Le rideau est tombé sur la 8ème convention extraordinaire du Front populaire ivoirien, le samedi 22 février 2014 au palais des sports de Treichville. Pendant deux jours, vendredi et samedi, les militants du FPI ont disséqué le thème «Un FPI fort, pour une Côte d’Ivoire solidaire, libre, démocratique et souveraine». L’une des importantes résolutions adoptées par les participants, c’est la motion spéciale sur la libération du président Laurent Gbagbo, lue par Mme Adèle Dédi, secrétaire nationale chargée des relations avec les structures spécialisées et d’activités.
«Vu les qualités humaines et politiques du président Laurent Gbagbo : homme de paix et de démocratie (…) considérant sa capacité de tolérance, malgré tous les torts subis avant son accession au pouvoir d’Etat, tolérance qui s’est traduite par l’ouverture de ses gouvernements successifs à ses adversaires politiques, considérant qu’en dépit de tous ces efforts de paix, le président Laurent Gbagbo a été militairement attaqué, arrêté et incarcéré à Korhogo avant d’être déporté à La Haye, considérant que le maintien du président Laurent Gbagbo à la CPI repose plus sur des considérations politiques que du Droit, (…) convaincue qu’une personnalité de la trempe de Laurent Gbagbo, attachée aux valeurs de liberté, de la démocratie et de la paix ne peut planifier des crimes et les exécuter, convaincue que le retour du président Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire va favoriser et accélérer le processus de réconciliation nationale, la 8ème convention extraordinaire du Front populaire ivoirien, réunie les 21 et 22 février 2014 au palais de sports de Treichville à Abidjan, demande la libération immédiate du président Laurent Gbagbo et son retour en Côte d’Ivoire, invite tous les démocrates de Côte d’Ivoire, d’Afrique et du monde à se tenir constamment mobilisés afin d’obtenir la libération effective du président Laurent Gbagbo», précise cette résolution. Pour le président du Front populaire ivoirien, trois fondamentaux sont à retenir au terme de cette convention. «La première chose, c’est que dans les grands moments de leur histoire, les peuples s’identifient toujours à une figure qui incarne la lutte qu’ils mènent. Il s’agit d’une personne en qui tous se reconnaissent et se projettent à travers sa vision, sa pensée et ses actions. Et son sort, ses souffrances deviennent ceux de tout un peuple. Aujourd’hui, nos aspirations, les aspirations du peuple ivoirien ont un visage porté par un nom : le visage et le nom du président Laurent Gbagbo, une grande figure du combat pour les libertés, pour la démocratie et pour la souveraineté (…) La cause de Laurent Gbagbo est notre cause. La libération de Laurent Gbagbo est celle de la Côte d’Ivoire. La deuxième chose, c’est que la situation actuelle de notre pays nous impose de lourdes responsabilités : la responsabilité d’incarner une nouvelle espérance (…) C’est pourquoi nous devons être forts car c’est vers nous qu’aujourd’hui tous les regards sont tournés (…) Nous ne devons pas les décevoir. Nous ne décevrons pas le peuple de Côte d’Ivoire qui attend beaucoup de nous dans ces moments d’incertitudes. La troisième et dernière chose, c’est la certitude de notre victoire. Nous allons gagner. Le président Laurent Gbagbo sera libéré. Les libertés et la démocratie seront restaurées. Bientôt, très bientôt, le FPI sera à nouveau au pouvoir par la seule voie qui nous est enseignée : la voie de la transition pacifique à la démocratie. Il s’agit, à partir de cette convention, de construire cette victoire», a insisté Pascal Affi N’guessan.
Construire des alliances politiques pour la victoire
Dans son discours d’orientation qui donne la ligne de conduite des militants pour l’année 2014, le président du FPI a dévoilé la voie pour construire la victoire de son parti : «la formation d’une vaste alliance pour assurer la restauration de la Côte d’Ivoire et opérer l’alternance démocratique» qui, selon lui, est une nécessité pour la Côte d’Ivoire. «La convention a fait le constat et a instruit la direction du parti de saisir toutes les opportunités pour conclure des alliances avec les partis, les organisations politiques désireux de servir la cause nationale, la liberté et la démocratie. Nous ne devons pas oublier l’alliance avec les forces sociales. Partager la lutte des travailleurs, marquer notre solidarité et notre proximité avec la société civile dans la défense des libertés et des Droits de l’homme devrait nous permettre à la fois de servir notre idéal et capter leur adhésion», a préconisé le président du FPI, qui a pris l’engagement, à travers les réflexions menées, d’incarner la nouvelle espérance avec le FPI, «un parti sérieux et rigoureux, proche du peuple, digne de confiance et apte à gouverner à nouveau», a-t-il dit.
