Un atelier régional de révision du cadre de mesure des résultats de projets financés par la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF) s’est ouvert, lundi, à Abidjan sous la présidence de Sindou Méïté, Secrétaire national ivoirien à la Gouvernance et au Renforcement des capacités, a constaté, sur place, un journaliste de APA.
Pendant trois jours, les participants en provenance du Burkina Faso, du Burundi, du Cameroun, du Ghana, de la Mauritanie, de la République Centrafricaine, du Sénégal, du Tchad, du Zimbabwe et leurs pairs ivoiriens auront à réfléchir sur le « cadre de mesure des résultats des projets ».
Cette thématique, qui s'inscrit dans la dynamique plus générale de l'évaluation des politiques publiques, interpelle, selon Sindou Méïté, l'ensemble des pays africains et surtout ceux, qui, comme la Côte d'Ivoire, ont fait de l'émergence une ambition de développement.
« L'évaluation des politiques publiques constitue donc une démarche essentielle, indispensable pour une allocation optimale des ressources, participant en cela de l'efficacité gouvernementale et plus globalement de la bonne gouvernance », a souligné M. Méïté.
Citant les indicateurs de la fondation Moh Ibrahim, signalant un « recul dans les catégories sécurité et état de droit », malgré de « grands progrès » réalisés par les pays africains en matière de gouvernance, Sindou Méïté a appelé les gouvernements à garantir une « utilisation efficace de leurs ressources et conséquemment une meilleure gouvernance ».
Pour Dr Rémy Coffi Noumon, Directeur régional des programmes pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre à l'ACBF,il ne saurait y avoir en effet de progrès irréversibles en Afrique sans des actions concrètes qui visent à développer des aptitudes endogènes pour évaluer, analyser et résoudre les problèmes cruciaux que posent les choix politiques, économiques et sociaux.
Il a rappelé les six domaines de compétence de la Fondation dans ses plans stratégiques, notamment, « l'analyse des politiques économiques et gestion du développement , la gestion et la responsabilité financières, l'amélioration et le suivi des statistiques nationales ainsi que l'administration et la gestion publique ,le renforcement des capacités d'analyse des Politiques des Parlements nationaux et la professionnalisation des voix du secteur privé et de la société civile ».
La Fondation pour le Renforcement des Capacités en Afrique, a été créée le 9 février 1991. Sa création avait été le résultat d'un partenariat entre les gouvernements africains et la communauté internationale des donateurs.
HS/ls/APA
Pendant trois jours, les participants en provenance du Burkina Faso, du Burundi, du Cameroun, du Ghana, de la Mauritanie, de la République Centrafricaine, du Sénégal, du Tchad, du Zimbabwe et leurs pairs ivoiriens auront à réfléchir sur le « cadre de mesure des résultats des projets ».
Cette thématique, qui s'inscrit dans la dynamique plus générale de l'évaluation des politiques publiques, interpelle, selon Sindou Méïté, l'ensemble des pays africains et surtout ceux, qui, comme la Côte d'Ivoire, ont fait de l'émergence une ambition de développement.
« L'évaluation des politiques publiques constitue donc une démarche essentielle, indispensable pour une allocation optimale des ressources, participant en cela de l'efficacité gouvernementale et plus globalement de la bonne gouvernance », a souligné M. Méïté.
Citant les indicateurs de la fondation Moh Ibrahim, signalant un « recul dans les catégories sécurité et état de droit », malgré de « grands progrès » réalisés par les pays africains en matière de gouvernance, Sindou Méïté a appelé les gouvernements à garantir une « utilisation efficace de leurs ressources et conséquemment une meilleure gouvernance ».
Pour Dr Rémy Coffi Noumon, Directeur régional des programmes pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre à l'ACBF,il ne saurait y avoir en effet de progrès irréversibles en Afrique sans des actions concrètes qui visent à développer des aptitudes endogènes pour évaluer, analyser et résoudre les problèmes cruciaux que posent les choix politiques, économiques et sociaux.
Il a rappelé les six domaines de compétence de la Fondation dans ses plans stratégiques, notamment, « l'analyse des politiques économiques et gestion du développement , la gestion et la responsabilité financières, l'amélioration et le suivi des statistiques nationales ainsi que l'administration et la gestion publique ,le renforcement des capacités d'analyse des Politiques des Parlements nationaux et la professionnalisation des voix du secteur privé et de la société civile ».
La Fondation pour le Renforcement des Capacités en Afrique, a été créée le 9 février 1991. Sa création avait été le résultat d'un partenariat entre les gouvernements africains et la communauté internationale des donateurs.
HS/ls/APA