Abidjan - Le porte parole du Rassemblement des républicains (RDR), Joël N’Guessan, affirme que le temps des victimes de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire, quelque soient leurs bords, est arrivé et que l’on n’a plus "le droit de les effaroucher par des propos arrogants et insultants".
Réagissant à un colloque organisé, le weekend, à Abidjan, par l’Expert indépendant de l’ONU chargé des droits de l’Homme, Doudou Diène, le RDR indique dans un communiqué dont copie est parvenue à l’AIP, que tous les acteurs politiques, sans exclusion, "ont une responsabilité dans le drame" qui a frappé la Côte d’Ivoire et que refuser de demander pardon aux victimes, "c’est s’exposer à une vengeance incontrôlable" de la part de celles-ci.
M. N’Guessan invite le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, a suivre l’exemple du Président de la République, de celui de l’Assemblée nationale et du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), en franchissant le pas de "se mettre dans une posture de repentance et de pardon".
La Côte d’Ivoire s’est enlisée dans une crise au lendemain du deuxième tour de la présidentielle de 2010 qui a causé plus de 3 000 morts, selon les chiffres des organisations internationales des droits de l’Homme.
(AIP)
fmo/kam
Réagissant à un colloque organisé, le weekend, à Abidjan, par l’Expert indépendant de l’ONU chargé des droits de l’Homme, Doudou Diène, le RDR indique dans un communiqué dont copie est parvenue à l’AIP, que tous les acteurs politiques, sans exclusion, "ont une responsabilité dans le drame" qui a frappé la Côte d’Ivoire et que refuser de demander pardon aux victimes, "c’est s’exposer à une vengeance incontrôlable" de la part de celles-ci.
M. N’Guessan invite le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, a suivre l’exemple du Président de la République, de celui de l’Assemblée nationale et du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), en franchissant le pas de "se mettre dans une posture de repentance et de pardon".
La Côte d’Ivoire s’est enlisée dans une crise au lendemain du deuxième tour de la présidentielle de 2010 qui a causé plus de 3 000 morts, selon les chiffres des organisations internationales des droits de l’Homme.
(AIP)
fmo/kam