Dans une déclaration dont copie nous est parvenue hier, Agbahi Félicien, cadre du RDR et chargé de mission du président Ouattara, répond au FPI qui soupçonne le chef de l'Etat de vouloir créer une milice à la solde du pouvoir.
Décidément le parti créé par Laurent Gbagbo, le Front populaire ivoirien (FPI) a la mémoire courte. Ce parti a déjà oublié que, bien qu’élu de manière calamiteuse (l’expression n’est pas de moi), il a gouverné la Côte d’Ivoire pendant dix ans.
Les Ivoiriens, dans leur immense majorité, se demandent encore ce que Michel Amani et ses amis ont réellement fait de ce pouvoir qui leur est tombé du ciel.
Ces mêmes Ivoiriens qui savent et Dieu merci, qu’en dix années de gestion, il était possible de réformer le secteur de la sécurité, d’organiser autant d’états généraux de la République avec juste un peu de volonté politique ?
N’ayant rien entrepris pendant cette longue période, avec quel élément de comparaison ce parti et ses dirigeants jugent et critiquent-ils le travail que le chef de l’Etat effectue aujourd’hui avec son équipe.
Même s’il est vrai que les refondateurs affectionnent particulièrement le Ministère de la parole, ici encore, ils sont en total déphasage avec le président Ouattara qui a pour lui, la fâcheuse habitude de joindre les actes à ce qu’il dit.
Le vice-président chargé de la Défense et de la sécurité du FPI, qui sans nul doute est un fin connaisseur de création de milices, sait très bien que ce qui se passe sous le régime du président Ouattara ne ressemble en rien à ce que les Ivoiriens ont vu et subi durant les dix sanglantes années de Monsieur Gbagbo et ses suiveurs au pouvoir.
C’est le lieu de servir en quelques phrases à Monsieur Michel Amani, la vision du chef de l’Etat sur la réforme du secteur de la sécurité et je cite : « Cette réforme que je souhaite pour la Côte d’Ivoire, intervient dans un contexte de renouveau démocratique, résolument tourné vers la paix, la stabilité et la prospérité. Cette réforme doit être la matrice d’une véritable politique de développement, qui tiendra compte du contexte national et de l’environnement international etc. », fin de citation.
Nul n’a besoin, à la lecture de ce bout de phrase, de sortir de la cuisse de Jupiter pour comprendre le souci de chef de l’Etat d’instaurer un climat de pérenne paix, de stabilité et de confiance à son pays.
De notre point de vue, laisser penser à ses militants que cette réforme peut être assimilée à une création de milice, c’est faire tout simplement injure au président de la République, porteur comme chacun en est convaincu dans ce pays, de grands projets de développement et d’espérance.
Il faut dire une fois pour toutes à Monsieur Michel Amani qu’une milice au monde n’a jamais permis de conserver durablement le pouvoir, Gbagbo lui-même l’a compris sur le tard et qui disait…je cite : « Je n’aurais jamais acheté autant d’armes si j’avais su que… »
Son Excellence le président Ouattara, celui que d’aucuns appellent l’homme des solutions et de la situation, celui-là même aujourd’hui ;
Qui permet à tous et à chacun de vaquer en toute sécurité à ses activités,
Qui permet à tous et à chacun de vivre fraternellement avec son voisin,
Qui permet à tous et à chacun de comprendre enfin que son bonheur ou malheur ne peut être le fait de l’étranger,
Le président disions-nous, fait confiance à tous ceux et toutes celles qui ont la Côte d’Ivoire en partage et tous ont confiance au président, son Excellence Alassane Ouattara.
Toutes affaires cessantes, nous lui apportons notre soutien, sur le difficile chemin de l’émergence de la Côte d’Ivoire.
Concernant le FPI et Monsieur Michel Amani, le président Ouattara reste, les mains encore tendues.
Chacun attend d’eux enfin qu’ils se repentent, qu’ils prononcent à l’endroit des nombreuses victimes et de leurs familles, le mot PARDON, pour qu’ensemble, nous empruntions le train de l’émergence 2020.
