Le secrétaire national de la jeunesse du Front populaire ivoirien (JFPI), Konaté Navigué est arrivé hier à Abidjan, après trois d’exil, suite aux évènements d’Avril 2011 consécutifs au renversement du président Laurent Gbagbo.
Joint par téléphone au moment où il foulait le sol de son pays, le patron de la jeunesse du parti à la rose, s’est dit heureux de venir reprendre sa place au milieu de ses camarades pour poursuivre la lutte pour la démocratie et la libération du président Laurent Gbagbo. « Je suis rentré pour me jeter dans la fournaise. Surtout qu’au cours de sa dernière session le comité central du parti a décidé d’un certain nombre d’actions décisives pour la restauration de la démocratie et la libération du président Laurent Gbagbo. Il s’agit notamment des marches, des sit-in et autres » a-t-il confié.
S’agissant de la situation sécuritaire, la principale raison de l’exil de nombreux partisans du président Gbagbo, le premier responsable de la jeunesse du FPI a dit que même si elle ne s’est pas améliorée comme les ivoiriens le souhaitent, il ne pouvait pas attendre qu’elle soit parfaite. D’autant plus que ses camarades se battent courageusement depuis plus de trois ans au risque de leur vie.
Guillaume T. Gbato
Joint par téléphone au moment où il foulait le sol de son pays, le patron de la jeunesse du parti à la rose, s’est dit heureux de venir reprendre sa place au milieu de ses camarades pour poursuivre la lutte pour la démocratie et la libération du président Laurent Gbagbo. « Je suis rentré pour me jeter dans la fournaise. Surtout qu’au cours de sa dernière session le comité central du parti a décidé d’un certain nombre d’actions décisives pour la restauration de la démocratie et la libération du président Laurent Gbagbo. Il s’agit notamment des marches, des sit-in et autres » a-t-il confié.
S’agissant de la situation sécuritaire, la principale raison de l’exil de nombreux partisans du président Gbagbo, le premier responsable de la jeunesse du FPI a dit que même si elle ne s’est pas améliorée comme les ivoiriens le souhaitent, il ne pouvait pas attendre qu’elle soit parfaite. D’autant plus que ses camarades se battent courageusement depuis plus de trois ans au risque de leur vie.
Guillaume T. Gbato