Abidjan - La contribution financière de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) à la 8ème édition du Marché des arts et du spectacle africain(MASA), qui a refermé ses portes samedi, est évaluée à environs 200 millions de FCFA (300 mille euros), a révélé son administrateur, Clément Duhaime, au cours d’un déjeuner de presse.
"Le MASA est une initiative des dirigeants actuels de la Côte d’Ivoire. Beaucoup ne croyaient plus à son retour en terre ivoirienne, mais il est bien là. C’est pourquoi, nous n’avons hésité à soutenir son organisation, à hauteur de 300 millions d’euros", a affirmé M. Duhaime, précisant que le MASA demeurera toujours une propriété de la Côte d’Ivoire.
Concernant les ratés de l’organisation signalés ça et là dans la presse et qui ont valu de nombreux grincements de dents, le numéro deux de l’OIF a promis que cette situation de fait sera un vieux souvenir, car elle sera corrigée à la prochaine édition.
"Je pense qu’en 2016, tout ira pour le mieux, car il faudra roder un plus la machine. Nous aurons le temps, le mois prochain de nous asseoir, pour faire le bilan et penser les réglages nécessaires. L’édition de 2016 sera élevée à un niveau plus professionnel", a promis l’administrateur du MASA, annonçant des séances de formation des groupes artistiques et des actions d’accompagnement aux initiatives culturelles seront initiées dans ce sens.
La 8ème édition du MASA s’est déroulée du 1er au 08 mars dans trois villes ; à savoir Bouaké, Grand-Bassam et Abidjan ; avec comme activités principales, la musique, la danse, le théâtre, l’humour et le conte.
Il reprend ses droits en Côte d’Ivoire après quelques années d’interruption dues à la crise militaro-politique, rappelle-t-on.
(AIP)
Fmo/kp
"Le MASA est une initiative des dirigeants actuels de la Côte d’Ivoire. Beaucoup ne croyaient plus à son retour en terre ivoirienne, mais il est bien là. C’est pourquoi, nous n’avons hésité à soutenir son organisation, à hauteur de 300 millions d’euros", a affirmé M. Duhaime, précisant que le MASA demeurera toujours une propriété de la Côte d’Ivoire.
Concernant les ratés de l’organisation signalés ça et là dans la presse et qui ont valu de nombreux grincements de dents, le numéro deux de l’OIF a promis que cette situation de fait sera un vieux souvenir, car elle sera corrigée à la prochaine édition.
"Je pense qu’en 2016, tout ira pour le mieux, car il faudra roder un plus la machine. Nous aurons le temps, le mois prochain de nous asseoir, pour faire le bilan et penser les réglages nécessaires. L’édition de 2016 sera élevée à un niveau plus professionnel", a promis l’administrateur du MASA, annonçant des séances de formation des groupes artistiques et des actions d’accompagnement aux initiatives culturelles seront initiées dans ce sens.
La 8ème édition du MASA s’est déroulée du 1er au 08 mars dans trois villes ; à savoir Bouaké, Grand-Bassam et Abidjan ; avec comme activités principales, la musique, la danse, le théâtre, l’humour et le conte.
Il reprend ses droits en Côte d’Ivoire après quelques années d’interruption dues à la crise militaro-politique, rappelle-t-on.
(AIP)
Fmo/kp