Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition), a délaissé la « formation politique » de ses militants au profit d’autres « avantages », a déploré Michel Gbagbo, le fils de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo.
S'exprimant le samedi dernier à Agboville (80 km au Nord-Est d'Abidjan), lors de l'investiture de la cellule des enseignants du FPI, Michel Gbagbo a profité pour donner des conseils au Vice-président du Rassemblement des jeunes républicains (RJR, la jeunesse du parti au pouvoir) d'Agboville, Ousmane Traoré, présent à cette cérémonie.
« (…) En ma qualité d'aîné du Camarade Traoré Ousmane, je profite pour l'inciter, lui et les militants de son parti à ne pas tomber dans les mêmes pièges que nous en délaissant la formation politique au profit de la recherche d'autres avantages, parce que vous êtes au pouvoir », a expliqué Michel Gbagbo, soulignant « être bien placé pour donner ces conseils ».
Michel Gbagbo avait été arrêté, en compagnie de son père le 11 avril 2011 à Abidjan, lors de la crise post-électorale. Accusé d'infractions économiques, il a bénéficié en août 2013 de la liberté provisoire, avec 12 autres détenus.
S'exprimant le samedi dernier à Agboville (80 km au Nord-Est d'Abidjan), lors de l'investiture de la cellule des enseignants du FPI, Michel Gbagbo a profité pour donner des conseils au Vice-président du Rassemblement des jeunes républicains (RJR, la jeunesse du parti au pouvoir) d'Agboville, Ousmane Traoré, présent à cette cérémonie.
« (…) En ma qualité d'aîné du Camarade Traoré Ousmane, je profite pour l'inciter, lui et les militants de son parti à ne pas tomber dans les mêmes pièges que nous en délaissant la formation politique au profit de la recherche d'autres avantages, parce que vous êtes au pouvoir », a expliqué Michel Gbagbo, soulignant « être bien placé pour donner ces conseils ».
Michel Gbagbo avait été arrêté, en compagnie de son père le 11 avril 2011 à Abidjan, lors de la crise post-électorale. Accusé d'infractions économiques, il a bénéficié en août 2013 de la liberté provisoire, avec 12 autres détenus.