Il vaut son pesant d’or ! Le Projet d’appui à la réconciliation et à la cohésion sociale (Parcs). C’est de lui qu’il s’agit, sera mis en route le 20 mars prochain. Et ce sont les populations des communes de Yopougon et d’Abobo qui bénéficieront dudit projet par le biais d’activités artistiques, culturelles et sportives d’un montant global de 250 millions de FCFA. Pour décliner les enjeux et l’orientation de ce projet, financé à hauteur de 80% par l’Union Européenne, le comité de pilotage, la cellule de coordination technique, issus des deux communes (Yopougon et Abobo) et les partenaires, au nombre desquels, l’Ong "Seach for common ground", étaient en atelier d’imprégnation, les 25 et 26 février derniers à la maison des jeunes à la Sideci-Antenne de Yopougon.
Selon Koné Siaka, vice-président du comité de pilotage du projet, par ailleurs, représentant Gilbert Koné Kafana et Adama Toungara, respectivement maire de Yopougon et d’Abobo cette assise a pour entre autres enjeux de favoriser, non seulement le mieux-être des populations, mais vise également la maîtrise des procédures du principal bailleur de fonds qu’est l’Union Européenne. Quant à Koné Donikpo, Coordonnateur du Parcs, l’occasion était belle de parcourir le projet dans ses différentes initiatives et articulations. Notamment, les initiatives de cohésion sociale qui auront pour cadre les deux ctités à raison de cinq par commune. Concrètement, il va consister, pendant 30 mois, en la réalisation de 10 activités socioculturelles et sportives. Sur le terrain, il s’agira de la réhabilitation d’infrastructures; des programmes de renforcement de capacités etc. A titre d’exemple, le projet prévoit, pour Abobo, l’installation d’une radio communale. Porté au départ par la mairie de Yopougon, l’Union Européenne, au finish, a souhaité qu’une commune ayant également souffert le martyre y soit associée. C’est ainsi que le choix, évidemment, s’est porté sur Abobo. En plus de contribuer au processus de réconciliation des populations, dans ces deux communes, le Parcs se pose aujourd’hui comme un instrument qui donnera le mieux-être aux habitants de cités qui ont payé le lourd tribut de la grave crise postélectorale.
Jean-Antoine Doudou
Selon Koné Siaka, vice-président du comité de pilotage du projet, par ailleurs, représentant Gilbert Koné Kafana et Adama Toungara, respectivement maire de Yopougon et d’Abobo cette assise a pour entre autres enjeux de favoriser, non seulement le mieux-être des populations, mais vise également la maîtrise des procédures du principal bailleur de fonds qu’est l’Union Européenne. Quant à Koné Donikpo, Coordonnateur du Parcs, l’occasion était belle de parcourir le projet dans ses différentes initiatives et articulations. Notamment, les initiatives de cohésion sociale qui auront pour cadre les deux ctités à raison de cinq par commune. Concrètement, il va consister, pendant 30 mois, en la réalisation de 10 activités socioculturelles et sportives. Sur le terrain, il s’agira de la réhabilitation d’infrastructures; des programmes de renforcement de capacités etc. A titre d’exemple, le projet prévoit, pour Abobo, l’installation d’une radio communale. Porté au départ par la mairie de Yopougon, l’Union Européenne, au finish, a souhaité qu’une commune ayant également souffert le martyre y soit associée. C’est ainsi que le choix, évidemment, s’est porté sur Abobo. En plus de contribuer au processus de réconciliation des populations, dans ces deux communes, le Parcs se pose aujourd’hui comme un instrument qui donnera le mieux-être aux habitants de cités qui ont payé le lourd tribut de la grave crise postélectorale.
Jean-Antoine Doudou