Des heurts ont éclaté, samedi, à un rassemblement des jeunes du Front populaire ivoirien (Fpi, parti de Laurent Gbagbo), faisant plusieurs blessés.
Selon les temoins , le meeting prévu à la place Laurent Gbagbo de la commune de Port-Bouët au Sud d’Abidjan n’a pu se tenir en raison des échauffourées survenus sur les lieux entre les militants du Fpi et des individus soupçonnés d’être des supplétifs des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) logés dans une cité universitaire dans la même commune.
Les responsables de ce mouvement de jeunesse du Fpi imputent cette agression, au ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko qui n’aurait pas pris les dispositions sécuritaires pour éviter que de tels événements se reproduisent surtout que depuis la fin de la crise postélectorale, plusieurs manifestations similaires de ce parti ont connu cette même issue.
Selon ces sources des hommes armés de couteaux et de gourdins ont fait irruption sur les lieux d’un meeting et ont dispersé la foule. Le bilan fait état de plusieurs blessés et du matériel saccagés.
Ces violences interviennent dans un contexte de tension entre le pouvoir et l’opposition pro-Gbagbo qui s’accusent mutuellement d’avoir rompu le dialogue politique.
Lors d’une réunion des dirigeants du Fpi tenue en mars dernier, il a été décidé de l’organisation d’actions d’envergure notamment « des sit-in, marches et opérations ville-morte » pendant les prochains jours en Côte d’Ivoire, dans une «logique de riposte graduée» face à la « rupture unilatérale » du dialogue par le pouvoir.
Face à cette position du Fpi, le porte-parole du Rassemblement des républicains (Rdr, au pouvoir), Joël N’guessan a demandé aux militants « d’accompagner les militants du Fpi, dans la rue », lorsqu’ils voudront « marcher ».
Selon les temoins , le meeting prévu à la place Laurent Gbagbo de la commune de Port-Bouët au Sud d’Abidjan n’a pu se tenir en raison des échauffourées survenus sur les lieux entre les militants du Fpi et des individus soupçonnés d’être des supplétifs des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) logés dans une cité universitaire dans la même commune.
Les responsables de ce mouvement de jeunesse du Fpi imputent cette agression, au ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko qui n’aurait pas pris les dispositions sécuritaires pour éviter que de tels événements se reproduisent surtout que depuis la fin de la crise postélectorale, plusieurs manifestations similaires de ce parti ont connu cette même issue.
Selon ces sources des hommes armés de couteaux et de gourdins ont fait irruption sur les lieux d’un meeting et ont dispersé la foule. Le bilan fait état de plusieurs blessés et du matériel saccagés.
Ces violences interviennent dans un contexte de tension entre le pouvoir et l’opposition pro-Gbagbo qui s’accusent mutuellement d’avoir rompu le dialogue politique.
Lors d’une réunion des dirigeants du Fpi tenue en mars dernier, il a été décidé de l’organisation d’actions d’envergure notamment « des sit-in, marches et opérations ville-morte » pendant les prochains jours en Côte d’Ivoire, dans une «logique de riposte graduée» face à la « rupture unilatérale » du dialogue par le pouvoir.
Face à cette position du Fpi, le porte-parole du Rassemblement des républicains (Rdr, au pouvoir), Joël N’guessan a demandé aux militants « d’accompagner les militants du Fpi, dans la rue », lorsqu’ils voudront « marcher ».