Abidjan – Le Wall Street Journal a rapporté, jeudi que des enquêteurs américains pensent, de plus en plus que le Boeing 777 de la Malaisian Airline pourrait avoir été détourné parce qu’ils soupçonnent que le MH370 aurait continué son vol plusieurs heures après avoir disparu des écrans radar et aurait parcouru ainsi des centaines de kilomètres supplémentaires.
Selon ce journal qui cite un enquêteur américain chargé du dossier, « les responsables américains du contre-terrorisme explorent la piste selon laquelle un pilote ou quelqu'un à bord a pu le détourner vers une destination secrète après avoir intentionnellement coupé les transpondeurs » (émetteur-récepteur radio).
En outre, le journal ajoute que selon les enquêteurs, l’avion pourrait avoir été détourné « avec l'intention de l'utiliser plus tard, à d'autres fins ». Quant le New Scientist évoque lui aussi le fait que Rolls Royce a reçu automatiquement deux séries de données du vol MH370 (au décollage et en phase de montée) à son centre de surveillance en temps réel de ses moteurs, situé à Derby, en Grande-Bretagne.
Les recherches couvrent désormais près de 90 000 km2, soit quasiment la surface du Portugal. Douze nations, dont les Etats-Unis, la Chine et le Japon, participent aux opérations.
(AIP)
ik/fmo/ask
Selon ce journal qui cite un enquêteur américain chargé du dossier, « les responsables américains du contre-terrorisme explorent la piste selon laquelle un pilote ou quelqu'un à bord a pu le détourner vers une destination secrète après avoir intentionnellement coupé les transpondeurs » (émetteur-récepteur radio).
En outre, le journal ajoute que selon les enquêteurs, l’avion pourrait avoir été détourné « avec l'intention de l'utiliser plus tard, à d'autres fins ». Quant le New Scientist évoque lui aussi le fait que Rolls Royce a reçu automatiquement deux séries de données du vol MH370 (au décollage et en phase de montée) à son centre de surveillance en temps réel de ses moteurs, situé à Derby, en Grande-Bretagne.
Les recherches couvrent désormais près de 90 000 km2, soit quasiment la surface du Portugal. Douze nations, dont les Etats-Unis, la Chine et le Japon, participent aux opérations.
(AIP)
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