Le long fleuve tranquille dans lequel baigne la Côte d’Ivoire, sous l’ère Ouattara, n’est certainement pas aux goûts de tous, notamment des refondateurs. Disons-le tout net. Le Front Populaire Ivoirien (FPI) tient, à tout prix, à jouer son « fameux match retour ». Il ne lâche pas prise. Il veut coûte que coûte mettre en exécution, son idée saugrenue de rendre la Côte d’Ivoire invivable, tant qu’il ne reprendrait pas la gestion du pouvoir d’Etat. Les récents événements troubles à l’université, attaques armées à Grabo, Noé, en disent long sur les intentions réelles des fauteurs de troubles. Tout ce rififi, en l’absence du chef de l’Etat, n’est pas anodin et n’est que la partie visible de l’iceberg. Les violences et l’arrêt des cours dans nos universités, les propos de Pascal Affi N’guessan, le week-end dernier à Yopougon et la récente attaque de Grabo ; sont suffisamment des signes avant-coureurs. Les mauvaises habitudes du parti fondé par l’ex-dictateur, Laurent Gbagbo, sont de retour. Comme pour dire, l’habitude est une seconde nature.
La paralysie des cours dans les universités publiques d’Abidjan, ouvre en à point douté, les mauvais souvenirs et les tristes pages des gangsters portant le costume d’étudiants. La douloureuse période où la FESCI donnait droit de vie ou de mort, renaît de ses cendres. Les attaques contre les positions des forces républicaines, en moins d’un mois, ne sont pas le simple fait du hasard. Les habitants de Noé ont été réveillés dans la nuit du 6 au 7 février dernier par une attaque d’individus mal intentionnés et non encore identifiés. Que dire de ceux de Grabo nuitamment attaquée à l’arme lourde par des miliciens venus du Libéria. Bilan, cinq personnes dont quatre morts côté FRCI et un blessé. Un officier des FRCI, joint par un de nos confrères, avait fait l’analyse suivante : « La leçon que l’on doit tirer de cette affaire, c’est que les gens (assaillants) sont bien loin d’avoir jeté l’éponge. Ils sont toujours en embuscade, prêts à passer à l’attaque, à la moindre inattention de nos hommes. Depuis l’attaque d’Akouédo, nous n’avons plus enregistré de pertes aussi lourdes. Cette attaque vient donc nous rappeler que nos forces ennemies sont toujours là, à nous de leur démontrer que nous ne tenons pas à leur céder le moindre centimètre de terrain ». Sans passer par quatre chemins, le patron statutaire du FPI, Affi N’guessan, a annoncé, par ailleurs à la place Ficgayo, des manifestations dans les rues dans les prochains jours, pour mieux se faire entendre. La succession de ces faits n’est pas un simple hasard. Il y’a nécessairement une corrélation entre ceux-ci. Pendant que le FPI parle de descendre dans la rue, les attaques de nos forces armées s’accentuent. La boucle est bouclée par le bras armé des refondateurs, la FESCI, qui trouble à nouveau la quiétude de ceux qui veulent réussirent et être des élites capables de diriger la Côte d’Ivoire en pleine mutation par l’administration Ouattara. Comme le dit l’adage, l'habitude, au bout d'un temps, ça devient toujours une manie. Le FPI a l’habitude de s’illustrer de la plus mauvaise des manières. Le parti à la rose tient à jouer son match retour, par la violence et les troubles incessants. Le FPI veut reprendre le pouvoir par la force.
