Le Secrétaire exécutif du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, ex-parti unique), Maurice Kakou Guikahué propose l’introduction du poste de vice-président dans la constitution ivoirienne pour « faciliter la transition à la tête » de l’Etat.
«La présence de la vice-présidence dans la constitution, pourrait faciliter la transition à la tête de l’Etat comme cela a été le cas récemment au Ghana » a soutenu M.Guikahué qui était l’invité, jeudi, de la tribune d’échanges « Fauteuil blanc » du quotidien Le Nouveau Réveil.
Pour lui, « cette forme de gouvernance est mieux que le régime parlementaire proposé par d’autres personnes » citant, également, l’exemple des Etats-Unis d’Amérique qui sont l’«une des plus grandes démocraties du monde, et ont un vice-président ».
Le ministre d’Etat auprès du Président de la République, Jeannot Kouadio-Ahoussou, a évoqué mercredi au cours d’une rencontre avec les partis politiques membres du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (RHDP, coalition au pouvoir), des réformes institutionnelles à faire pour des élections apaisées en 2015.
Il s’agit notamment de la révision de l’article 35 de la Constitution relatif à l’éligibilité du Président la République et la recomposition de la Commission électorale indépendante (CEI).
JBK/hs/ls/APA
«La présence de la vice-présidence dans la constitution, pourrait faciliter la transition à la tête de l’Etat comme cela a été le cas récemment au Ghana » a soutenu M.Guikahué qui était l’invité, jeudi, de la tribune d’échanges « Fauteuil blanc » du quotidien Le Nouveau Réveil.
Pour lui, « cette forme de gouvernance est mieux que le régime parlementaire proposé par d’autres personnes » citant, également, l’exemple des Etats-Unis d’Amérique qui sont l’«une des plus grandes démocraties du monde, et ont un vice-président ».
Le ministre d’Etat auprès du Président de la République, Jeannot Kouadio-Ahoussou, a évoqué mercredi au cours d’une rencontre avec les partis politiques membres du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (RHDP, coalition au pouvoir), des réformes institutionnelles à faire pour des élections apaisées en 2015.
Il s’agit notamment de la révision de l’article 35 de la Constitution relatif à l’éligibilité du Président la République et la recomposition de la Commission électorale indépendante (CEI).
JBK/hs/ls/APA