Fermé à cause du pillage des extrémistes lors du déclenchement de la rébellion du 19 septembre 2002 parvenue au pouvoir en avril 2011, le Centre culturel Jacques Aka (CCJA), après sa réhabilitation, a vu ses portes de nouveau ouvertes au public par le ministère de la Culture et de la Francophonie, l’après-midi du samedi 22 février 2014.
Fausseni Dembelé, directeur de cabinet du ministère de la Culture représentant le gouvernement ivoirien à cette cérémonie de résurrection, a dit sa fierté de voir ce pole culturel fin prêt à accueillir les créateurs et leurs œuvres, 12 ans après avoir été précipité en ruines.
Si l’on en croit Fausseni Dembelé, cité par le service communication du ministère, la réhabilitation de l’édifice a coûté la somme de 300 millions FCFA à l’Etat ivoirien. Après cette livraison, a conclu le représentant de la tutelle, bien d’autres cérémonies du même caractère suivront partout où les maisons des artistes foutent la camp par oubli des dirigeants du pays ou par la faute des ex-rebelles.
La fête du CCJA retrouvé, qui a été meublée par des prestations d’artistes locaux et surtout de la chanteuse Sidonie la Tigresse, a pris fin dans la soirée par une représentation théâtrale inaugurale, en compagnie de la Troupe abidjanaise, Le Soleil de Cocody de Vincent Diallo Ticouaï.
Le CCJA existe officiellement depuis le 13 février 1974. N’eurent été les dommages que lui a causés par la rébellion du Nord, perturbant du coup son fonctionnement de prédilection, cela ferait donc 40 ans bien comptés que l’espace est au service des arts et cultures du monde.
Cette cérémonie qui a réuni, plusieurs filles et fils de Bouaké ; au nombre desquels on notait le président du Conseil régional, Jean Abonoua, et l’un des illustres doyens d’âge de la région du Gbêkê, le richissime Konan Kouamé N’sikan.
Schadé Adédé
Fausseni Dembelé, directeur de cabinet du ministère de la Culture représentant le gouvernement ivoirien à cette cérémonie de résurrection, a dit sa fierté de voir ce pole culturel fin prêt à accueillir les créateurs et leurs œuvres, 12 ans après avoir été précipité en ruines.
Si l’on en croit Fausseni Dembelé, cité par le service communication du ministère, la réhabilitation de l’édifice a coûté la somme de 300 millions FCFA à l’Etat ivoirien. Après cette livraison, a conclu le représentant de la tutelle, bien d’autres cérémonies du même caractère suivront partout où les maisons des artistes foutent la camp par oubli des dirigeants du pays ou par la faute des ex-rebelles.
La fête du CCJA retrouvé, qui a été meublée par des prestations d’artistes locaux et surtout de la chanteuse Sidonie la Tigresse, a pris fin dans la soirée par une représentation théâtrale inaugurale, en compagnie de la Troupe abidjanaise, Le Soleil de Cocody de Vincent Diallo Ticouaï.
Le CCJA existe officiellement depuis le 13 février 1974. N’eurent été les dommages que lui a causés par la rébellion du Nord, perturbant du coup son fonctionnement de prédilection, cela ferait donc 40 ans bien comptés que l’espace est au service des arts et cultures du monde.
Cette cérémonie qui a réuni, plusieurs filles et fils de Bouaké ; au nombre desquels on notait le président du Conseil régional, Jean Abonoua, et l’un des illustres doyens d’âge de la région du Gbêkê, le richissime Konan Kouamé N’sikan.
Schadé Adédé