Divo – Le maire de la commune de Divo, Kouakou Amédé, a invité vendredi l’ensemble des populations à participer au recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) qui est entré le même jour dans sa phase active dans la localité.
« Je souhaite que tout le monde se fasse recenser. Nous les élus locaux en avons aussi besoin pour être plus à l’aise pour réclamer des choses à l’Etat pour nos populations », a déclaré Kouakou Amédé.
« Si c’était un recensement électoral je serais content de l’attitude du front populaire ivoirien (FPI, opposition) qui encourage le boycott parce que moi je suis du parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, mouvance présidentielle). Mais ici il s’agit de développement », a-t-il poursuivi.
Le premier magistrat de Divo s’est engagé à mettre en place un dispositif de communication avec notamment les radios locales pour soutenir et assurer le succès du RGPH dans sa localité.
« Nous avons le devoir d’apporter le développement à nos parents. C’est pourquoi nous devons savoir combien nous sommes aujourd’hui. Ne pas se faire recenser c’est pénaliser tout le monde car le prochain recensement c’est dans dix ans », a affirmé le maire de Divo.
Il a ensuite expliqué que les infrastructures que les populations lui réclament au quotidien comme le goudron et l’adduction d’eau sont du ressort de l’Etat. Or selon lui l’Etat n’agit qu’au regard du nombre. Et ce nombre c’est le recensement qui l’atteste.
(AIP)
gso/tm
« Je souhaite que tout le monde se fasse recenser. Nous les élus locaux en avons aussi besoin pour être plus à l’aise pour réclamer des choses à l’Etat pour nos populations », a déclaré Kouakou Amédé.
« Si c’était un recensement électoral je serais content de l’attitude du front populaire ivoirien (FPI, opposition) qui encourage le boycott parce que moi je suis du parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, mouvance présidentielle). Mais ici il s’agit de développement », a-t-il poursuivi.
Le premier magistrat de Divo s’est engagé à mettre en place un dispositif de communication avec notamment les radios locales pour soutenir et assurer le succès du RGPH dans sa localité.
« Nous avons le devoir d’apporter le développement à nos parents. C’est pourquoi nous devons savoir combien nous sommes aujourd’hui. Ne pas se faire recenser c’est pénaliser tout le monde car le prochain recensement c’est dans dix ans », a affirmé le maire de Divo.
Il a ensuite expliqué que les infrastructures que les populations lui réclament au quotidien comme le goudron et l’adduction d’eau sont du ressort de l’Etat. Or selon lui l’Etat n’agit qu’au regard du nombre. Et ce nombre c’est le recensement qui l’atteste.
(AIP)
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