«Vu les qualités humaines et politiques du président Laurent Gbagbo : homme de paix et de démocratie (…) considérant sa capacité de tolérance, malgré tous les torts subis avant son accession au pouvoir d’Etat, tolérance qui s’est traduite par l’ouverture de ses gouvernements successifs à ses adversaires politiques, considérant qu’en dépit de tous ces efforts de paix, le président Laurent Gbagbo a été militairement attaqué, arrêté et incarcéré à Korhogo avant d’être déporté à La Haye, considérant que le maintien du président Laurent Gbagbo à la CPI repose plus sur des considérations politiques que du Droit, (…) convaincue qu’une personnalité de la trempe de Laurent Gbagbo, attachée aux valeurs de liberté, de la démocratie et de la paix ne peut planifier des crimes et les exécuter, convaincue que le retour du président Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire va favoriser et accélérer le processus de réconciliation nationale, la 8ème convention extraordinaire du Front populaire ivoirien, réunie les 21 et 22 février 2014 au palais de sports de Treichville à Abidjan, demande la libération immédiate du président Laurent Gbagbo et son retour en Côte d’Ivoire, invite tous les démocrates de Côte d’Ivoire, d’Afrique et du monde à se tenir constamment mobilisés afin d’obtenir la libération effective du président Laurent Gbagbo», précise cette résolution. Pour le président du Front populaire ivoirien, trois fondamentaux sont à retenir au terme de cette convention. «La première chose, c’est que dans les grands moments de leur histoire, les peuples s’identifient toujours à une figure qui incarne la lutte qu’ils mènent. Il s’agit d’une personne en qui tous se reconnaissent et se projettent à travers sa vision, sa pensée et ses actions. Et son sort, ses souffrances deviennent ceux de tout un peuple. Aujourd’hui, nos aspirations, les aspirations du peuple ivoirien ont un visage porté par un nom : le visage et le nom du président Laurent Gbagbo, une grande figure du combat pour les libertés, pour la démocratie et pour la souveraineté (…) La cause de Laurent Gbagbo est notre cause. La libération de Laurent Gbagbo est celle de la Côte d’Ivoire. La deuxième chose, c’est que la situation actuelle de notre pays nous impose de lourdes responsabilités : la responsabilité d’incarner une nouvelle espérance (…) C’est pourquoi nous devons être forts car c’est vers nous qu’aujourd’hui tous les regards sont tournés (…) Nous ne devons pas les décevoir. Nous ne décevrons pas le peuple de Côte d’Ivoire qui attend beaucoup de nous dans ces moments d’incertitudes. La troisième et dernière chose, c’est la certitude de notre victoire. Nous allons gagner. Le président Laurent Gbagbo sera libéré. Les libertés et la démocratie seront restaurées. Bientôt, très bientôt, le FPI sera à nouveau au pouvoir par la seule voie qui nous est enseignée : la voie de la transition pacifique à la démocratie. Il s’agit, à partir de cette convention, de construire cette victoire», a insisté Pascal Affi N’guessan.
Construire des alliances politiques pour la victoire
Dans son discours d’orientation qui donne la ligne de conduite des militants pour l’année 2014, le président du FPI a dévoilé la voie pour construire la victoire de son parti : «la formation d’une vaste alliance pour assurer la restauration de la Côte d’Ivoire et opérer l’alternance démocratique» qui, selon lui, est une nécessité pour la Côte d’Ivoire. «La convention a fait le constat et a instruit la direction du parti de saisir toutes les opportunités pour conclure des alliances avec les partis, les organisations politiques désireux de servir la cause nationale, la liberté et la démocratie. Nous ne devons pas oublier l’alliance avec les forces sociales. Partager la lutte des travailleurs, marquer notre solidarité et notre proximité avec la société civile dans la défense des libertés et des Droits de l’homme devrait nous permettre à la fois de servir notre idéal et capter leur adhésion», a préconisé le président du FPI, qui a pris l’engagement, à travers les réflexions menées, d’incarner la nouvelle espérance avec le FPI, «un parti sérieux et rigoureux, proche du peuple, digne de confiance et apte à gouverner à nouveau», a-t-il dit.