataire du Palais
d’Abidjan dans leur région. Le secrétaire départemental du Rdr de Zuénula, Zan Bi Gohi Fernand, porte-parole de la délégation, a rappelé les moments de tourments du parti et les valeurs incarnées par son ancien candidat devenu chef d’Etat. « Le Rdr est né dans les conditions difficiles. L’enfant qui vient au monde dans des conditions difficiles résiste toujours. Le président est un homme exceptionnel. Il a des qualités exceptionnelles », a-t-il
révélé. Et de revenir sur l’objet de leur présence : « Je suis venu vous dire que mes parents veulent recevoir ADO. Ils veulent voir leur fils Alassane. Il a tracé la voie pour nous ». Vu les nombreux chantiers ouverts par le chef de l’Etat, le porte-parole de la délégation a fait savoir, au nom de ses parents, que le président de la République ne se limitera pas à ce seul mandat. Ce, grâce aux actions de terrain que mènera désormais le peuple gouro. Zan Bi Gohi Fernand a demandé à Amadou Soumahoro de tout mettre en oeuvre pour que le chef de l’Etat réponde à leur doléance. Suivant Zoro Epiphane, ses parents ont pris l’engagement de ne pas trahir le président de la République. Après un long moment d’échanges avec ses hôtes, Amadou Soumahoro a indiqué que le président de la République sera très bientôt dans la Marahuoué pour échanger avec ses parents de cette partie du pays.
Par Sylvain Beugré
Le juge Zoro Epiphane veut encore marquer un deuxième coup. Après avoir mis
un terme au débat sur la nationalité du président de la République, le directeur de la commission nationale de la Francophonie est en train de réunir ses parents gouro autour du chef de l’Etat. Par son concours, cette communauté, représentée par ses différents chefs traditionnels ainsi que ses cadres et élus, a échangé hier, à la rue Lepic avec le secrétaire général du Rassemblement des républicains (Rdr), Amadou Soumahoro. Au menu de cette rencontre, les hôtes du gardien de la case ont sollicité une visite d’Etat du locataire du Palais
d’Abidjan dans leur région. Le secrétaire départemental du Rdr de Zuénula, Zan Bi Gohi Fernand, porte-parole de la délégation, a rappelé les moments de tourments du parti et les valeurs incarnées par son ancien candidat devenu chef d’Etat. « Le Rdr est né dans les conditions difficiles. L’enfant qui vient au monde dans des conditions difficiles résiste toujours. Le président est un homme exceptionnel. Il a des qualités exceptionnelles », a-t-il
révélé. Et de revenir sur l’objet de leur présence : « Je suis venu vous dire que mes parents veulent recevoir ADO. Ils veulent voir leur fils Alassane. Il a tracé la voie pour nous ». Vu les nombreux chantiers ouverts par le chef de l’Etat, le porte-parole de la délégation a fait savoir, au nom de ses parents, que le président de la République ne se limitera pas à ce seul mandat. Ce, grâce aux actions de terrain que mènera désormais le peuple gouro. Zan Bi Gohi Fernand a demandé à Amadou Soumahoro de tout mettre en oeuvre pour que le chef de l’Etat réponde à leur doléance. Suivant Zoro Epiphane, ses parents ont pris l’engagement de ne pas trahir le président de la République. Après un long moment d’échanges avec ses hôtes, Amadou Soumahoro a indiqué que le président de la République sera très bientôt dans la Marahuoué pour échanger avec ses parents de cette partie du pays.
Par Sylvain Beugré