Un coup d’essai, un coup de maître ! Pourrait-on dire de l’artiste Kanya Katy. Elle qui vient de mettre sur le marché discographique "Katanali". Son tout premier album dont les mélomanes, qui l’ont écouté, disent déjà du bien. Composé de six titres, avec deux remix, l’?uvre est une véritable "galette musicale", tant dans la texture que la composition rythmique.
Sa thématique bâtie autour des questions d’actualité embrasse pratiquement entre autres sujets existentiels tels que l’amour avec son corolaire de problèmes conjugaux; la vérité ; le mensonge ; la responsabilité etc. A juste titre, dans le premier morceau de l’album "Lotchele" (lisez Lotchêlê en langue Tagbana), Kanya Katy fait un plaidoyer auprès des "belles s?urs" afin qu’elles ne prennent pas en inimitié les épouses de leurs frères. « Dans nos familles, souvent, les sœurs du marié pensent que l’épouse de leur frère ne sont pas suffisamment dociles. Et elles leur mènent la vie difficile », commente l’artiste qui explique que "Gonouchegué" est en quelque sorte l’envers du premier titre.
La situation de crise à répétion en Afrique et surtout le cas de la Côte d’Ivoire n’a pas manqué de l’inspirer. "Sabari" est le titre par le truchement duquel elle demande aux Africains et, particulièrement aux politiques ivoiriens, de toujours faire triompher le dialogue et la paix. « La paix est la meilleure denrée. Lorsqu’il y a la paix, chacun peut vaquer librement à ses occupations ». Kanya Katy dit avoir été inspirée par Aïcha Koné, l’une des divas de la musique ivoirienne. Elle qui a animé des mariages, baptêmes et bien d’autres événements. Et ce n’est pas un hasard si le comité d’organisation de la Fête de la fraternité, à Tafiré dont elle est originaire, dans le cadre de l’investiture du journaliste maire Coulibaly Sounkalo, alias Charles Sanga, l’a cooptée. Et à l’occasion, le public s’est fièrement délecté des deux titres qu’elle a déclamés.
En tout cas, c’est une véritable étoile en devenir, qui va briller de ses mille éclats ! Dégustez un seul morceau de sa galette ! Et vous vous ne décrocherez jamais ! Jusqu’au bout.
Elle chante en français, bambara, malinké et dans sa langue maternelle: le tagbana.
Jean-Antoine Doudou
Sa thématique bâtie autour des questions d’actualité embrasse pratiquement entre autres sujets existentiels tels que l’amour avec son corolaire de problèmes conjugaux; la vérité ; le mensonge ; la responsabilité etc. A juste titre, dans le premier morceau de l’album "Lotchele" (lisez Lotchêlê en langue Tagbana), Kanya Katy fait un plaidoyer auprès des "belles s?urs" afin qu’elles ne prennent pas en inimitié les épouses de leurs frères. « Dans nos familles, souvent, les sœurs du marié pensent que l’épouse de leur frère ne sont pas suffisamment dociles. Et elles leur mènent la vie difficile », commente l’artiste qui explique que "Gonouchegué" est en quelque sorte l’envers du premier titre.
La situation de crise à répétion en Afrique et surtout le cas de la Côte d’Ivoire n’a pas manqué de l’inspirer. "Sabari" est le titre par le truchement duquel elle demande aux Africains et, particulièrement aux politiques ivoiriens, de toujours faire triompher le dialogue et la paix. « La paix est la meilleure denrée. Lorsqu’il y a la paix, chacun peut vaquer librement à ses occupations ». Kanya Katy dit avoir été inspirée par Aïcha Koné, l’une des divas de la musique ivoirienne. Elle qui a animé des mariages, baptêmes et bien d’autres événements. Et ce n’est pas un hasard si le comité d’organisation de la Fête de la fraternité, à Tafiré dont elle est originaire, dans le cadre de l’investiture du journaliste maire Coulibaly Sounkalo, alias Charles Sanga, l’a cooptée. Et à l’occasion, le public s’est fièrement délecté des deux titres qu’elle a déclamés.
En tout cas, c’est une véritable étoile en devenir, qui va briller de ses mille éclats ! Dégustez un seul morceau de sa galette ! Et vous vous ne décrocherez jamais ! Jusqu’au bout.
Elle chante en français, bambara, malinké et dans sa langue maternelle: le tagbana.
Jean-Antoine Doudou