Le MASA 2014 semble ne pas vraiment emballer le public abidjanais. C’est devant de maigres publics que se déroulent les spectacles de cet évènement culturel.
Il est 19 h ce lundi 3 mars, à l’espace Canal au bois de Treichville, situé en face de l’usine Solibra. Espace vide, ambiance morose. Les environs de l’espace sont déserts et des agents de la police nationale, chargés de la sécurité sont sans véritable besogne. L’inquiétude se lit sur les visages des organisateurs. Selon eux, les spectacles ont commencé tard à cause de l’arrivée tardive et nonchalante des festivaliers sur l’espace. La visite du ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman sur le site du spectacle se passe dans l’indifférence totale.
La compagnie Dumanlé et les conteurs Brigitte Glai, Thérèse Yao et Sani Bouda prestent tour à tour face à plusieurs chaises vides. L’absence des têtes d’affiches musicales comme Honakami Tapé, Aboutou Roots et Les Reines Mères, contrairement à l’affiche, sème la déception, tant au niveau des organisateurs qu’à celui des spectateurs.
Azo Djédjé
(Stagiaire)
Il est 19 h ce lundi 3 mars, à l’espace Canal au bois de Treichville, situé en face de l’usine Solibra. Espace vide, ambiance morose. Les environs de l’espace sont déserts et des agents de la police nationale, chargés de la sécurité sont sans véritable besogne. L’inquiétude se lit sur les visages des organisateurs. Selon eux, les spectacles ont commencé tard à cause de l’arrivée tardive et nonchalante des festivaliers sur l’espace. La visite du ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman sur le site du spectacle se passe dans l’indifférence totale.
La compagnie Dumanlé et les conteurs Brigitte Glai, Thérèse Yao et Sani Bouda prestent tour à tour face à plusieurs chaises vides. L’absence des têtes d’affiches musicales comme Honakami Tapé, Aboutou Roots et Les Reines Mères, contrairement à l’affiche, sème la déception, tant au niveau des organisateurs qu’à celui des spectateurs.
Azo Djédjé
(Stagiaire)