Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a reçu hier à l’ex-QG de campagne du président Laurent Gbagbo, sis à Cocody-Attoban, une délégation de l’Onu conduite par le sous-secrétaire général aux opérations de maintien de la paix, Edmond Mulet et comprenant la représentante spéciale du secrétaire général de l’Onu en Côte d’Ivoire et patronne de l’opération des nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci), Aïchatou Mindaoudou.
A sa sortie d’audience, M. Mulet a confié à la presse qu’étant de passage en Côte d’Ivoire, il a tenu à saluer le Fpi et son président afin de connaître leur point de vue sur les conditions d’organisation des élections générales de 2015. Il s’est dit heureux d’avoir pu écouter la vision du Fpi pour des élections crédibles et apaisées.
Pour sa part, le chef du Fpi s’est dit honoré de la visite des émissaires de l’Onu. Il a dit leur avoir expliqué la réalité ivoirienne qui ne plaide pas en faveur de l’organisation d’élections transparentes.
S’appuyant sur le dernier cas des menaces du maire d’Abobo et ministre Rdr, Adama Toungara, qui a monté des jeunes armés pour empêcher son meeting, dimanche dernier à Abobo, le président du Fpi a dit à ses interlocuteurs que les conditions sont loin d’être réunies pour l’organisation d’élections libres et démocratiques en Côte d’Ivoire.
Il a donc demandé aux émissaires de l’Onu de continuer à s’impliquer dans la médiation pour réunir les conditions d’une élection sans violence en 2015.
GTG
A sa sortie d’audience, M. Mulet a confié à la presse qu’étant de passage en Côte d’Ivoire, il a tenu à saluer le Fpi et son président afin de connaître leur point de vue sur les conditions d’organisation des élections générales de 2015. Il s’est dit heureux d’avoir pu écouter la vision du Fpi pour des élections crédibles et apaisées.
Pour sa part, le chef du Fpi s’est dit honoré de la visite des émissaires de l’Onu. Il a dit leur avoir expliqué la réalité ivoirienne qui ne plaide pas en faveur de l’organisation d’élections transparentes.
S’appuyant sur le dernier cas des menaces du maire d’Abobo et ministre Rdr, Adama Toungara, qui a monté des jeunes armés pour empêcher son meeting, dimanche dernier à Abobo, le président du Fpi a dit à ses interlocuteurs que les conditions sont loin d’être réunies pour l’organisation d’élections libres et démocratiques en Côte d’Ivoire.
Il a donc demandé aux émissaires de l’Onu de continuer à s’impliquer dans la médiation pour réunir les conditions d’une élection sans violence en 2015.
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