Abidjan - Le jugement de Simone Gbagbo et de 82 co-accusés de la crise post-électorale et la décision d’invalidation de la candidature de Gbagbo Laurent à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI) partagent les unes des quotidiens de ce mardi, à Abidjan.
"Hier, au palais de justice au Plateau, ce que Simone Gbagbo a fait dans la salle d’audience", écrit Soir Info qui révèle "comment elle a réagi aux insultes".
"Deuxième jour du procès des prévenus de la crise post-électorale : 4 heures pour déballer des charges très lourdes contre Simone Gbagbo, Affi N’Guessan, Aké N’Gbo et les autres ", affirme L’Intelligent d’Abidjan. Ce journal dévoile que la défense tente le KO debout contre la cour et l’accusation puis appelle au secours l’arrêt de Paul Yao N’Dré, sans oublier de noter que "5 co-accusés sont convoqués ce matin".
Le Nouveau Réveil, proche du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), aborde "la violence de la crise post-électorale", indiquant les accusations selon lesquelles "Simone a tenu des réunions nocturnes", "ils ont instrumentalisé et poussé les jeunes à tuer". Mais, pour "les avocats de la défense, on ne peut agir pour un gouvernement qui n’existe pas", écrit le journal.
"Procès de 82 pro-Gbagbo/ un dossier de 80 pages contre Simone", divulgue Le Patriote, proche du Rassemblement des républicains (RDR, parti au pouvoir), relevant que "les victimes ont assiégé le tribunal".
"Hier au palais de justice: des échanges houleux, Affi hué, Simone superstar, des victimes en colère", écrit L’inter.
Fraternité Matin, quotidien gouvernemental, affirme que 8 charges sont retenues contre Mme Gbagbo et ses 89 co-accusés, notant que "la lecture de l’arrêt de renvoi a duré 4 heures".
"Procès en assises de 83 pro-Gbagbo/ les avocats mettent les juges en difficulté", écrit Notre Voie, proche du FPI (opposition).
Autre fait majeur, la décision d’invalidation de la candidature de Laurent Gbagbo à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI).
"Prochain congrès du FPI/ Affi, candidat unique, le comité de contrôle débouté", affirme Notre Voie.
"La candidature de Gbagbo rejetée", écrit le Patriote qui fait dire à Affi N’Guessan : je suis candidat unique".
Pour L’Intelligent d’Abidjan, "Affi gagne une bataille, mais...la guerre n’est pas finie".
"La justice ivoirienne a tranché, hier", révèle Le Nouveau Réveil qui croit savoir "pourquoi Gbagbo ne peut pas être candidat". Le journal fait dire à Affi N’Guessan : je suis le candidat unique du FPI".
"Présidence du FPI : après la décision de la justice, Affi en joie devant l’invalidation de la candidature de Gbagbo", ironise Soir Info, annonçant que "ses adversaires préparent quelque chose".
"Rejet de la candidature de Gbagbo", écrit L’inter qui dévoile l’intégralité de la décision du juge". Le journal fait dire à Kouakou Kra (camp Affi) que la justice vient de triompher du mensonge", quand pour "Sokouri Bohui (camp Gbagbo), Affi vient d’achever son suicide politique".
ik/kkp/tm
"Hier, au palais de justice au Plateau, ce que Simone Gbagbo a fait dans la salle d’audience", écrit Soir Info qui révèle "comment elle a réagi aux insultes".
"Deuxième jour du procès des prévenus de la crise post-électorale : 4 heures pour déballer des charges très lourdes contre Simone Gbagbo, Affi N’Guessan, Aké N’Gbo et les autres ", affirme L’Intelligent d’Abidjan. Ce journal dévoile que la défense tente le KO debout contre la cour et l’accusation puis appelle au secours l’arrêt de Paul Yao N’Dré, sans oublier de noter que "5 co-accusés sont convoqués ce matin".
Le Nouveau Réveil, proche du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), aborde "la violence de la crise post-électorale", indiquant les accusations selon lesquelles "Simone a tenu des réunions nocturnes", "ils ont instrumentalisé et poussé les jeunes à tuer". Mais, pour "les avocats de la défense, on ne peut agir pour un gouvernement qui n’existe pas", écrit le journal.
"Procès de 82 pro-Gbagbo/ un dossier de 80 pages contre Simone", divulgue Le Patriote, proche du Rassemblement des républicains (RDR, parti au pouvoir), relevant que "les victimes ont assiégé le tribunal".
"Hier au palais de justice: des échanges houleux, Affi hué, Simone superstar, des victimes en colère", écrit L’inter.
Fraternité Matin, quotidien gouvernemental, affirme que 8 charges sont retenues contre Mme Gbagbo et ses 89 co-accusés, notant que "la lecture de l’arrêt de renvoi a duré 4 heures".
"Procès en assises de 83 pro-Gbagbo/ les avocats mettent les juges en difficulté", écrit Notre Voie, proche du FPI (opposition).
Autre fait majeur, la décision d’invalidation de la candidature de Laurent Gbagbo à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI).
"Prochain congrès du FPI/ Affi, candidat unique, le comité de contrôle débouté", affirme Notre Voie.
"La candidature de Gbagbo rejetée", écrit le Patriote qui fait dire à Affi N’Guessan : je suis candidat unique".
Pour L’Intelligent d’Abidjan, "Affi gagne une bataille, mais...la guerre n’est pas finie".
"La justice ivoirienne a tranché, hier", révèle Le Nouveau Réveil qui croit savoir "pourquoi Gbagbo ne peut pas être candidat". Le journal fait dire à Affi N’Guessan : je suis le candidat unique du FPI".
"Présidence du FPI : après la décision de la justice, Affi en joie devant l’invalidation de la candidature de Gbagbo", ironise Soir Info, annonçant que "ses adversaires préparent quelque chose".
"Rejet de la candidature de Gbagbo", écrit L’inter qui dévoile l’intégralité de la décision du juge". Le journal fait dire à Kouakou Kra (camp Affi) que la justice vient de triompher du mensonge", quand pour "Sokouri Bohui (camp Gbagbo), Affi vient d’achever son suicide politique".
ik/kkp/tm