L’épuisement des stocks de vivres pour les réfugiés ivoiriens au Ghana et surtout le manque de soutiens des donateurs ont conduit le Ghana Refugee Board (rGRB) a annoncé un arrêt de la distribution de soutiens aux bénéficiaires.
Cette annonce est diversement accueillie par des réfugiés ivoiriens mais aussi des ghanéens qui se sont prononcés sur le sujet.
Si du côté des réfugiés ivoiriens, la décision du GRB n’a rien de surprenant par rapport à leurs conditions de survie dans les trois camps de refuge au Ghana, certains disent que l’arrêt de la distribution des vivres aura des conséquences sur leur vécu quotidien.
Pour sa part Efi, un jeune à Ampain, un camp de réfugiés ivoiriens à l’ouest du Ghana, il dira avoir eu échos de la décision prise par la branche ghanéenne du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HHCR) et que c’est une chose difficile. Un peu plus confiant, Max, un autre réfugie, veut croire en la providence divine pour ce qui adviendra de leurs soutiens.
En dehors de ces quelques relations, pendant que certains ghanéens estiment que la crise qui a forcé les ivoiriens à fuir leur pays a pris fin et qu’il serait mieux qu’ils rentrent au bercail, d’autres appellent plutôt à des solutions adéquates.
Ces derniers soutiennent qu’au lieu de penser à la distribution de vivres aux réfugiés, les responsables devraient chercher des opportunités d’emplois pour les concernés afin qu’ils puissent subvenir à leurs propres besoins.
Par rapport à ceux qui accusent les diverses nationalités de réfugiés de se livrer à des actes de violences voir de crimes, d’autres ghanéens ont appelé leurs concitoyens à la raison et à chercher la cause de leurs problèmes ailleurs.
Enfin, des raisons de la rupture de vivres pour les réfugiés au Ghana, il est révélé que les récentes crises au Mali et en Centrafrique ont généré des réfugiés et c’est toujours les mêmes ressources du HCR qui sont sollicitées. Pour satisfaire à ces besoins, les ressources disponibles sont orientées vers les nouveaux camps de réfugiés provenant des deux pays précités.
Cette annonce est diversement accueillie par des réfugiés ivoiriens mais aussi des ghanéens qui se sont prononcés sur le sujet.
Si du côté des réfugiés ivoiriens, la décision du GRB n’a rien de surprenant par rapport à leurs conditions de survie dans les trois camps de refuge au Ghana, certains disent que l’arrêt de la distribution des vivres aura des conséquences sur leur vécu quotidien.
Pour sa part Efi, un jeune à Ampain, un camp de réfugiés ivoiriens à l’ouest du Ghana, il dira avoir eu échos de la décision prise par la branche ghanéenne du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HHCR) et que c’est une chose difficile. Un peu plus confiant, Max, un autre réfugie, veut croire en la providence divine pour ce qui adviendra de leurs soutiens.
En dehors de ces quelques relations, pendant que certains ghanéens estiment que la crise qui a forcé les ivoiriens à fuir leur pays a pris fin et qu’il serait mieux qu’ils rentrent au bercail, d’autres appellent plutôt à des solutions adéquates.
Ces derniers soutiennent qu’au lieu de penser à la distribution de vivres aux réfugiés, les responsables devraient chercher des opportunités d’emplois pour les concernés afin qu’ils puissent subvenir à leurs propres besoins.
Par rapport à ceux qui accusent les diverses nationalités de réfugiés de se livrer à des actes de violences voir de crimes, d’autres ghanéens ont appelé leurs concitoyens à la raison et à chercher la cause de leurs problèmes ailleurs.
Enfin, des raisons de la rupture de vivres pour les réfugiés au Ghana, il est révélé que les récentes crises au Mali et en Centrafrique ont généré des réfugiés et c’est toujours les mêmes ressources du HCR qui sont sollicitées. Pour satisfaire à ces besoins, les ressources disponibles sont orientées vers les nouveaux camps de réfugiés provenant des deux pays précités.