A qui reviendra ce grand honneur d’agiter le bissa d’excellence ? Le nom du premier lauréat du Grand prix littéraire Bernard Zadi Zaourou ouvert aux manuscrits inédits ivoiriens dans les catégories «Poésie», «Nouvelle», «Théâtre» et «Innovation stylistique» sera rendu public au soir du 18 mars 2014, à partir de 17 h, à l’Hôtel du District d’Abidjan, au Plateau. La délibération de cette cérémonie dont le thème est «Tiens ferme ce bissa ! » (queue de bœuf) aura lieu lors de la rentrée culturelle de l’Association des écrivains de Côte d’Ivoire (Ae-CI), initiatrice de la compétition. Cette rentrée marque, dans le même temps, le début des Journées qui seront consacrées jusqu’au 20 mars à l’œuvre du poète, dramaturge, musicien, enseignant universitaire (lettres) et homme politique ivoirien disparu le 20 mars 2012.
«Nous allons mettre en exergue une personnalité d’excellence. Car un grand pays vit toujours de la pluralité des prix littéraires dont ils regorgent. Nous voulons donc que ce prix que nous emmènerons à sa dimension internationale dès 2015, soit connu de tous. A cet effet, nous attendons beaucoup du ministère de la Culture, du Conseil régional de Soubré dont est originaire Zadi Zaourou et de tous les mécènes», a déclaré le président de l’Ae-CI Josué Guébo, samedi, au cours d’une rencontre avec la presse, au siège de Radio Cocody, à la 8ème Tranche.
Les dépôts physiques de candidature, selon le promoteur en chef, sont reçus jusqu’au 7 mars. «Nous avons dû repousser la date limite parce qu’il y a de l’engouement autour de ce prix», a expliqué Josué Guébo qui était soutenu par Oblé Gnondjui Antoine, président du comité d’organisation de la cérémonie.
«Le manuscrit devra être original, et n’avoir jamais été édité ni publié, encore moins primé à d’autres concours littéraires», a indiqué le président de l’Ae-CI, avant d’ajouter que «le concours est ouverts aux nationaux ivoiriens sans distinction d’âge ni de sexe» et qu’aucun «candidat ne pourra s’exprimer dans les quatre catégories à la fois.»
Une exposition photo-vente sur le parcours de Zadi Zaourou, une conférence à l’attention des jeunes des établissements secondaires, une table-ronde à dédiée aux étudiants des universités et des grande écoles puis une visite guidée le long du parcours du célèbre auteur styliste et symboliste, meubleront le reste du programme de l’événement, au Grto et au Lycée Technique de Cocody.
Bernard Zadi Zaourou, père du didiga (l’art de l’impensable) avait déjà écrit cette phrase prémonitoire : «Car je renaîtrai de mes cendres dès l’aube prochaine». A juste titre, le grand homme sera ressuscité à travers cette cérémonie éponyme naissante lancée depuis le 20 décembre 2013.
Schadé Adédé
schadeci@yahoo.fr
«Nous allons mettre en exergue une personnalité d’excellence. Car un grand pays vit toujours de la pluralité des prix littéraires dont ils regorgent. Nous voulons donc que ce prix que nous emmènerons à sa dimension internationale dès 2015, soit connu de tous. A cet effet, nous attendons beaucoup du ministère de la Culture, du Conseil régional de Soubré dont est originaire Zadi Zaourou et de tous les mécènes», a déclaré le président de l’Ae-CI Josué Guébo, samedi, au cours d’une rencontre avec la presse, au siège de Radio Cocody, à la 8ème Tranche.
Les dépôts physiques de candidature, selon le promoteur en chef, sont reçus jusqu’au 7 mars. «Nous avons dû repousser la date limite parce qu’il y a de l’engouement autour de ce prix», a expliqué Josué Guébo qui était soutenu par Oblé Gnondjui Antoine, président du comité d’organisation de la cérémonie.
«Le manuscrit devra être original, et n’avoir jamais été édité ni publié, encore moins primé à d’autres concours littéraires», a indiqué le président de l’Ae-CI, avant d’ajouter que «le concours est ouverts aux nationaux ivoiriens sans distinction d’âge ni de sexe» et qu’aucun «candidat ne pourra s’exprimer dans les quatre catégories à la fois.»
Une exposition photo-vente sur le parcours de Zadi Zaourou, une conférence à l’attention des jeunes des établissements secondaires, une table-ronde à dédiée aux étudiants des universités et des grande écoles puis une visite guidée le long du parcours du célèbre auteur styliste et symboliste, meubleront le reste du programme de l’événement, au Grto et au Lycée Technique de Cocody.
Bernard Zadi Zaourou, père du didiga (l’art de l’impensable) avait déjà écrit cette phrase prémonitoire : «Car je renaîtrai de mes cendres dès l’aube prochaine». A juste titre, le grand homme sera ressuscité à travers cette cérémonie éponyme naissante lancée depuis le 20 décembre 2013.
Schadé Adédé
schadeci@yahoo.fr