Bouaké - Le secrétaire national du Front populaire ivoirien (FPI) chargé des fédérations de la vallée du Bandama, M. Kouassi N’Dri Pierre, a expliqué aux responsables des structures de base, samedi, à Bouaké la décision du FPI de boycotter le recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) en cours dans le pays.
M. Kouassi a fait savoir que dans le principe le FPI n’est pas contre le recensement, parce qu’il est "conscient" de l’importance de l’opération, mais les dirigeants du parti estiment qu’il faut donner la chance à tous les citoyens de se faire recenser, notamment les exilés et les prisonniers de la crise postélectorale.
Selon lui, son parti estime que le recensement peut se faire au terme du processus de réconciliation, afin de permettre aux exilés de rentrer en Côte d’Ivoire et de favoriser la libération des prisonniers.
«Le FPI est conscient mais quand on veut compter, on compte tout le monde», a-t-il déclaré, recommandant la libération de leurs camarades emprisonnés et le retour des exilés. En plus, a-t-il poursuivi, le pays ayant besoin d’argent, le recensement pouvait attendre.
(AIP)
nbf/ask
M. Kouassi a fait savoir que dans le principe le FPI n’est pas contre le recensement, parce qu’il est "conscient" de l’importance de l’opération, mais les dirigeants du parti estiment qu’il faut donner la chance à tous les citoyens de se faire recenser, notamment les exilés et les prisonniers de la crise postélectorale.
Selon lui, son parti estime que le recensement peut se faire au terme du processus de réconciliation, afin de permettre aux exilés de rentrer en Côte d’Ivoire et de favoriser la libération des prisonniers.
«Le FPI est conscient mais quand on veut compter, on compte tout le monde», a-t-il déclaré, recommandant la libération de leurs camarades emprisonnés et le retour des exilés. En plus, a-t-il poursuivi, le pays ayant besoin d’argent, le recensement pouvait attendre.
(AIP)
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