De « farouches » résistants continuent de pratiquer les mutilations génitales dans l’ouest de la Côte d’Ivoire.
Le directeur régional du ministère de la Solidarité, de la Femme, de la Famille et de l’Enfant de Man, Mathurin Paulin Djéhon, tire la sonnette d’alarme face à une pratique « farouche » des mutilations génitales féminines à l’ouest de la Côte d’Ivoire. La zone ouest est qualifiée de réfractaire, en dépit des efforts de lutte. Le taux de prévalence des mutilations génitales féminines dans cette région dépasse la moyenne nationale, selon Mathurin Paulin Djéhon.
« Les localités de Gbonné, Biankouma et Sipilou constituent cette région hostile. Nous les avons appelées le triangle de la résistance », a révélé M. Djéhon, rapporte... suite de l'article sur Afrik.com
Le directeur régional du ministère de la Solidarité, de la Femme, de la Famille et de l’Enfant de Man, Mathurin Paulin Djéhon, tire la sonnette d’alarme face à une pratique « farouche » des mutilations génitales féminines à l’ouest de la Côte d’Ivoire. La zone ouest est qualifiée de réfractaire, en dépit des efforts de lutte. Le taux de prévalence des mutilations génitales féminines dans cette région dépasse la moyenne nationale, selon Mathurin Paulin Djéhon.
« Les localités de Gbonné, Biankouma et Sipilou constituent cette région hostile. Nous les avons appelées le triangle de la résistance », a révélé M. Djéhon, rapporte... suite de l'article sur Afrik.com