Une visite qui fait un bien fou, en termes de visibilité, au MASA. Hier, en fin de matinée, Mme Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire, s’est rendue au village du MASA, situé au Palais de la culture d’Abidjan-Treichville.
Dès son arrivée, la First Lady a été accueillie par le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman, qui avait à ses côtés, Mme Youma Fall, Directrice de la diversité et du développement culturels à l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie), qui représentait le Secrétaire général de cette institution, le président Abdou Diouf ; le Gouverneur du District d’Abidjan, M. Beugré Mambé, son homologue du District autonome de Yamoussoukro, Augustin Thiam, le maire de Treichville, François Amichia. Puis, elle a apprécié une danse de réjouissance en pays Toura et Yacouba, avant de prendre place dans la loge officielle. Le temps pour elle de découvrir la dextérité des frappes des Tambours du Burundi, une troupe qui a fait une forte impression au MASA 2014. Et aussi de savourer le talent de trois jeunes filles saxophonistes, pensionnaires de l’Insaac (Institut supérieur des arts et de l’action culturelle). Visiblement comblé par la présence de la Première Dame sur l’un des sites principaux du MASA, le ministre Maurice Bandaman, d’une voix tonique, lui a témoigné toute sa gratitude pour avoir apporté sa caution et son appui à cet événement culturel, dont le retour, dira t-il, a été longtemps souhaité par les artistes d’Afrique. « Nous vous sommes reconnaissants d’apporter votre affection aux artistes de notre continent. Nous sommes à la 8ème édition et ce MASA était un MASA de défi pour l’OIF et la Côte d’Ivoire, que le Gouverneur du District d’Abidjan et nous avions décidé de prendre», a poursuivi le ministre Bandaman, qui n’a pas occulté toutes les péripéties qui ont jusque-là émaillé l’organisation. « C’est un MASA de la reprise et toute reprise est difficile », a-t-il reconnu. Toutefois, le ministre Bandaman reste persuadé que ce MASA 2014 est surtout « un pari pour le succès, un pari pour la mobilisation». Aux yeux du ministre Bandaman, le pari de la mobilisation a été réussi parce que, a-t-il fait savoir, « nous recevons des troupes de toute l’Afrique, 63 précisément avec 500 artistes et 1500 festivaliers. Nous avons également des diffuseurs, des promoteurs et des acheteurs de spectacles venus de partout. Avec le Gouverneur du District d’Abidjan, nous avons décidé de faire de ce MASA, un festival».
A l’en croire, les nombreux sites qui accueillent les festivaliers sont fréquentés par les populations. « Nous pouvons dire que ce MASA est un succès», s’est-il réjoui, avant de révéler que le retour du MASA est la volonté du chef de l’Etat. « Nous lui témoignons notre gratitude pour sa confiance dans l’art et la culture et sa volonté de faire de la culture, un des piliers de l’émergence de la Côte d’Ivoire », a-t-il conclu, tout en remerciant l’OIF et le Gouverneur du District d’Abidjan, pour leur engagement pour la résurrection du MASA. Après une visite des stands d’exposition, la Première Dame s’est confiée à la presse. « J’étais très heureuse de voir le MASA revenir cette année. J’espère qu’il aura lieu chaque année. Je pense que c’est quelque chose de très important pour la Côte d’Ivoire, les artistes et également les Ivoiriens, qui ont ainsi la possibilité de voir l’évolution de la culture », a-t-elle indiqué, tout en ajoutant que « Le MASA (2014) est un grand succès ».
Y. Sangaré
Dès son arrivée, la First Lady a été accueillie par le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman, qui avait à ses côtés, Mme Youma Fall, Directrice de la diversité et du développement culturels à l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie), qui représentait le Secrétaire général de cette institution, le président Abdou Diouf ; le Gouverneur du District d’Abidjan, M. Beugré Mambé, son homologue du District autonome de Yamoussoukro, Augustin Thiam, le maire de Treichville, François Amichia. Puis, elle a apprécié une danse de réjouissance en pays Toura et Yacouba, avant de prendre place dans la loge officielle. Le temps pour elle de découvrir la dextérité des frappes des Tambours du Burundi, une troupe qui a fait une forte impression au MASA 2014. Et aussi de savourer le talent de trois jeunes filles saxophonistes, pensionnaires de l’Insaac (Institut supérieur des arts et de l’action culturelle). Visiblement comblé par la présence de la Première Dame sur l’un des sites principaux du MASA, le ministre Maurice Bandaman, d’une voix tonique, lui a témoigné toute sa gratitude pour avoir apporté sa caution et son appui à cet événement culturel, dont le retour, dira t-il, a été longtemps souhaité par les artistes d’Afrique. « Nous vous sommes reconnaissants d’apporter votre affection aux artistes de notre continent. Nous sommes à la 8ème édition et ce MASA était un MASA de défi pour l’OIF et la Côte d’Ivoire, que le Gouverneur du District d’Abidjan et nous avions décidé de prendre», a poursuivi le ministre Bandaman, qui n’a pas occulté toutes les péripéties qui ont jusque-là émaillé l’organisation. « C’est un MASA de la reprise et toute reprise est difficile », a-t-il reconnu. Toutefois, le ministre Bandaman reste persuadé que ce MASA 2014 est surtout « un pari pour le succès, un pari pour la mobilisation». Aux yeux du ministre Bandaman, le pari de la mobilisation a été réussi parce que, a-t-il fait savoir, « nous recevons des troupes de toute l’Afrique, 63 précisément avec 500 artistes et 1500 festivaliers. Nous avons également des diffuseurs, des promoteurs et des acheteurs de spectacles venus de partout. Avec le Gouverneur du District d’Abidjan, nous avons décidé de faire de ce MASA, un festival».
A l’en croire, les nombreux sites qui accueillent les festivaliers sont fréquentés par les populations. « Nous pouvons dire que ce MASA est un succès», s’est-il réjoui, avant de révéler que le retour du MASA est la volonté du chef de l’Etat. « Nous lui témoignons notre gratitude pour sa confiance dans l’art et la culture et sa volonté de faire de la culture, un des piliers de l’émergence de la Côte d’Ivoire », a-t-il conclu, tout en remerciant l’OIF et le Gouverneur du District d’Abidjan, pour leur engagement pour la résurrection du MASA. Après une visite des stands d’exposition, la Première Dame s’est confiée à la presse. « J’étais très heureuse de voir le MASA revenir cette année. J’espère qu’il aura lieu chaque année. Je pense que c’est quelque chose de très important pour la Côte d’Ivoire, les artistes et également les Ivoiriens, qui ont ainsi la possibilité de voir l’évolution de la culture », a-t-elle indiqué, tout en ajoutant que « Le MASA (2014) est un grand succès ».
Y. Sangaré
