Dix candidatures ont été retenues sur plus de 100 aspirants pour la présidentielle du 17 avril en Algérie, dont celle de l’actuel chef de l’État, Abdelaziz Bouteflika.
Le dépôt des dossiers de candidatures à la présidentielle devait être fait avant minuit, le 4 mars. Plus de 100 de personnalités avaient retiré les formulaires nécessaires à l’inscription, mais à l’échéance, seuls 10 ont déposé un dossier en bonne et due forme devant le Conseil constitutionnel.
Abdelaziz Bouteflika, 77 ans, qui avait déjà annoncé sa candidature par la voix de son Premier ministre le 22 février, s’est présenté en personne devant le Conseil constitutionnel, lundi, comme la loi l'exige, et a prononcé à la télévision nationale, ses premiers mots publics depuis son AVC, le 27 avril dernier.
Outre Bouteflika, la liste des candidats compte son ancien Premier ministre, Ali Benflis, qui s’était présenté à la présidentielle de 2004 et qui est considéré comme son principal adversaire; la dirigeante du parti des travailleurs, Louisa Hanoune, déjà candidate en 2004 et en 2009; l’ancien ministre du Trésor Ali Benouari; Abdelaziz Belaid, du Front El Moustakbal; l’avocat et député Mohamed Benhamou, à la tête de la formation Karama; le dirigeant du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, déjà candidat en 2004 et 2009; Moussa Touati, chef du Front national algérien (FNA), candidat en 2009; Ali Zaghdoud, président du Rassemblement algérien (RA) et Mahfoud Adoul, du parti Ennasr El-watani.
Deux candidats de poids ont désisté, mardi, après qu’Abdelaziz Bouteflika a annoncé sa candidature. Il s’agit de l’ancien Premier ministre Ahmed Benbitour et le Général à la retraite Mohand Tahar Yala. Ils ont tous deux dénoncé une « piraterie légalement soutenue » et un « clan maffieux qui a pris en otage le pays ». Le début de la campagne électorale est fixé au 23 mars.
cmas
Le dépôt des dossiers de candidatures à la présidentielle devait être fait avant minuit, le 4 mars. Plus de 100 de personnalités avaient retiré les formulaires nécessaires à l’inscription, mais à l’échéance, seuls 10 ont déposé un dossier en bonne et due forme devant le Conseil constitutionnel.
Abdelaziz Bouteflika, 77 ans, qui avait déjà annoncé sa candidature par la voix de son Premier ministre le 22 février, s’est présenté en personne devant le Conseil constitutionnel, lundi, comme la loi l'exige, et a prononcé à la télévision nationale, ses premiers mots publics depuis son AVC, le 27 avril dernier.
Outre Bouteflika, la liste des candidats compte son ancien Premier ministre, Ali Benflis, qui s’était présenté à la présidentielle de 2004 et qui est considéré comme son principal adversaire; la dirigeante du parti des travailleurs, Louisa Hanoune, déjà candidate en 2004 et en 2009; l’ancien ministre du Trésor Ali Benouari; Abdelaziz Belaid, du Front El Moustakbal; l’avocat et député Mohamed Benhamou, à la tête de la formation Karama; le dirigeant du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, déjà candidat en 2004 et 2009; Moussa Touati, chef du Front national algérien (FNA), candidat en 2009; Ali Zaghdoud, président du Rassemblement algérien (RA) et Mahfoud Adoul, du parti Ennasr El-watani.
Deux candidats de poids ont désisté, mardi, après qu’Abdelaziz Bouteflika a annoncé sa candidature. Il s’agit de l’ancien Premier ministre Ahmed Benbitour et le Général à la retraite Mohand Tahar Yala. Ils ont tous deux dénoncé une « piraterie légalement soutenue » et un « clan maffieux qui a pris en otage le pays ». Le début de la campagne électorale est fixé au 23 mars.
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