• Monsieur le ministre de l’intérieur du Benin, pays assurant la présidence de la conférence des chefs d’état et de gouvernement de l’UEMOA,
• Monsieur le ministre de l’aménagement du territoire et des collectivités du Sénégal,
• Monsieur le représentant de madame la première vice-présidente du comite des régions de l’union européenne,
• Messieurs Les Anciens Ministres Et Présidents D’institutions,
• Monsieur Le Commissaire Du Développement Humain De L’UEMOA,
• Monsieur Le Représentant Du Parlement Européen,
• Monsieur Le Président De L’association Européenne Des Régions Transfrontalières,
• Mesdames Et Messieurs Les Membres Du Bureau Du CCT/UEMOA,
• Madame La Présidente Du Réseau De Femmes Elues Locales Du Cct,
• Monsieur Le Président De Global Local Forum,
• Monsieur Le Président De L’alliance Pour Refonder La Gouvernance En Afrique,
• Monsieur Le Président De Laboratoire Citoyennetés,
• Messieurs Les Chefs De Programmes Et Coordonnateurs Des Organisations Partenaires,
• Messieurs Les Représentants D’organisations D’élus Locaux,
• Mesdames Et Messieurs Les Experts Et Personnes Ressources,
• Mesdames Et Messieurs Les Représentants De La Presse,
• Honorables Invites, En Vos Rangs, Grades Et Qualités,
Ce matin quand nous ouvrions notre conférence sur la coopération transfrontalière, comme levier pour le développement et la paix, avec le comite des régions de l’union européenne, de nombreux espoirs avaient été émis, et je pense que le travail impressionnant qui a été réalise, en une journée, a permis de rassurer les uns et conforter les autres.
Pour le CCT/UEMOA, la tenue de cette rencontre de Bruxelles a le mérite de présenter par sa forme et sa démarche, une action de coopération et a démontre par son contenu, la force de développement que porte cette coopération, notamment celle des frontières, qui bien plus qu’une problématique, se présentent aujourd’hui comme une opportunité et une nécessité, a promouvoir, encadrer et a développer.
A travers cette initiative, il s’agit pour le CCT, en lien avec l’UEMOA de créer les conditions favorables a une implication des acteurs locaux dans la politique d’intégration régionale et dont la coopération décentralisée transfrontalière, se présente comme un axe stratégique de prime importance, dans la conduite d’actions collégiales pour briser les autarcies et embrayer un développement porté par l’inclusion, la mutualisation et une coopération multi-acteurs.
Ainsi, les frontières, non seulement doivent être acceptées et dépassées, pour reprendre les propos de monsieur karl heinz lamberzt, mais bien plus, elles doivent être productives, inclusives et bénéfiques pour les zones qui les composent.
Notre conférence nous en a offert des pistes et propose des axes d’intervention majeurs, pour lesquels le CCT, par ma voix voudrait reprendre a son compte, avec l’appui de la commission de l’UEMOA et dans un contexte de franche collaboration et d’un partenariat gagnant-gagnant, incluant tous les acteurs capables de faire bouger les lignes et bâtir des nouvelles zones frontalières plus holistiques.
Dans cette dynamique, les différents réseaux qui ont été recommandés ; la mutualisation des projets et programmes a réaliser ; le rôle de premier choix qui devra être celui des femmes si bien relevé ce matin par la présidente Aissatou Sow Diawara; la réalisation d’infrastructures et services de base transfrontaliers et les moyens a mobiliser, devraient nous permettre de lancer un véritable plaidoyer pour notre conseil, et au profit des collectivités territoriales liées par de nombreuses frontières.
C’est pour moi l’occasion de remercier tous nos partenaires pour l’intérêt et l’accompagnement accordé a la feuille de route du CCT/UEMOA.
D’abord, a la conférence des chefs d’état et la commission de l’UEMOA, par la voix de monsieur le ministre François Houessou et le commissaire Seydou Sissouma, le CCT réitère sa sincère gratitude.
