L'Union européenne (UE) soutient l'Union africaine (UA) pour atteindre l'objectif de faire taire les armes à feu en Afrique en 2020, a affirmé mercredi le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, lors de la séance inaugurale du quatrième sommet UE-UA.
"L'Europe s'est engagée depuis longtemps à aider l'Afrique à mettre fin aux conflits sur ce continent. Nous soutenons avec ferveur votre aspiration à faire taire les armes à feu en 2020. Nous fournissons l'assistance financière à la Facilité de paix pour l'Afrique. Les fonds destinés aux trois prochaines années ont presque doublé. Nous déployons aussi des missions ou opérations civiles et militaires de l'UE du Mali à la RDCongo, aux eaux somaliennes. Et hier (mardi, NDLR) l'UE a décidé de lancer sa neuvième opération en Afrique" pour appuyer des efforts internationaux en République centrafricaine, a dit M. Van Rompuy devant les participants au sommet.
Il a souhaité à cette occasion que les Européens et les Africains soient "unis" pour réagir à l'extrémisme et au terrorisme par "des actions conjointes au Sahel".
L'Europe a besoin de l'aide de l'Afrique dans les domaines du changement climatique, du contrôle de la migration et de l'amélioration de la sécurité, a reconnu M. Van Rompuy.
Il a ajouté que ce sommet concernait à la fois l'Europe et l'Afrique. L'Europe fait face aux défis économiques, au chômage des jeunes, et maintenant la crise ukrainienne à l'est, tandis que l'Afrique est confrontée aux problèmes liés à la croissance économique, aux zones d'insécurité avec des défis humanitaires, et à l'intégration continentale, a précisé le président du Conseil européen, a précisé le président du Conseil européen.
Après Le Caire, Lisbonne et Tripoli, le sommet de Bruxelles consacré au thème "Investir dans les personnes, pour la prospérité et la paix" a rassemblé 32 chefs d'Etat, quatre chefs de gouvernement ou des représentants de haut rang africains, avec cinq chefs d'Etat, 17 chefs de gouvernement ou des représentants de haut rang des 28 dont le président français François Hollande et la Chancelière allemande Angela Merkel, en présence du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, du président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, de M. Van Rompuy, et de la présidente de la Commission de l'UA, Mme Nkosazana Clarice Dlamini Zuma.
"L'Europe s'est engagée depuis longtemps à aider l'Afrique à mettre fin aux conflits sur ce continent. Nous soutenons avec ferveur votre aspiration à faire taire les armes à feu en 2020. Nous fournissons l'assistance financière à la Facilité de paix pour l'Afrique. Les fonds destinés aux trois prochaines années ont presque doublé. Nous déployons aussi des missions ou opérations civiles et militaires de l'UE du Mali à la RDCongo, aux eaux somaliennes. Et hier (mardi, NDLR) l'UE a décidé de lancer sa neuvième opération en Afrique" pour appuyer des efforts internationaux en République centrafricaine, a dit M. Van Rompuy devant les participants au sommet.
Il a souhaité à cette occasion que les Européens et les Africains soient "unis" pour réagir à l'extrémisme et au terrorisme par "des actions conjointes au Sahel".
L'Europe a besoin de l'aide de l'Afrique dans les domaines du changement climatique, du contrôle de la migration et de l'amélioration de la sécurité, a reconnu M. Van Rompuy.
Il a ajouté que ce sommet concernait à la fois l'Europe et l'Afrique. L'Europe fait face aux défis économiques, au chômage des jeunes, et maintenant la crise ukrainienne à l'est, tandis que l'Afrique est confrontée aux problèmes liés à la croissance économique, aux zones d'insécurité avec des défis humanitaires, et à l'intégration continentale, a précisé le président du Conseil européen, a précisé le président du Conseil européen.
Après Le Caire, Lisbonne et Tripoli, le sommet de Bruxelles consacré au thème "Investir dans les personnes, pour la prospérité et la paix" a rassemblé 32 chefs d'Etat, quatre chefs de gouvernement ou des représentants de haut rang africains, avec cinq chefs d'Etat, 17 chefs de gouvernement ou des représentants de haut rang des 28 dont le président français François Hollande et la Chancelière allemande Angela Merkel, en présence du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, du président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, de M. Van Rompuy, et de la présidente de la Commission de l'UA, Mme Nkosazana Clarice Dlamini Zuma.
