Le ministre ivoirien de la Poste, des Technologies de l’Information et de la Communication, Bruno Nabagné Koné a fait savoir, jeudi, lors d’une rencontre avec la presse, que le pays tend vers la fin du phénomène de la cybercriminalité, en raison d’importants dispositifs de sécurité déployés pour dissuader ces acteurs.
« Nous allons vers la fin de ce phénomène grâce au dispositif qui est mis en place » a annoncé Bruno Koné qui animait une conférence de presse sur le thème « rôle de la gouvernance électrique dans une économie émergente /enjeux et perspectives en côte d`Ivoire d`ici 2020» dans le cadre des « Rendez-vous » du gouvernement organisés par le Centre d’information et de la communication gouvernementale (Cicg).
Pour le ministre de la poste et des TIC, les dispositions intègrent une peine lourde allant jusqu’à 20 ans de prison et 100 millions FCFA d’amende contre tous ceux qui se seront rendus coupables de délits de cybercriminalité.
Ces mesures, contrairement, aux années où elles n’existaient pas, poursuit le ministre, vont contribuer énormément à dissuader les « brouteurs » (cybercriminels).
Le gouvernement, dans sa stratégie de lutte contre la cybercriminalité, a confié au Village des technologies de l’information et de la biodiversité (VITIB) d’orienter et d’appuyer les jeunes entrepreneurs et start-up porteurs de projets qui relèvent du secteur des TIC.
Cela pour « sortir ces jeunes du côté obscur » de la technologie en exprimant leur talent dans un cadre légal et formel afin de « s’épanouir » en mettant leurs connaissances au profit du pays.
Ce phénomène qui consiste en l’ensemble des infractions pénales qui se commettent aux moyens ou sur un système informatique, touche l’économie ivoirienne en plein cœur puisque selon les chiffres de la Plateforme de lutte contre la cybercriminalité (Plcc), entre 2009 et le premier semestre de 2013, le pays a subi "un préjudice financier d’environ 26 milliards".
La question de la cybercriminalité est un réel problème en Côte d’Ivoire, où, selon le ministre Bruno Koné, l’absence de textes de règlementation a fait du pays un paradis pour les criminels.
Lors des échanges avec les journalistes, M. Koné a soutenu que l’émergence de la Côte d’Ivoire tant souhaitée par les autorités ne saurait avoir lieu sans les TIC. « Il n’y aura pas d’émergence sans les TIC » a-t-il dit en substance.
Dans le monde, ce sont 556 millions de personnes qui sont victimes de la cybercriminalité chaque année.
JBK/hs/ls/APA
« Nous allons vers la fin de ce phénomène grâce au dispositif qui est mis en place » a annoncé Bruno Koné qui animait une conférence de presse sur le thème « rôle de la gouvernance électrique dans une économie émergente /enjeux et perspectives en côte d`Ivoire d`ici 2020» dans le cadre des « Rendez-vous » du gouvernement organisés par le Centre d’information et de la communication gouvernementale (Cicg).
Pour le ministre de la poste et des TIC, les dispositions intègrent une peine lourde allant jusqu’à 20 ans de prison et 100 millions FCFA d’amende contre tous ceux qui se seront rendus coupables de délits de cybercriminalité.
Ces mesures, contrairement, aux années où elles n’existaient pas, poursuit le ministre, vont contribuer énormément à dissuader les « brouteurs » (cybercriminels).
Le gouvernement, dans sa stratégie de lutte contre la cybercriminalité, a confié au Village des technologies de l’information et de la biodiversité (VITIB) d’orienter et d’appuyer les jeunes entrepreneurs et start-up porteurs de projets qui relèvent du secteur des TIC.
Cela pour « sortir ces jeunes du côté obscur » de la technologie en exprimant leur talent dans un cadre légal et formel afin de « s’épanouir » en mettant leurs connaissances au profit du pays.
Ce phénomène qui consiste en l’ensemble des infractions pénales qui se commettent aux moyens ou sur un système informatique, touche l’économie ivoirienne en plein cœur puisque selon les chiffres de la Plateforme de lutte contre la cybercriminalité (Plcc), entre 2009 et le premier semestre de 2013, le pays a subi "un préjudice financier d’environ 26 milliards".
La question de la cybercriminalité est un réel problème en Côte d’Ivoire, où, selon le ministre Bruno Koné, l’absence de textes de règlementation a fait du pays un paradis pour les criminels.
Lors des échanges avec les journalistes, M. Koné a soutenu que l’émergence de la Côte d’Ivoire tant souhaitée par les autorités ne saurait avoir lieu sans les TIC. « Il n’y aura pas d’émergence sans les TIC » a-t-il dit en substance.
Dans le monde, ce sont 556 millions de personnes qui sont victimes de la cybercriminalité chaque année.
JBK/hs/ls/APA