A la faveur des festivités marquant le 24ème anniversaire de la création du Pit, au siège de la formation politique sis à abidajn-adjamé, le président du Parti ivoirien des travailleurs (Pit), Daniel aka ahizi, a interpellé hier le Pouvoir sur l’opération de recensement général de la population et de l’habitat (rgph) qui a cours actuellement.
«Nous pensons que le recensement est un outil essentiel et que cela doit se faire dans un processus avec toutes les garanties pour nous amener à des résultats incontestables. Mais les conditions dans lesquelles l’opération est menée nous poussent à craindre. Quand le Fpi donne un mot d’ordre de boycott, nous sommes malheureux.
Les effets seront immédiats. C’est-à-dire que bon nombre de nos concitoyens ne pourront pas se faire recenser. Cela doit nous amener à nous asseoir dans une large concertation. Nous interpellons le gouvernement pour dire qu’il faut qu’il marque une pause. S’ils nous écoutent, c’est tant mieux. S’ils ne nous écoutent pas, nous dirons à nos militants : Allez vous faire recenser. Mais ce recensement va donner des résultats biaisés», a soutenu Daniel aka ahizi. sur la coalition de l’opposition, il a dit sa satisfaction en soulignant que c’est un bon moyen pour apporter la réplique à la coalition au pouvoir. Le Président du Pit a évoqué le chantier
qu’il a entamé qui consiste à repositionner sa formation sur l’échiquier politique. «Tirant les leçons des mauvais résultats enregistrés pendant les dernières échéances électorales,
notre objectif immédiat a été de repositionner le parti sur l’échiquier politique national.
Dans cette perspective, notre démarche a consisté à clarifier et faire la promotion des valeurs de partis de gauche dont se réclame le Pit ; donner une meilleure perception de nos actions dans une opposition constructive…», at- il avancé. Le président du Pit a annoncé la 2ème phase de son action qui consistera à investir le terrain et à être à l’écoute des populations.
césar EBROkié
«Nous pensons que le recensement est un outil essentiel et que cela doit se faire dans un processus avec toutes les garanties pour nous amener à des résultats incontestables. Mais les conditions dans lesquelles l’opération est menée nous poussent à craindre. Quand le Fpi donne un mot d’ordre de boycott, nous sommes malheureux.
Les effets seront immédiats. C’est-à-dire que bon nombre de nos concitoyens ne pourront pas se faire recenser. Cela doit nous amener à nous asseoir dans une large concertation. Nous interpellons le gouvernement pour dire qu’il faut qu’il marque une pause. S’ils nous écoutent, c’est tant mieux. S’ils ne nous écoutent pas, nous dirons à nos militants : Allez vous faire recenser. Mais ce recensement va donner des résultats biaisés», a soutenu Daniel aka ahizi. sur la coalition de l’opposition, il a dit sa satisfaction en soulignant que c’est un bon moyen pour apporter la réplique à la coalition au pouvoir. Le Président du Pit a évoqué le chantier
qu’il a entamé qui consiste à repositionner sa formation sur l’échiquier politique. «Tirant les leçons des mauvais résultats enregistrés pendant les dernières échéances électorales,
notre objectif immédiat a été de repositionner le parti sur l’échiquier politique national.
Dans cette perspective, notre démarche a consisté à clarifier et faire la promotion des valeurs de partis de gauche dont se réclame le Pit ; donner une meilleure perception de nos actions dans une opposition constructive…», at- il avancé. Le président du Pit a annoncé la 2ème phase de son action qui consistera à investir le terrain et à être à l’écoute des populations.
césar EBROkié
