Une réunion sur la réforme des conditions d’accès à la profession de transporteur s’est tenue, mercredi 19 février à Ivotel. Ci-dessous, l’intégralité du discours du ministre des transports Gaoussou Touré qui a présidé cette rencontre.
- Mesdames et Messieurs les Membres du Cabinet ;
- Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux ;
- Mesdames et Messieurs les Directeurs Centraux et Chefs de services ;
- Mesdames et Messieurs les Représentants des partenaires au développement ;
- Mesdames et Messieurs les Chefs d’Entreprises de transport;
- Chers opérateurs du secteur des transports ;
- Mesdames et Messieurs ;
- Honorables invités en vos grade et qualité;
Permettez-moi avant tout propos, d’adresser mes sincères remerciements à la Délégation de l’Union Européenne pour son assistance technique auprès du Ministère des Transports dans le cadre de l’organisation du secteur du transport routier de marchandises.
Nul n’ignore, en effet, l’importance du service de camionnage dans l’approvisionnement des marchés et le poids de sa contribution au développement économique dans un pays.
Or, l’organisation efficace contribuera certainement à propulser l’économie de la Côte d’Ivoire dans l’émergente ambitionnée à l’horizon 2020. L’organisation et l’efficacité du secteur de transport routier de marchandises reposent en partie sur le caractère adéquat de sa réglementation qui doit être à même de dynamiser les activités des opérateurs.D’où la nécessité de réorganiser ce secteur en Côte d’Ivoire.
Pour rappel, il est bon de savoir qu’antérieurement, un certain nombre de dispositions ont été prises pour réglementer la profession du transporteur :
- en 1966, un décret est pris pour réglementer la profession de transporteur ;
- en 2000, une ordonnance est prise pour réglementer les transports terrestres en général et le transport routier en particulier. La réglementation de la profession de transporteur n’y est pas oubliée. Des décrets et des arrêtés subséquents à l’ordonnance ont été pris pour réguler la profession. Malheureusement, les résultats produits par toute cette réglementation restent mitigés en raison des insuffisances qu’elle comporte. En outre, son application est loin d’est satisfaisante.
Mesdames et Messieurs,
La réunion qui vous rassemble ici ce matin, répond au souci de réfléchir sur la réglementation appropriée à mettre en place afin que le secteur du transport routier de marchandises retrouve son lustre d’antan.
Il convient d’indiquer que les transporteurs constituent l’une des catégories d’acteurs majeurs dudit secteur. Leur professionnalisation est vivement requise pour asseoir l’organisation recherchée. C’est donc à juste titre qu’une attention particulière doit leur être accordée.
Ainsi, la définition consensuelle des conditions d’accès à la profession de transporteurs est la manifestation de la sollicitude à leur égard. C’est à l’exercice de définition consensuelle des conditions d’accès à la profession de transporteurs que vous êtes conviés au cours de cette réunion. Je souhaite qu’elle produise des résultats à la dimension de la qualité des participants.
Chers participants,
La problématique du transport et ses corolaires nous interpellent. Malgré les efforts entrepris, nous devons poursuivre de façon continue nos réflexions et les actions pour moderniser le secteur et le doter d’une réglementation performante.
Pour ce qui est des transports de marchandises, nous ne devons pas perdre de vue qu’il s’agit aussi et surtout de la lutte pour la préservation du réseau routier en Côte d’Ivoire, combat pour lequel nous avons pris du retard.
Je vous invite à contribuer au cours de ces travaux, à échanger ardemment autour des différents thèmes qui vous seront proposés.
Quant à moi, je vous assure de mon engagement et de celui du Gouvernement tout entier, dans ce cheminement qui doit nécessairement conduire à la réalisation des réformes essentielles dans ce secteur.
C’est sur ces mots que je déclare ouverte la réunion sur la réforme des conditions d’accès à la profession de transporteurs routiers de marchandises.
Je vous remercie.
- Mesdames et Messieurs les Membres du Cabinet ;
- Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux ;
- Mesdames et Messieurs les Directeurs Centraux et Chefs de services ;
- Mesdames et Messieurs les Représentants des partenaires au développement ;
- Mesdames et Messieurs les Chefs d’Entreprises de transport;
- Chers opérateurs du secteur des transports ;
- Mesdames et Messieurs ;
- Honorables invités en vos grade et qualité;
Permettez-moi avant tout propos, d’adresser mes sincères remerciements à la Délégation de l’Union Européenne pour son assistance technique auprès du Ministère des Transports dans le cadre de l’organisation du secteur du transport routier de marchandises.
Nul n’ignore, en effet, l’importance du service de camionnage dans l’approvisionnement des marchés et le poids de sa contribution au développement économique dans un pays.
Or, l’organisation efficace contribuera certainement à propulser l’économie de la Côte d’Ivoire dans l’émergente ambitionnée à l’horizon 2020. L’organisation et l’efficacité du secteur de transport routier de marchandises reposent en partie sur le caractère adéquat de sa réglementation qui doit être à même de dynamiser les activités des opérateurs.D’où la nécessité de réorganiser ce secteur en Côte d’Ivoire.
Pour rappel, il est bon de savoir qu’antérieurement, un certain nombre de dispositions ont été prises pour réglementer la profession du transporteur :
- en 1966, un décret est pris pour réglementer la profession de transporteur ;
- en 2000, une ordonnance est prise pour réglementer les transports terrestres en général et le transport routier en particulier. La réglementation de la profession de transporteur n’y est pas oubliée. Des décrets et des arrêtés subséquents à l’ordonnance ont été pris pour réguler la profession. Malheureusement, les résultats produits par toute cette réglementation restent mitigés en raison des insuffisances qu’elle comporte. En outre, son application est loin d’est satisfaisante.
Mesdames et Messieurs,
La réunion qui vous rassemble ici ce matin, répond au souci de réfléchir sur la réglementation appropriée à mettre en place afin que le secteur du transport routier de marchandises retrouve son lustre d’antan.
Il convient d’indiquer que les transporteurs constituent l’une des catégories d’acteurs majeurs dudit secteur. Leur professionnalisation est vivement requise pour asseoir l’organisation recherchée. C’est donc à juste titre qu’une attention particulière doit leur être accordée.
Ainsi, la définition consensuelle des conditions d’accès à la profession de transporteurs est la manifestation de la sollicitude à leur égard. C’est à l’exercice de définition consensuelle des conditions d’accès à la profession de transporteurs que vous êtes conviés au cours de cette réunion. Je souhaite qu’elle produise des résultats à la dimension de la qualité des participants.
Chers participants,
La problématique du transport et ses corolaires nous interpellent. Malgré les efforts entrepris, nous devons poursuivre de façon continue nos réflexions et les actions pour moderniser le secteur et le doter d’une réglementation performante.
Pour ce qui est des transports de marchandises, nous ne devons pas perdre de vue qu’il s’agit aussi et surtout de la lutte pour la préservation du réseau routier en Côte d’Ivoire, combat pour lequel nous avons pris du retard.
Je vous invite à contribuer au cours de ces travaux, à échanger ardemment autour des différents thèmes qui vous seront proposés.
Quant à moi, je vous assure de mon engagement et de celui du Gouvernement tout entier, dans ce cheminement qui doit nécessairement conduire à la réalisation des réformes essentielles dans ce secteur.
C’est sur ces mots que je déclare ouverte la réunion sur la réforme des conditions d’accès à la profession de transporteurs routiers de marchandises.
Je vous remercie.