Abidjan – Le Conseil national de la presse (CNP) a débouté jeudi pour la seconde fois, Traoré Moussa, l’ancien président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire qui avait introduit un deuxième recours gracieux à la suite du retrait de sa carte d’identité de journaliste professionnel.
L’instance de régulation de la presse ivoirienne, dans un communiqué parvenu mardi à l’AIP a motivé sa décision par "l’absence de fait nouveau", tout comme le recours introduit par SAEI, éditrice du quotidien "Le Jour Plus".
Une autre entreprise de presse, 7/7 monde éditions SARL, éditrice du quotidien "Le Monde d’Abidjan", dont "les termes du recours gracieux ont retenu l’attention du Conseil, ont été acceptés", indique un communiqué du CNP.
Moussa Traoré et Alafé Wakili, gérant de l'entreprise de presse Socef-NTIC, éditrice du quotidien "L'Intelligent d'Abidjan'', ont écopé d'une "suspension d'écriture d'une durée de six mois chacun, suivie du retrait subséquent de la carte d'identité de journaliste professionnel''.
Il leur est reproché, selon le CNP, des faits de "tentative de corruption" d’un autre journaliste, Assalé Tiémoko, gérant du journal satirique "l’Eléphant déchainé", aux fins de renoncer à la publication d’un article compromettant sur la ministre de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé.
(AIP)
aaa/kam
L’instance de régulation de la presse ivoirienne, dans un communiqué parvenu mardi à l’AIP a motivé sa décision par "l’absence de fait nouveau", tout comme le recours introduit par SAEI, éditrice du quotidien "Le Jour Plus".
Une autre entreprise de presse, 7/7 monde éditions SARL, éditrice du quotidien "Le Monde d’Abidjan", dont "les termes du recours gracieux ont retenu l’attention du Conseil, ont été acceptés", indique un communiqué du CNP.
Moussa Traoré et Alafé Wakili, gérant de l'entreprise de presse Socef-NTIC, éditrice du quotidien "L'Intelligent d'Abidjan'', ont écopé d'une "suspension d'écriture d'une durée de six mois chacun, suivie du retrait subséquent de la carte d'identité de journaliste professionnel''.
Il leur est reproché, selon le CNP, des faits de "tentative de corruption" d’un autre journaliste, Assalé Tiémoko, gérant du journal satirique "l’Eléphant déchainé", aux fins de renoncer à la publication d’un article compromettant sur la ministre de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé.
(AIP)
aaa/kam