Ensuite, notre reconnaissance, a la faveur de cette conférence, s’adresse au comité des régions qui y a participé au plus haut niveau, en la personne de madame Bresso Mercedes, première vice-présidente.
A ses cotés, nos remerciements vont également a l’endroit de la communauté européenne, dont d’importants maillons sont présents a nos cotés.
Il me plait également de dire la gratitude du CCT aux partenaires stratégiques et opérationnels, principalement, la GIZ ; global local forum ; la coopération suisse ; le CGLUA et tous ceux qui ont une écoute attentive a nos initiatives et que nous invitons a s’engager avec nous.
Enfin, les experts et personnes ressources qui nous font l’honneur d’animer les différentes tables rondes et dont les analyses pertinentes nous donnent matière à regarder le futur avec plus de sérénité, voudront bien accepter nos remerciements.
Messieurs les ministres, honorables invites, nous venons de réussir en commun l’organisation d’une conférence de très haut niveau sur le plan scientifique.
La richesse de vos contributions, leur complémentarité leur actualité, ont été éloquents tout au long de cette journée, et je voudrais vous en féliciter et vous en remercier, très sincèrement, encore.
Apres Dakar, Bruxelles vient encore de marquer une nouvelle étape dans le développement territorial, en s’appuyant sur les opportunités offertes par la coopération décentralisée et transfrontalière, tant au niveau de la réflexion que des outils programmatiques et mécanismes.
Nous espérons que les nouveaux domaines d’intervention prévus par l’union européenne ; les reformes et études en voie de validation au niveau de l’UEMOA, ainsi que les fonds qui se vulgarisent de plus en plus en matière de coopération, seront fédérés pour constituer une force d’actions accessibles et fonctionnels.
Pour finir, je voudrais relancer le pari de changer de façon méliorative le quotidien de nos populations, installées sur nos territoires et qui attendent d’être mieux intégrées et cela de façon durable.
je vous remercie.
• Monsieur le ministre de l’aménagement du territoire et des collectivités du Sénégal,
• Monsieur le représentant de madame la première vice-présidente du comite des régions de l’union européenne,
• Messieurs Les Anciens Ministres Et Présidents D’institutions,
• Monsieur Le Commissaire Du Développement Humain De L’UEMOA,
• Monsieur Le Représentant Du Parlement Européen,
• Monsieur Le Président De L’association Européenne Des Régions Transfrontalières,
• Mesdames Et Messieurs Les Membres Du Bureau Du CCT/UEMOA,
• Madame La Présidente Du Réseau De Femmes Elues Locales Du Cct,
• Monsieur Le Président De Global Local Forum,
• Monsieur Le Président De L’alliance Pour Refonder La Gouvernance En Afrique,
• Monsieur Le Président De Laboratoire Citoyennetés,
• Messieurs Les Chefs De Programmes Et Coordonnateurs Des Organisations Partenaires,
• Messieurs Les Représentants D’organisations D’élus Locaux,
• Mesdames Et Messieurs Les Experts Et Personnes Ressources,
• Mesdames Et Messieurs Les Représentants De La Presse,
• Honorables Invites, En Vos Rangs, Grades Et Qualités,
Ce matin quand nous ouvrions notre conférence sur la coopération transfrontalière, comme levier pour le développement et la paix, avec le comite des régions de l’union européenne, de nombreux espoirs avaient été émis, et je pense que le travail impressionnant qui a été réalise, en une journée, a permis de rassurer les uns et conforter les autres.
Pour le CCT/UEMOA, la tenue de cette rencontre de Bruxelles a le mérite de présenter par sa forme et sa démarche, une action de coopération et a démontre par son contenu, la force de développement que porte cette coopération, notamment celle des frontières, qui bien plus qu’une problématique, se présentent aujourd’hui comme une opportunité et une nécessité, a promouvoir, encadrer et a développer.