Parce qu’il n’a jamais su fait montre de sa capacité dans les urnes. Mais, faut-il, à toute fin utile, leur rappeler que rien n’est plus funeste à la morale comme la mauvaise habitude. Les tournées de remobilisation, la 8ième convention du FPI, les meetings etc. sont l’arbre qui cache la forêt. Affi et ses partisans ne préparent pas en réalité les élections. Ils préparent plutôt leur retour dans des conditions ‘’calamiteuses’’. Mais, c’est sans compter avec le pouvoir d’Abidjan, qui compte bien protéger ses populations. Une mauvaise action trouve toujours sa réponse. Car, une mauvaise habitude est comme une mauvaise dent. Si elle persiste, il faut l’arracher. Les nouvelles autorités mettent tout en œuvre pour venir à bout des ces déstabilisateurs. Certes, l’habitude est une étrangère qui supplante en nous la raison. Mais, le FPI doit savoir raison gardée. Le pays dirigé par le président Alassane Ouattara, est en pleine reconstruction pour une émergence certaine à l’horizon 2020. Toute entrave à cette dynamique, ne serait être passée sous silence.
FT
La paralysie des cours dans les universités publiques d’Abidjan, ouvre en à point douté, les mauvais souvenirs et les tristes pages des gangsters portant le costume d’étudiants. La douloureuse période où la FESCI donnait droit de vie ou de mort, renaît de ses cendres. Les attaques contre les positions des forces républicaines, en moins d’un mois, ne sont pas le simple fait du hasard. Les habitants de Noé ont été réveillés dans la nuit du 6 au 7 février dernier par une attaque d’individus mal intentionnés et non encore identifiés. Que dire de ceux de Grabo nuitamment attaquée à l’arme lourde par des miliciens venus du Libéria. Bilan, cinq personnes dont quatre morts côté FRCI et un blessé. Un officier des FRCI, joint par un de nos confrères, avait fait l’analyse suivante : « La leçon que l’on doit tirer de cette affaire, c’est que les gens (assaillants) sont bien loin d’avoir jeté l’éponge. Ils sont toujours en embuscade, prêts à passer à l’attaque, à la moindre inattention de nos hommes. Depuis l’attaque d’Akouédo, nous n’avons plus enregistré de pertes aussi lourdes. Cette attaque vient donc nous rappeler que nos forces ennemies sont toujours là, à nous de leur démontrer que nous ne tenons pas à leur céder le moindre centimètre de terrain ». Sans passer par quatre chemins, le patron statutaire du FPI, Affi N’guessan, a annoncé, par ailleurs à la place Ficgayo, des manifestations dans les rues dans les prochains jours, pour mieux se faire entendre. La succession de ces faits n’est pas un simple hasard. Il y’a nécessairement une corrélation entre ceux-ci. Pendant que le FPI parle de descendre dans la rue, les attaques de nos forces armées s’accentuent. La boucle est bouclée par le bras armé des refondateurs, la FESCI, qui trouble à nouveau la quiétude de ceux qui veulent réussirent et être des élites capables de diriger la Côte d’Ivoire en pleine mutation par l’administration Ouattara. Comme le dit l’adage, l'habitude, au bout d'un temps, ça devient toujours une manie. Le FPI a l’habitude de s’illustrer de la plus mauvaise des manières. Le parti à la rose tient à jouer son match retour, par la violence et les troubles incessants. Le FPI veut reprendre le pouvoir par la force.
Parce qu’il n’a jamais su fait montre de sa capacité dans les urnes. Mais, faut-il, à toute fin utile, leur rappeler que rien n’est plus funeste à la morale comme la mauvaise habitude. Les tournées de remobilisation, la 8ième convention du FPI, les meetings etc. sont l’arbre qui cache la forêt. Affi et ses partisans ne préparent pas en réalité les élections. Ils préparent plutôt leur retour dans des conditions ‘’calamiteuses’’. Mais, c’est sans compter avec le pouvoir d’Abidjan, qui compte bien protéger ses populations. Une mauvaise action trouve toujours sa réponse. Car, une mauvaise habitude est comme une mauvaise dent. Si elle persiste, il faut l’arracher. Les nouvelles autorités mettent tout en œuvre pour venir à bout des ces déstabilisateurs. Certes, l’habitude est une étrangère qui supplante en nous la raison. Mais, le FPI doit savoir raison gardée. Le pays dirigé par le président Alassane Ouattara, est en pleine reconstruction pour une émergence certaine à l’horizon 2020. Toute entrave à cette dynamique, ne serait être passée sous silence.
FT