Vive la Côte d’Ivoire éternelle !
AGBAHI Félicien, cadre du RDR
Décidément le parti créé par Laurent Gbagbo, le Front populaire ivoirien (FPI) a la mémoire courte. Ce parti a déjà oublié que, bien qu’élu de manière calamiteuse (l’expression n’est pas de moi), il a gouverné la Côte d’Ivoire pendant dix ans.
Les Ivoiriens, dans leur immense majorité, se demandent encore ce que Michel Amani et ses amis ont réellement fait de ce pouvoir qui leur est tombé du ciel.
Ces mêmes Ivoiriens qui savent et Dieu merci, qu’en dix années de gestion, il était possible de réformer le secteur de la sécurité, d’organiser autant d’états généraux de la République avec juste un peu de volonté politique ?
N’ayant rien entrepris pendant cette longue période, avec quel élément de comparaison ce parti et ses dirigeants jugent et critiquent-ils le travail que le chef de l’Etat effectue aujourd’hui avec son équipe.
Même s’il est vrai que les refondateurs affectionnent particulièrement le Ministère de la parole, ici encore, ils sont en total déphasage avec le président Ouattara qui a pour lui, la fâcheuse habitude de joindre les actes à ce qu’il dit.
Le vice-président chargé de la Défense et de la sécurité du FPI, qui sans nul doute est un fin connaisseur de création de milices, sait très bien que ce qui se passe sous le régime du président Ouattara ne ressemble en rien à ce que les Ivoiriens ont vu et subi durant les dix sanglantes années de Monsieur Gbagbo et ses suiveurs au pouvoir.
C’est le lieu de servir en quelques phrases à Monsieur Michel Amani, la vision du chef de l’Etat sur la réforme du secteur de la sécurité et je cite : « Cette réforme que je souhaite pour la Côte d’Ivoire, intervient dans un contexte de renouveau démocratique, résolument tourné vers la paix, la stabilité et la prospérité. Cette réforme doit être la matrice d’une véritable politique de développement, qui tiendra compte du contexte national et de l’environnement international etc. », fin de citation.
Nul n’a besoin, à la lecture de ce bout de phrase, de sortir de la cuisse de Jupiter pour comprendre le souci de chef de l’Etat d’instaurer un climat de pérenne paix, de stabilité et de confiance à son pays.
De notre point de vue, laisser penser à ses militants que cette réforme peut être assimilée à une création de milice, c’est faire tout simplement injure au président de la République, porteur comme chacun en est convaincu dans ce pays, de grands projets de développement et d’espérance.
Il faut dire une fois pour toutes à Monsieur Michel Amani qu’une milice au monde n’a jamais permis de conserver durablement le pouvoir, Gbagbo lui-même l’a compris sur le tard et qui disait…je cite : « Je n’aurais jamais acheté autant d’armes si j’avais su que… »
Son Excellence le président Ouattara, celui que d’aucuns appellent l’homme des solutions et de la situation, celui-là même aujourd’hui ;
Qui permet à tous et à chacun de vaquer en toute sécurité à ses activités,
Qui permet à tous et à chacun de vivre fraternellement avec son voisin,
Qui permet à tous et à chacun de comprendre enfin que son bonheur ou malheur ne peut être le fait de l’étranger,
Le président disions-nous, fait confiance à tous ceux et toutes celles qui ont la Côte d’Ivoire en partage et tous ont confiance au président, son Excellence Alassane Ouattara.
Toutes affaires cessantes, nous lui apportons notre soutien, sur le difficile chemin de l’émergence de la Côte d’Ivoire.
Concernant le FPI et Monsieur Michel Amani, le président Ouattara reste, les mains encore tendues.
Chacun attend d’eux enfin qu’ils se repentent, qu’ils prononcent à l’endroit des nombreuses victimes et de leurs familles, le mot PARDON, pour qu’ensemble, nous empruntions le train de l’émergence 2020.
Vive la Côte d’Ivoire éternelle !
AGBAHI Félicien, cadre du RDR
