Plus d’un mois après la tenue du 1er au 8 mars 2014 de la 8ème édition du Marché des arts du spectacle africain (Masa) à Abidjan, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandama a tenu, le mercredi 09 Mars 2014, une conférence de presse, à son cabinet au Plateau. Au cours de cette rencontre, il a fait le bilan de la relance de ce grand rendez-vous qui a rassemblé cinq cents (500) artistes de divers pays, deux cent (200) diffuseurs et promoteurs de spectacles et 120 milles personnes venus de l’extérieurx pays.
Pour la 8ème édition du Masa, plusieurs groupes musicaux et artistiques venus de divers continents ont valorisé leurs talents, selon Maurice Bandama. «Vingt-trois (23) groupes de musique dont 20 en danses, soixante (60) groupes constitués de quatre-cent (400) artistes, 114 résident en Côte d’Ivoire et deux-cent vingt un (221) professionnels, cinquante-cinq d’Afrique et cent soixante seize (116) d’Europe et d’Amérique ont participé à ce grand marché. Au titre budgétaire, 1 milliard trois cent millions de francs CFA ont gérer pour la réussite de ce festival», a fait savoir le ministre. Cependant, il a expliqué les impacts du retour du 8ème Masa. «Toutes les infrastructures hôtelières et de restauration de qualité et les structures de communication et de gestion de l’évènement ont été mises à contribution, permettant aux opérateurs économiques de ces secteurs de conclure des affaires. La présence d’un marché de spectacles et de forum de professionnels a eu lieu au même endroit. Et cela a crée des opportunités de mise en œuvre des œuvres et des artistes africains et leur intégration dans les circuits de diffusion internationaux », le ministre Maurice Bandama a mis en exergue les perspectives de la 8ème édition. «Le marché des arts du spectacle africain est pour les créateurs, l’antidote à la désespérance et un sésame à la réalisation de leurs objectifs, les plus porteurs d’épanouissement et de réalisation. Il a permis de créer une plateforme d’opportunités et de partage des bonnes pratiques et des réussites dans les domaines des arts et du spectacle», a-t-il laissé entendre. L’édition 2014, a été celle de la renaissance, celle de la satisfaction pour les professionnels de la culture de se retrouver dans ce qui est, à la fois un marché, un festival et un moment de réflexion. «Le Masa doit tendre vers le meilleur, et donner un sens à l’orientation et à la vitalité des créations artistiques. Il sera encore plus grand et plus beau en 2016 » a soutenu Maurice Bandaman. Au terme de cette rencontre, le ministre a annoncé officiellement que le gouvernement venait d’adopter le projet de loi portant politique culturelle nationale. «Le texte permettra de conférer aux arts et à la culture, le volume et l’intérêt, conformes aux horizons d’attente. Le ministère aussi espère contribuer à offrir à la Côte d’Ivoire, toutes ses chances».
Péguy.S
Pour la 8ème édition du Masa, plusieurs groupes musicaux et artistiques venus de divers continents ont valorisé leurs talents, selon Maurice Bandama. «Vingt-trois (23) groupes de musique dont 20 en danses, soixante (60) groupes constitués de quatre-cent (400) artistes, 114 résident en Côte d’Ivoire et deux-cent vingt un (221) professionnels, cinquante-cinq d’Afrique et cent soixante seize (116) d’Europe et d’Amérique ont participé à ce grand marché. Au titre budgétaire, 1 milliard trois cent millions de francs CFA ont gérer pour la réussite de ce festival», a fait savoir le ministre. Cependant, il a expliqué les impacts du retour du 8ème Masa. «Toutes les infrastructures hôtelières et de restauration de qualité et les structures de communication et de gestion de l’évènement ont été mises à contribution, permettant aux opérateurs économiques de ces secteurs de conclure des affaires. La présence d’un marché de spectacles et de forum de professionnels a eu lieu au même endroit. Et cela a crée des opportunités de mise en œuvre des œuvres et des artistes africains et leur intégration dans les circuits de diffusion internationaux », le ministre Maurice Bandama a mis en exergue les perspectives de la 8ème édition. «Le marché des arts du spectacle africain est pour les créateurs, l’antidote à la désespérance et un sésame à la réalisation de leurs objectifs, les plus porteurs d’épanouissement et de réalisation. Il a permis de créer une plateforme d’opportunités et de partage des bonnes pratiques et des réussites dans les domaines des arts et du spectacle», a-t-il laissé entendre. L’édition 2014, a été celle de la renaissance, celle de la satisfaction pour les professionnels de la culture de se retrouver dans ce qui est, à la fois un marché, un festival et un moment de réflexion. «Le Masa doit tendre vers le meilleur, et donner un sens à l’orientation et à la vitalité des créations artistiques. Il sera encore plus grand et plus beau en 2016 » a soutenu Maurice Bandaman. Au terme de cette rencontre, le ministre a annoncé officiellement que le gouvernement venait d’adopter le projet de loi portant politique culturelle nationale. «Le texte permettra de conférer aux arts et à la culture, le volume et l’intérêt, conformes aux horizons d’attente. Le ministère aussi espère contribuer à offrir à la Côte d’Ivoire, toutes ses chances».
Péguy.S