Les services ivoiriens des impôts multiplient les campagnes de sensibilisation des populations sur le civisme fiscal.
A Abidjan, tout comme dans des villes de l'intérieur du pays, des cadres de la direction générale des impôts animent des rencontres au cours desquelles les populations dans leur diversité sont appelées à adopter un comportement citoyen.
"Il faut renouer avec le civisme fiscal pour que chacun à son niveau contribue au développement et à la reconstruction de la Côte d'Ivoire", a indiqué le directeur régional des impôts d'Odienné Joachin Gougou Meva.
Il a expliqué qu'après une période de tolérance dans la zone nord du pays en raison de la crise militaro politique, la phase de normalité au cours de laquelle les citoyens sont appelés à s'acquitter de leurs impôts a débuté.
"Il fallait aller pas à pas. Aujourd'hui il y a de plus en plus de création d'activités", a-t-il noté, se réjouissant d'une relative embellie.
Pour Léopold Koffi, cadre des impôts à Abidjan, la fraude et l'incivisme fiscal sont des fléaux qui impactent négativement le rendement fiscal évalué aujourd'hui à 16%.
"Il y a lieu de fournir aux opérateurs économiques et aux contribuables les informations essentielles utiles en vue de la bonne compréhension et l'acceptation de l'impôt", a-t-il estimé, insistant que "le paiement de l'impôt doit être désormais un réflexe chez les Ivoiriens ".
"La construction des écoles, des routes, des hôpitaux et autres émanent des recettes des impôts. Chacun doit prendre conscience de cette réalité et accepter de contribuer", a noté M. Koffi.
Les autorités ivoiriennes s'activent depuis plusieurs mois dans la perspective de relancer le pays sur les plans économique et social.
Les services des impôts entendent ainsi jouer un rôle substantiel dans la performance financière de la Côte d'Ivoire.
A Abidjan, tout comme dans des villes de l'intérieur du pays, des cadres de la direction générale des impôts animent des rencontres au cours desquelles les populations dans leur diversité sont appelées à adopter un comportement citoyen.
"Il faut renouer avec le civisme fiscal pour que chacun à son niveau contribue au développement et à la reconstruction de la Côte d'Ivoire", a indiqué le directeur régional des impôts d'Odienné Joachin Gougou Meva.
Il a expliqué qu'après une période de tolérance dans la zone nord du pays en raison de la crise militaro politique, la phase de normalité au cours de laquelle les citoyens sont appelés à s'acquitter de leurs impôts a débuté.
"Il fallait aller pas à pas. Aujourd'hui il y a de plus en plus de création d'activités", a-t-il noté, se réjouissant d'une relative embellie.
Pour Léopold Koffi, cadre des impôts à Abidjan, la fraude et l'incivisme fiscal sont des fléaux qui impactent négativement le rendement fiscal évalué aujourd'hui à 16%.
"Il y a lieu de fournir aux opérateurs économiques et aux contribuables les informations essentielles utiles en vue de la bonne compréhension et l'acceptation de l'impôt", a-t-il estimé, insistant que "le paiement de l'impôt doit être désormais un réflexe chez les Ivoiriens ".
"La construction des écoles, des routes, des hôpitaux et autres émanent des recettes des impôts. Chacun doit prendre conscience de cette réalité et accepter de contribuer", a noté M. Koffi.
Les autorités ivoiriennes s'activent depuis plusieurs mois dans la perspective de relancer le pays sur les plans économique et social.
Les services des impôts entendent ainsi jouer un rôle substantiel dans la performance financière de la Côte d'Ivoire.