Le premier responsable de la jeunesse du Fpi, Justin Koua, a entrepris, le week-end écoulé, une tournée dans le district d’Abidjan pour mobiliser les habitants à la rencontre massive avec Pascal Affi N’Guessan.
Koumassi, Marcory, Treichville. Le week-end n’a pas été de tout repos pour Justin Koua, secrétaire national par intérim de la Jeunesse du Front populaire ivoirien (JFpi), parti à la rencontre des militantes et militants du Fpi ainsi que des autres habitants du district d’Abidjan. Il a annoncé la tournée du président du Fpi, Affi N’Guessan, dans la capitale économique, cette semaine. M. Koua a soutenu que les militants doivent venir témoigner de la vitalité du parti à la rose, après les secousses de la crise postélectorale. Il a indiqué que, par-dessus tout, il s’agit de faire barrage au fascisme qu’Alassane Ouattara tente d’instaurer en Côte d’Ivoire. «Notre mobilisation doit faire reculer les forces rétrogrades de la dictature qui veulent ramener la Côte d’Ivoire à des années lumières», a-t-il affirmé. Le leader de la JFpi a également souligné la nécessité de se mobiliser en vue de faire comprendre une fois encore que Laurent Gbagbo est bien le choix des Ivoiriens. «Nous devons démontrer que le président Laurent Gbagbo n’est pas minoritaire. Et que toute la Côte d’Ivoire le soutient. Par conséquent, il faut que la Cpi le libère. Parce que c’est lui, la clé de la réconciliation», dira-t-il. Et de poursuivre : «Si nous voulons que le président Laurent Gbagbo soit libéré, nous devons sortir massivement. La diaspora et les avocats ont fait leur part. C’est à notre tour de démontrer notre attachement à notre leader».
Le secrétaire national par intérim de la Jeunesse de la JFpi a expliqué que 2014 constitue une année charnière. Année au cours de laquelle les Ivoiriens doivent se déterminer par rapport à l’avenir du pays. Aussi a-t-il invité les militants à cerner cette donne en s’engageant résolument dans le combat pour la restauration du pays après tout ce qui s’est passé. Les militants du Fpi sont sortis nombreux dans toutes les communes du district pour réserver un accueil chaleureux à Justin Koua et son équipe. A Koumassi, première étape de la tournée du président du Fpi, le vendredi 14 février prochain, Justin Koua a demandé que des dispositions soient prises pour que la Place Inch’Allah refuse du monde.
César Ebrokié
Koumassi, Marcory, Treichville. Le week-end n’a pas été de tout repos pour Justin Koua, secrétaire national par intérim de la Jeunesse du Front populaire ivoirien (JFpi), parti à la rencontre des militantes et militants du Fpi ainsi que des autres habitants du district d’Abidjan. Il a annoncé la tournée du président du Fpi, Affi N’Guessan, dans la capitale économique, cette semaine. M. Koua a soutenu que les militants doivent venir témoigner de la vitalité du parti à la rose, après les secousses de la crise postélectorale. Il a indiqué que, par-dessus tout, il s’agit de faire barrage au fascisme qu’Alassane Ouattara tente d’instaurer en Côte d’Ivoire. «Notre mobilisation doit faire reculer les forces rétrogrades de la dictature qui veulent ramener la Côte d’Ivoire à des années lumières», a-t-il affirmé. Le leader de la JFpi a également souligné la nécessité de se mobiliser en vue de faire comprendre une fois encore que Laurent Gbagbo est bien le choix des Ivoiriens. «Nous devons démontrer que le président Laurent Gbagbo n’est pas minoritaire. Et que toute la Côte d’Ivoire le soutient. Par conséquent, il faut que la Cpi le libère. Parce que c’est lui, la clé de la réconciliation», dira-t-il. Et de poursuivre : «Si nous voulons que le président Laurent Gbagbo soit libéré, nous devons sortir massivement. La diaspora et les avocats ont fait leur part. C’est à notre tour de démontrer notre attachement à notre leader».
Le secrétaire national par intérim de la Jeunesse de la JFpi a expliqué que 2014 constitue une année charnière. Année au cours de laquelle les Ivoiriens doivent se déterminer par rapport à l’avenir du pays. Aussi a-t-il invité les militants à cerner cette donne en s’engageant résolument dans le combat pour la restauration du pays après tout ce qui s’est passé. Les militants du Fpi sont sortis nombreux dans toutes les communes du district pour réserver un accueil chaleureux à Justin Koua et son équipe. A Koumassi, première étape de la tournée du président du Fpi, le vendredi 14 février prochain, Justin Koua a demandé que des dispositions soient prises pour que la Place Inch’Allah refuse du monde.
César Ebrokié