A travers cette initiative, il s’agit pour le CCT, en lien avec l’UEMOA de créer les conditions favorables a une implication des acteurs locaux dans la politique d’intégration régionale et dont la coopération décentralisée transfrontalière, se présente comme un axe stratégique de prime importance, dans la conduite d’actions collégiales pour briser les autarcies et embrayer un développement porté par l’inclusion, la mutualisation et une coopération multi-acteurs.
Ainsi, les frontières, non seulement doivent être acceptées et dépassées, pour reprendre les propos de monsieur karl heinz lamberzt, mais bien plus, elles doivent être productives, inclusives et bénéfiques pour les zones qui les composent.
Notre conférence nous en a offert des pistes et propose des axes d’intervention majeurs, pour lesquels le CCT, par ma voix voudrait reprendre a son compte, avec l’appui de la commission de l’UEMOA et dans un contexte de franche collaboration et d’un partenariat gagnant-gagnant, incluant tous les acteurs capables de faire bouger les lignes et bâtir des nouvelles zones frontalières plus holistiques.
Dans cette dynamique, les différents réseaux qui ont été recommandés ; la mutualisation des projets et programmes a réaliser ; le rôle de premier choix qui devra être celui des femmes si bien relevé ce matin par la présidente Aissatou Sow Diawara; la réalisation d’infrastructures et services de base transfrontaliers et les moyens a mobiliser, devraient nous permettre de lancer un véritable plaidoyer pour notre conseil, et au profit des collectivités territoriales liées par de nombreuses frontières.
C’est pour moi l’occasion de remercier tous nos partenaires pour l’intérêt et l’accompagnement accordé a la feuille de route du CCT/UEMOA.
D’abord, a la conférence des chefs d’état et la commission de l’UEMOA, par la voix de monsieur le ministre François Houessou et le commissaire Seydou Sissouma, le CCT réitère sa sincère gratitude.
Ensuite, notre reconnaissance, a la faveur de cette conférence, s’adresse au comité des régions qui y a participé au plus haut niveau, en la personne de madame Bresso Mercedes, première vice-présidente.
A ses cotés, nos remerciements vont également a l’endroit de la communauté européenne, dont d’importants maillons sont présents a nos cotés.
Il me plait également de dire la gratitude du CCT aux partenaires stratégiques et opérationnels, principalement, la GIZ ; global local forum ; la coopération suisse ; le CGLUA et tous ceux qui ont une écoute attentive a nos initiatives et que nous invitons a s’engager avec nous.
Enfin, les experts et personnes ressources qui nous font l’honneur d’animer les différentes tables rondes et dont les analyses pertinentes nous donnent matière à regarder le futur avec plus de sérénité, voudront bien accepter nos remerciements.
Messieurs les ministres, honorables invites, nous venons de réussir en commun l’organisation d’une conférence de très haut niveau sur le plan scientifique.
La richesse de vos contributions, leur complémentarité leur actualité, ont été éloquents tout au long de cette journée, et je voudrais vous en féliciter et vous en remercier, très sincèrement, encore.
Apres Dakar, Bruxelles vient encore de marquer une nouvelle étape dans le développement territorial, en s’appuyant sur les opportunités offertes par la coopération décentralisée et transfrontalière, tant au niveau de la réflexion que des outils programmatiques et mécanismes.
Nous espérons que les nouveaux domaines d’intervention prévus par l’union européenne ; les reformes et études en voie de validation au niveau de l’UEMOA, ainsi que les fonds qui se vulgarisent de plus en plus en matière de coopération, seront fédérés pour constituer une force d’actions accessibles et fonctionnels.
Pour finir, je voudrais relancer le pari de changer de façon méliorative le quotidien de nos populations, installées sur nos territoires et qui attendent d’être mieux intégrées et cela de façon durable.
je vous remercie.